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Nomination : Un nouveau DG chez Swiss Life Gestion Privée

Le Conseil d’Administration de Swiss Life Gestion Privée vient de nommer Eric Bleines comme nouveau directeur général. Il continuera à assurer la direction de la gestion actions de la société de gestion de Swiss Life Banque Privée.

Eric Bleines vient d’être nommé au poste de directeur général de Swiss Life Gestion Privée. Celui qui dirige la gestion actions de la société de gestion de Swiss Life Banque Privée depuis 2017 conserve ses fonctions actuelles et aura pour mission « de développer la société de gestion, tout en l’inscrivant dans la stratégie de transformation digitale opérée par Swiss Life Banque Privée, en synergie avec le groupe Swiss Life France », indique le groupe dans un communiqué.

Ce dernier devra également renforcer la profondeur et l’automatisation du dispositif de contrôle, ainsi que la structuration de la politique d’investissement de l’entreprise. « Un de ses objectifs consistera aussi à mieux marquer et marketer les spécificités de la gestion privée du groupe Swiss Life, en travaillant sur l’expérience client, notamment par une communication plus régulière et pédagogique, en appui des communications réglementaires et des fluctuations des marchés financiers », poursuit le communiqué.

Diplômé de l’ISG, de l’IFA et de SciencesPo Paris, Eric Bleines est aussi auditeur à l’IHEDN et administrateur de la SFAF. Il débute sa carrière en 1986 chez Meeschaert-Rousselle avant d’intégrer l’année suivante le Crédit Commercial de France (CCF) comme gérant actions France. En 1994, Eric Bleines intègre Indosuez & Crédit Agricole asset management comme responsable de la gestion de fonds de pension. Il rejoint ensuite CCR Actions en 2002 comme gérant opcvm action (France et Europe) jusqu’en 2008, date à laquelle il intègre UBS comme DG délégué en charge des gestions. Depuis 2017, date de son entrée chez Swiss Life Banque Privée, il occupe le poste de directeur gestion actions

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Effisoft mentionné dans la récente étude de Novarica sur les logiciels de gestion de la réassurance.

PARIS, FR – 20 novembre 2018 – Comme le rappellent depuis de nombreuses années les experts d’Effisoft, l’éditeur de logiciels de gestion de la réassurance, les assureurs ont désormais tous besoin de systèmes d’information modernes dédiés pour le suivi de leurs cessions et acceptations. La nouvelle étude de Novarica sur les logiciels de réassurance confirme ce constat.

Jeff Goldberg, co-auteur du rapport et vice-président de Novarica, estime que « la tendance actuelle à la simplification des produits d’assurance implique davantage de calculs de risques lors de la phase de réassurance. Il ne sera bientôt plus possible pour les assureurs de gérer les opérations de cession avec des feuilles de calcul ou des systèmes informatiques obsolètes et peu paramétrables ».

La société d’études et de conseil Novarica a passé en revue les solutions de gestion de la réassurance disponibles sur le marché américain et a analysé les différents éditeurs, dont Effisoft et son logiciel WebXL.
L’étude s’intéresse à différents aspects comme les technologiques utilisées, les éléments différenciant, le profil des clients, les branches d’activité gérées, les options de déploiement, les méthodologies de mise en œuvre, la fréquence des mises à jour et améliorations, ainsi que la liste des fonctionnalités clés.
Un extrait de l’étude (en anglais) est disponible en ligne à l’adresse https://www.novarica.com/reinsurance-management/.

Selon l’étude de Novarica, un bon système de réassurance doit proposer des fonctionnalités de Business Intelligence et d’analyses de données poussées, permettre d’éviter les sinistres non réassurés, garantir une meilleure efficacité opérationnelle notamment grâce à l’automatisation des calculs de cession, des calculs de facturation et grâce à la production du reporting réglementaire (Schedule F).

« Cette étude est importante et doit permettre au marché d’aller de l’avant », indique Gregory MOLINER, PDG d’Effisoft USA. “Les sociétés d’assurance à la recherche d’une solution de réassurance devraient s’intéresser à ce rapport et prendre les mesures qui s’imposent.”

« WebXL est le seul logiciel de réassurance en mode cloud qui automatise toutes les opérations de réassurance (cessions et acceptations/retro cessions), depuis la souscription jusqu’à la comptabilité financière », explique Grégory MOLINER. « Parmi les fonctionnalités de WebXL figurent la génération du Schedule F, la gestion des catastrophes naturelles et du runoff, ainsi que la production de rapports de Business Intelligence. WebXL permet de gérer facilement la comptabilité, d’identifier automatiquement les demandes de recouvrement et bien plus encore », ajoute-t-il.

A propos de Novarica
Grace à ses experts en conseil et stratégie, Novarica accompagne dans leurs choix technologiques et stratégiques plus de 100 assureurs à travers le monde. Ses activités de conseil portent principalement sur les tendances du marché, la diffusion de benchmarks et des best practice, ainsi que les études de cas et l’étude de solutions. Grace à l’expertise de ses experts et de plus de 300 membres du CIO Research Council, Novarica offre aux clients la possibilité d’optimiser leur prise de décisions de manière plus rapide et avisée. Ses services de conseil portent notamment sur la sélection des fournisseurs, l’analyse comparative personnalisée, les points de contrôle des projets et la stratégie informatique. Plus d’informations sur www.novarica.com.

 

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Cercle Lab : Retour sur la conférence gestion de patrimoine du 7 novembre

Le 7 novembre dernier se tenait la conférence gestion de patrimoine dans le cadre du Cercle Lab autour de la thématique suivante : La valeur ajoutée de la gestion privée aujourd’hui et demain. Animée par Serge Moreno, directeur marketing épargne et clientèle patrimoniale d’AG2R La Mondiale, elle a notamment réuni Laurent Bastin, directeur général d’ODDO Gestion Privée, Pascal Pineau, associé de Métisse Finance, Didier Simondet, directeur de CIC Banque Privée et Olivier Rozenfeld, président de Fidroit.

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L’une des évolutions les plus notables apportées par Mifid 2 est sans nul doute le relevé de frais, exhaustif, que les clients recevront à partir de 2019. Cet envoi va avoir un effet immédiat puisqu’il va obliger les distributeurs à mieux communiquer la réalité des prestations effectuées. La « faute originelle » qui a consisté à rendre tous les services gratuits et à se rémunérer sur les produits trouve aujourd’hui ses limites. Ainsi, pour une partie des clients l’offre de la gestion privée est avant tout perçue comme une offre produits. Plus encore, certains d’entre eux considèrent que la Valeur Ajoutée apportée est la seule performance financière de ces produits. Cet amalgame pourrait poser un problème dans un contexte de marché assez morose et avec un CAC encore loin de ses niveaux de 2007.

L’envoi du relevé est donc le moment opportun pour s’interroger sur la Valeur Ajoutée apportée par les professionnels de la Gestion Privée à leurs clients. D’abord parce qu’il va falloir l’expliquer au client et justifier le montant des frais, ensuite parce que dans un monde qui évolue, cette valeur ajoutée va devoir évoluer.

La valeur ajoutée de la gestion privée va plus loin que la seule gestion financière
La réponse à apporter aux clients qui compareront le prix payé à la performance financière des produits qu’ils détiennent pourrait être de leur présenter l’exhaustivité de l’offre dont ils bénéficient à savoir :

  • Une relation personnalisée avec des conseillers de haut niveau les aidant à gérer leur patrimoine dans le temps avec une allocation produits adaptée à l’évolution de leurs besoins
  • Un accompagnement sur la gestion de leur patrimoine à l’actif (allocation entre les différentes classes d’actif) et au passif (protection des proches et des biens)
  • L’accès à une offre produits large pouvant aller au-delà de la seule gestion financière
  • L’aide à la transmission de patrimoine
  • Des services VIP leur facilitant la vie
  • Des conseils juridiques et fiscaux
  • Un accompagnement pédagogique pour les aider à mieux comprendre les choix proposés

Cette liste n’est pas exhaustive mais montre bien que le prix payé par les clients patrimoniaux va très au-delà de la seule gestion financière.

Une Valeur ajoutée qui doit évoluer

Le business model de la gestion privée a plus de 30 ans et il est pas mal écorné par les évolutions règlementaires, technologiques et comportementales.
Même si l’on peut penser que les besoins fondamentaux de la clientèle patrimoniale resteront stables, la façon d’y répondre va devoir évoluer.  La valeur ajoutée apportée au client va donc devoir évoluer également.

Le conseil, « le cœur du réacteur de l’offre »

Socle de la gestion privée, l’organisation de l’offre conseil n’est pas toujours adaptée à la réalité des clients. Elle souffre souvent de ne pas avoir été formalisée, voir même d’être confondue avec l’acte de vente lui-même. Ainsi la gestion privée et, à fortiori la gestion de fortune s’enorgueillit, souvent à juste titre, d’avoir des équipes très compétentes capables de trouver des solutions les mieux adaptées aux besoins les plus complexes. Mais, d’après Olivier Rozenfeld « Le besoin de conseil sophistiqué ne concerne qu’une minorité de clients. La majorité d’entre eux a besoin d’un niveau de conseil plus basique qui pourrait être industrialisé. Par ailleurs, la notion d’approche patrimoniale globale n’est pas toujours comprise par le client qui préfère qu’on lui parle de solution par projet (retraite, étude des enfants,…) ».

Même si cela peut sembler paradoxal, l’importance du conseil, est renforcée par l’émergence des pure players et notamment les robo advisors qui ne traitent qu’une partie du patrimoine.

La gestion financière : : priorité à l’accompagnement et à l’innovation

L’offre actuelle est déjà extrêmement large et est en capacité de répondre à l’essentiel des besoins de placement de la clientèle privée. Mais dans ce domaine comme dans d’autres l’innovation reste nécessaire. Ainsi selon Laurent Bastin « Il est nécessaire de proposer continuellement de nouveaux produits en lien avec l’évolution des besoins des clients. Ainsi Oddo a lancé récemment Alpha Intelligence Capital, un fonds d’investissement dans l’IA de 100 millions de dollars. Il faut également accompagner les clients dans leur choix en faisant preuve de transparence et de pédagogie ».

Mais plus encore que l’offre produits elle-même c’est le service et notamment le conseil en allocation d’actifs qu’il faut développer. Pendant longtemps il était possible de concilier rendement et garantie en capital. C’est devenu beaucoup plus compliqué avec le niveau actuel des taux d’intérêt, et la baisse continue du rendement des fonds euros : Il faut pouvoir mieux accompagner le client dans la prise de risque nécessaire à la valorisation de son épargne à long terme.

Le développement inéluctable du digital

Plus personne ne met en question la nécessité pour la profession de se digitaliser. Il est évident que la digitalisation de toutes les tâches à faible valeur ajoutée est une nécessité, elle a d’ailleurs largement commencé. Mais jusqu’où aller ? Doit-on digitaliser toute la relation et adopter un modèle de pure player internet ? Probablement pas car les clients patrimoniaux restent très attachés à la relation avec leur conseiller qui est un des principaux actifs de la banque privée. Par ailleurs aller attaquer les pure player sur leur terrain pourrait s’avérer particulièrement hasardeux. Ce sont des experts de l’offre digitale et ils n’ont ni à supporter les coûts d’un réseau physique ni à tenir compte d’un système d’information historique non conçu pour le digital.

Cela ne signifie pas pour autant qu’il faille cantonner l’offre digitale aux seuls outils de souscription ou de reporting. Au contraire, le digital est là et les clients et les conseillers s’y habituent de plus en plus. De nouveaux usages et de nouveaux services sont apparus, comme les robo advisors ou les agrégateurs et ils permettent souvent d’enrichir l’offre de service. Une partie de la profession se questionne aujourd’hui sur une éventuelle utilisation de l’intelligence artificielle dans la gestion de patrimoine. Laissons de côté le fantasme d’une intelligence artificielle dite forte qui serait en capacité de remplacer un conseiller. Nous en sommes aujourd’hui encore très loin. Néanmoins l’utilisation de l’IA pourrait améliorer la qualité du service rendu au client.

Comme l’indique Didier Simondet « Grâce à l’IA la connaissance clients sera renforcée ce qui permettra d’améliorer la pertinence du conseil et donc la valeur ajoutée apportée au client. Cela signifiera également d’avantage de proactivité. L’IA ne sera pas un ennemi du conseiller mais un compagnon pour le plus grand profit de nos clients. »

Le conseiller, principal atout des banques privées

Les conseillers en gestion privée sont déjà des techniciens de haut niveau puisque la plupart d’entre eux est de niveau Bac+5 et ils reçoivent en interne des formations de plus en plus poussées.

Pascal Pineau pense cependant que « La formation des banquiers privés devrait plus s’orienter vers les soft skills, c’est-à-dire les compétences comportementales, vers du cognitif pour leur apprendre à mieux déceler les besoins des clients. Savoir inspirer confiance, avoir de l’empathie, le sens de l’humour : ce sont des compétences essentielles pour un conseiller et impossibles pour un robot ».

Ainsi durant les crises de 2008 et 2011, les banques privées dont les conseillers ont immédiatement appelé leurs clients pour leur expliquer la situation et les ont accompagnés durant la période de crise ont apporté une valeur ajoutée forte au client, ce dont aucun robot ne sera capable avant longtemps.

Une différentiation devenue nécessaire

Pendant longtemps, les banques privées ont eu des business models assez proches et le moment est probablement venu de se différencier. Un premier axe pourrait être la segmentation client.

Pour les banques privées les plus importantes il est difficile de se spécialiser sur un seul segment de clients. Il est cependant possible d’organiser un éco-système spécifique pour chaque segment identifié avec une offre, des services et des conseillers adaptés. La segmentation pourrait être faite par la banque…ou par le client lui-même. Il aurait le choix entre plusieurs niveaux de services, avec chacun son niveau de tarification. Le niveau de service ne serait donc plus lié au montant des avoirs du client. Cette auto segmentation aurait le double avantage de mieux répondre aux besoins du client et de faciliter la tarification du service.

Pour les acteurs de taille moins importante, il peut être judicieux de choisir son segment de clientèle et d’organiser son offre de produits et services et son organisation commerciale en fonction de ce segment ce qui permettrait d’apporter une valeur ajoutée forte au client et d’être identifié sur le marché comme l’acteur d’excellence sur ce segment.

Un second axe de différentiation pourrait être la séparation producteur/distributeurs avec des banques privées qui seraient de purs distributeurs et mettraient en concurrence permanente les différentes offres produit du marché.

D’autres pistes de différentiation peuvent être développées comme la création de segments affinitaires (des clients ayant les mêmes centres d’intérêt).

La valeur ajoutée apportée par les banques privées à leurs clients est réelle et forte mais devra mieux être expliquée aux clients. Les conseillers pourront leur rappeler tout l’avantage qu’il y a à être accompagné par des équipes spécialisés dans la gestion de leur patrimoine.

Gageons que dans un monde en mouvement, la majorité des banques privées sauront s’adapter aux évolutions règlementaires, technologiques et comportementales en améliorant continuellement la qualité de leurs prestations et la valeur ajoutée perçue par le client tout en maîtrisant leurs charges. Elles auront ainsi de nombreux atouts à faire valoir face à de nouveaux acteurs « digital natives ».
La gestion privée a encore de belles années devant elle.

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Gestion de sinistres : Natixis tire les (bonnes) conclusions de son lab’

Lancé en octobre 2015, le laboratoire de nouvelle gestion des sinistres du bancassureur était une expérimentation sur de nouveaux traitements des assurés autos et habitation. Résultat : le taux d’appels, d’intéraction entrante par dossier ou encore de réclamation a considérablement diminué.  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Fintech : Grisbee veut démocratiser la gestion de patrimoine | @scoopit …

Source by GS WTW Affinity

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