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La Mutuelle Familiale : Départ du directeur général Jocelyn Waroux

Selon nos informations, Jocelyn Waroux, directeur général de La Mutuelle Familiale, quittera ses fonctions en septembre 2021.

Jocelyn Waroux, directeur général de La Mutuelle Générale depuis 2017, a confirmé à News Assurances Pro sa décision de quitter ses fonctions en septembre prochain. « Pendant ces quatre ans, j’ai redressé l’équilibre technique de La Mutuelle Familiale. Ma mission est désormais terminée », déclare Jocelyn Waroux. Son départ intervient 8 mois après l’élection de la nouvelle présidente Sylvie Ben Jaber. Le directeur des opérations Gregory Lecerf assurera l’intérim à partir de septembre.

Avant de rejoindre la Mutuelle Familiale, Jocelyn Waroux a travaillé de 2012 à 2017 chez MFP Services. Il a occupé les postes de directeur du réseau, directeur missions et relations mutuelles et directeur des opérations, avant d’être nommé directeur général pendant sept mois, en 2017.

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RH : Malakoff Humanis adapte son accord télétravail

Malakoff Humanis a signé avec l’ensemble des organisations syndicales un avenant qui assouplit les conditions d’exercice du télétravail.

Le 11 juin dernier, la direction de Malakoff Humanis et l’ensemble des organisations syndicales représentatives (CFDT, CFE-CGC, CGT, CGT-FO et UNSA) ont signé un avenant à l’accord télétravail de 2019. Ce texte permet d’élargir les conditions d’exercice du télétravail.

Jusqu’à présent l’accord autorisait uniquement le télétravail dans le domicile du salarié. L’avenant prévoit que le télétravail puisse s’exercer en tout lieu sur le territoire français, après information et concertation avec le manager.

Indemnité forfaitaire

Le collaborateur en télétravail bénéficie d’un ticket restaurant pour chaque journée de télétravail effectué. Le texte prévoit en plus le versement d’une indemnité forfaitaire globale, égale au montant de la contribution employeur du ticket restaurant, et ceci pour chaque jour télétravaillé. Le montant de cette indemnité est calculé de façon retroactive depuis le 17 mars 2020 pour chaque journée télétravaillée.

15 jours par an de télétravail exceptionnel

L’accord d’entreprise de Malakoff Humanis de 2019 prévoit jusqu’à 2 jours de télétravail par semaine. Avant l’épidémie, entre 35 et 40% des collaborateurs avaient demandé à faire du télétravail, majoritairement un seul jour par semaine. L’avenant ne prévoit pas d’augmenter le nombre de jours de télétravail par semaine. Cependant, en plus du télétravail régulier, l’accord prévoit que chaque collaborateur puisse bénéficier de 15 jours de télétravail exceptionnel par an, pour faire face à des situations imprévues comme la garde d’enfants ou des difficultés de transport. Ces 15 jours sont disponibles pour tous les collaborateurs, qu’ils soient engagés contractuellement dans le dispositif de télétravail ou pas.

Plus de salariés éligibles

Pour faciliter l’accès des collaborateurs au télétravail, il n’est plus nécessaire de faire un diagnostic électrique préalable ni de fournir une attestation d’assurance. Le télétravail est possible après 6 mois d’ancienneté, contre 12 mois précédemment. Les salariés itinérants y ont également droit, sur la base d’un forfait de 70 jours par an pour les collaborateurs à plein temps. Tout comme les salariés à temps partiel, travaillant 60% du temps (contre 80% précédemment). Malakoff Huamanis a mis également en place un accompagnement des salariés sur la prévention des risques pyscho-sociaux liés au télétravail.

Après plusieurs mois de confinement, les salariés de Malakoff Humanis son retournés sur site depuis le 15 juin, à raison de deux jours par semaine, dont un jour fixe. L’avenant du contrat de télétravail n’entrera donc en vigueur que quand les conditions sanitaires le permettront. En attendant, Malakoff Humanis a initié une réflexion plus large sur le travail hybride et l’adaptation de ses espaces de travail.

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Retraite complémentaire : Le transfert du recouvrement vers les URSSAF est reporté

Le gouvernement reporte d’un an la date du transfert du recouvrement des cotisations de retraite complémentaire vers l’URSSAF.

Le recouvrement des cotisations de retraite complémentaire du secteur privé devait être transféré vers les URSSAF le 1er janvier 2022. Cette date était prévue dans l’article 18 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2020. Finalement, le gouvernement a décidé de reporter d’un an cette échéance, selon un communiqué. En effet, la gestion de la crise sanitaire a bousculé le calendrier sur cette réforme structurante pour les entreprises.

C’est donc le 1er janvier 2023 que le recouvrement des cotisations de retraite complémentaire de l’AGIRC-ARRCO, actuellement à la charge des institutions de retraite complémentaire, seront transférés vers les URSSAF. Les travaux de transfert ont démarré en septembre 2019 et mobilisent les organismes de protection sociale, les éditeurs de logiciels de paie, les experts comptables et les entreprises.

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Cat’ Nat’ : Entre 1,35 et 1,65Md d’euros de sinistres en France en 2020

Les catastrophes naturelles en France en 2020 ont coûté entre 1,35 et 1,65 milliard d’euros, a dévoilé mercredi dans son bilan annuel le groupe public Caisse centrale de réassurance (CCR), qui appelle à un renforcement des moyens de prévention.

Des chiffres proches de ceux de 2019, avec une sinistralité comprise entre 1,3 et 1,7 milliard d’euros, selon le réassureur public, qui propose principalement aux assureurs des couvertures illimitées en matière de catastrophes naturelles.

En 2020, “la France a été marquée pour la cinquième année consécutive par une sinistralité très importante, avec deux événements d’intensité exceptionnelle : les inondations dans les Alpes-Maritimes début octobre à la suite de la tempête Alex et un nouvel épisode de sécheresse particulièrement intense durant l’été”, a souligné dans son rapport la CCR.

Dans le détail, l’épisode de sécheresse a coûté entre 1 et 1,2 milliard d’euros et les inondations, entre 350 et 450 millions d’euros. Face à ces sinistres, 1,72 milliard d’euros de primes ont été collectés par la CCR, soit une hausse de 2,5% par rapport à 2019. Depuis le début du dispositif “Cat Nat”, créé en 1982, le coût des sinistres est estimé en moyenne à 1,04 milliard d’euros par an.

L’importance des sinistres de ces dernières années, “probable signe des premiers effets du changement climatique, met sous tension le régime Cat Nat et démontre la nécessité d’assurer sa pérennité et pour ce faire, de renforcer les dispositifs de prévention”, a souligné la CCR, qui a en parallèle annoncé un nouveau plan stratégique pour la période 2021-2025.

Intitulé “Protéger plus et servir mieux”, il vise notamment à adapter le dispositif catastrophes naturelles au changement climatique et à améliorer la modélisation et la gestion des risques extrêmes.

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Étude d’Altaprofits : 4 Français sur 5 détiennent un produit d’épargne

Selon une étude Ifop pour Altaprofits, 84% des Français possèdent au moins un produit d’épargne. La part des épargnants détenteurs de multiples contrats augmente de 3%, elle s’établit à 56% en 2021.

Le courtier en ligne, Altaprofits a publié les résultats du baromètre Ifop 2021 de l’épargne en France et en régions. « Les préoccupations à court terme des Français ont pris le pas sur leurs projections à long terme et cela a déteint sur leurs comportements d’épargne, en particulier, sur leur épargne de précaution qui est en hausse de 3 points par rapport au précédent baromètre, en 2020 », indique le rapport. Près de la moitié des épargnants Français (49%) mettent de l’argent de côté afin de constituer une épargne de précaution, selon le baromètre. Ils sont près d’un tiers à épargner pour faire face aux imprévus du quotidien et 15% d’entre eux se disent épargner pour se préparer à une éventuelle « situation exceptionnelle », comme par exemple, la perte d’un emploi. Néanmoins, plus d’un quart d’entre eux (27%) mettent de l’argent de côté dans le but de financer un projet à court ou à long terme.

Dans un contexte de crise sanitaire, l’appât du gain par une plus grande prise de risque ne séduit toujours pas les Français. Ils sont encore 8 sur 10 à privilégier « un placement sans risque même si son rendement est faible ». Néanmoins, 26% des épargnants ont le projet de placer les sommes récemment mises de côté. L’investissement dans des produits d’épargne réglementés attire 13% des répondants, 6% anticipent un placement en assurance vie et 4% se disent tentés par la bourse. De son côté, le placement immobilier, investissement moins risqué, attire 13% des épargnants sur le marché. « Cette année hors norme a amené les Français à adopter une attitude raisonnable pour se faire plaisir et raisonnée pour assurer leur avenir financier. Ils ont une vision plus court-termiste de leurs projets mais leurs intentions, à hauteur de 39 %, d’investir l’argent qu’ils ont accumulé est forte. Cette année exceptionnelle a accentué leur prudence, qui se retrouve dans la hausse de leur épargne de précaution », commente Stellane Cohen, présidente d’Altaprofits.

Le PER récolte 28% d’intentions d’investissement

Alors que 84% des Français possèdent au moins un produit d’épargne et 56% disent en détenir plus d’un, la plupart des épargnants déclarent placer de l’argent régulièrement sur leurs produits d’épargne (94%). Près de la moitié d’entre eux effectuent des dépôts mensuels (45%) alors que « près de trois quarts le font au moins une fois tous les 6 mois (74%) ». Parmi ces produits d’épargne, le plan épargne retraite a recueilli 28% d’intentions d’investissement, selon le baromètre. Attractifs de par ses caractéristiques plus flexibles, l’intérêt principal pour les épargnants reste la volonté de se constituer un complément de revenu pour la retraite. L’enveloppe fiscale que représente le PER se place en deuxième position des intérêts des épargnants (80%), suivie de la possibilité de sortie en capital ou en rente viagère à la fin du contrat (78%). La possibilité, d’une sortie anticipée dans le cas de l’achat d’une résidence principale par exemple, donne également une option de liquidité qui séduit les épargnants français (54%). « Jusqu’à peu, les Français inquiets pour leur retraite n’épargnaient pas pour autant. Ce baromètre montre qu’aujourd’hui ils ont commencé à prendre conscience de la nécessité de la préparer individuellement ; cela se traduit par la notoriété et par le succès que rencontre le PER, lancé il y a seulement 18 mois », conclut Stellane Cohen.

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