Fin de la vignette verte d’assurance automobile

Le bout de papier vert qui certifiait l’assurance automobile tirera bientôt sa révérence.

L’intelligence artificielle booste la détection des fraudes chez Generali Assurances

Dans une avancée remarquable, Generali Assurances renforce son dispositif de détection de fraudes grâce à l’Intelligence Artificielle (IA).

Conduite sans assurance : les risques à connaître

Saviez-vous qu’environ 800 000 conducteurs en France circulent sans assurance, selon le Ministère de l’Intérieur ?

Comment optimiser votre contrat d’assurance vie ?

L’épargne mensuelle est une préoccupation majeure pour bon nombre d’individus. Le choix d’un contrat d’assurance vie peut être une option intéressante pour épargner efficacement.

Réforme de l’assurance récolte : les détails enfin dévoilés

La réforme de l’assurance récolte entrera bientôt en vigueur.

Institut des actuaires : Pierre de Villeneuve, président du haut conseil

Le haut conseil de l’institut des actuaires a élu Pierre de Villeneuve président, et Hélène Dubois, vice-présidente.

Pierre de Villeneuve, président du conseil d’administration de BNP Paribas Cardif, a été élu à la tête du haut conseil de l’Institut des Actuaires. Cet organe consultatif formule des avis sur les orientations de l’Institut des actuaires adoptés par l’assemblée générale. Pierre de Villeneuve a contribué au développement de BNP Paribas Cardif depuis sa création en 1973. Il a exercé la fonction de directeur général délégué de 2004 à 2016, de PDG de 2013 à 2015 et de président exécutif de 2016 à 2017. Pierre de Villeneuve est par ailleurs président du groupement français de bancassureurs et vice-président de la Fédération française de l’assurance.

Hélène Dubois a été élue vice-présidente du haut conseil. Elle est fondatrice d’ABAC, société de conseil en ressources humaines. Elle est membre du haut-conseil depuis 2015. Elle a démarré son activité professionnelle dans l’assurance et elle a été ensuite occupé le poste de directrice compensation and benefits au sein de plusieurs entreprises telles que Danone, Carrefour, Faurecia, Société Générale et Natixis.

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AF2A habilité pour les CQP du courtage

La CPNEFP du Courtage a de nouveau habilité AF2A au C.Q.P (Certificat de Qualification Professionnelle) du courtage en assurances. 

Une reconnaissance professionnelle nationale

Mis en œuvre paritairement par la branche de la professionnelle des entreprises du courtage d’assurances et/ou de réassurances, le CQP est reconnu par l’ensemble des entreprises de la branche et certifie qu’un salarié maîtrise l’ensemble des compétences d’un emploi donné défini.

Le CQP est destiné :

– aux salariés en poste et/ou en reconversion ;

– aux jeunes diplômés ;

– aux demandeurs d’emploi.

Dans la branche du courtage d’assurance, il existe trois CQP :

– Chargé(e) de clientèle en courtage d’assurances – 600h (soit 86 jours) ;

– Gestionnaire IARD en courtage d’assurances – 350h (soit 50 jours) ;

– Gestionnaire assurances de personnes en courtage d’assurances – 350h (soit 50 jours).

Les blocs de compétences constitutifs du CQP peuvent être acquis progressivement et le candidat en conserve le bénéfice pendant cinq ans.

AF2A et les CQP

AF2A a été agréé par la CPNEFP de la branche, pour une durée de 3 ans. Nous l’étions déjà depuis 2008, et avons pu accompagner 22 collaborateurs dans ce projet.

Présentiel, e-learning et travaux personnels à distance, AF2A apporte une réponse multimodale.

Concernant les modalités de prise en charge financière du CQP, il y a possibilité de financement auprès d’AGEFOS PME pour les cabinets de courtage.

Pour plus d’informations, contactez-nous par mail à info@af2a.com ou par téléphone au 01 56 88 56 00.

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Sfam : après Ardian, la CDC et Abou Dhabi entrent au capital

La Caisse des dépôts et Mubadala, fonds souverain émirati basé à Abou Dhabi, ont annoncé le 16 juillet leur entrée au capital de SFAM, via leur plateforme commune d’investissement FEF, dans le cadre d’une augmentation de capital de l’assureur spécialisé.

Cette opération dont le montant n’est pas précisé, destinée à financer la croissance du groupe de Romans-sur-Isère (Drôme), fait suite à l’arrivée d’un premier actionnaire de prestige en février, le fonds d’investissement français Ardian. Ce premier tour de table avait permis à Sfam d’acheter quelque 11% du capital du groupe Fnac-Darty.

Après le soutien d’Ardian, l’entrée de FEF va nous permettre d’accélérer la mise en place de notre plan stratégique en France et à l’international“, se félicite Sadri Fegaier, président-fondateur de Sfam, dans le communiqué d’annonce de l’opération.

Créé en 1999, Sfam est implanté en France à Romans-sur-Isère, Roanne et Paris. Spécialisé dans les assurances affinitaires, il a bâti son succès sur des contrats offrant des garanties étendues sur les téléphones portables et autres appareils électroniques.

Le groupe affiche une croissance spectaculaire de 2.400% depuis cinq ans, avec plus de 5 millions de clients en Europe, et 200.000 ventes par mois. Il compte 1.400 salariés et prévoit 500 millions d’euros de volume d’affaires en 2018. Actif en France, Espagne, Suisse et Belgique, il compte prochainement s’implanter au Portugal, en Allemagne, en Italie et aux Pays-Bas.

Le Franco-emirati Fund (FEF) avait été lancé en 2014 par CDC International Capital, filiale de la Caisse des Dépôts, et Mubadala Investment Company, fonds souverain créé et détenu par le gouvernement d’Abou Dhabi, avec une première enveloppe de 300 millions d’euros à investir dans l’économie française.

En novembre dernier, lors d’une visite au Emirats arabes unis, le président Emmanuel Macron avait annoncé la signature d’un nouveau partenariat financier avec Abou Dhabi, d’une capacité d’un milliard d’euros, avec une nouvelle enveloppe de 500 millions pour la plateforme FEF et une enveloppe similaire pour des co-investissements entre Mubadala et Bpifrance, filiale de la Caisse des dépôts et de l’Etat.

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Quelles perspectives sur les marchés financiers en 2018 ?

Les premières tendances de marché 2018

L’année 2017 s’est bien terminée pour les portefeuilles gérés par la Banque dans le cadre de notre service « Comptes Gérés ». Ils ont profité d’un environnement plus favorable aux actions qu’aux obligations. En effet, les actions mondiales de l’indice MSCI World ont progressé de 20,11% (5,26% en euros) en 2017 et les actions françaises de l’indice CAC40 ont progressé de 9,3% alors que l’indice des obligations d’Etat de la zone euro (Indice FTSE MTS Euro zone des obligations d’Etat) a progressé de 0,44%.

Les premières tendances du début d’année 2018 montrent une poursuite de la hausse des marchés d’actions en janvier puis une consolidation au début du mois de février à cause d’une statistique de hausse du salaire horaire de 2.9% sur un an aux Etats-Unis qui fait craindre aux investisseurs une inflation et une hausse des taux d’intérêt plus fortes qu’attendu. Ainsi à la clôture du 8 février, l’indice CAC 40 est en baisse de 2.8% depuis le début de l’année et l’indice MSCI World des actions mondiales baisse légèrement de 0.2% et de 3.3% en euro.

Les marchés d’actions entrent ainsi dans une période de plus forte volatilité. Les bonnes statistiques économiques et la croissance des bénéfices des entreprises nous font toujours adopter un scénario de croissance économique mondiale généralisée et préférer les actions aux obligations.

Une croissance économique généralisée à toutes les régions

En 2017, les actions ont profité du retour de la croissance dans toutes les régions du monde, d’abord au travers de la consommation des ménages tirée par l’élévation du niveau de vie dans beaucoup de pays émergents, et par les nouveaux moyens de consommation par internet et par mobile, de paiement sécurisé, d’entreposage, de transport de colis…
La croissance mondiale a été aussi tirée par la reprise de l’investissement dans de nouveaux outils de production plus intégrés et numérisés pour pouvoir répondre plus rapidement à la demande des consommateurs.
C’est dans ce contexte que le FMI a remonté en janvier ses prévisions de croissance pour le PIB mondial de 0.2% à 3.9% pour les années 2018 et 2019 grâce à l’amélioration de la confiance des acteurs économiques aux Etats-Unis (+0.4% à 2.7% en 2018 et +0.6% à 2.5% en 2019) et en zone euro (+0.3% à 2.2% en 2018 et 2% en 2019).

Les actions les mieux positionnées pour en profiter

De nombreuses sociétés profitent de ces nouvelles tendances économiques et tout particulièrement les acteurs américains, comme Google, Apple, Facebook ou Amazon, et asiatiques, comme Samsung, Alibaba ou Tencent. C’est ainsi que le secteur de la technologie a le plus progressé en bourse l’année dernière, à tel point qu’il pèse maintenant près de 25% des indices d’actions américaines et asiatiques.

La performance des entreprises à l’honneur en 2018

Les perspectives économiques pour 2018 restent favorables aux entreprises qui devraient engranger les bénéfices des mesures prises ces dernières années pour réduire leurs coûts de production, augmenter leurs marges et leur cash-flow.
C’est ainsi que la croissance attendue des résultats des sociétés américaines, européennes et émergentes s’approcherait de 10% en 2018 après déjà une bonne année en 2017.

Que font les entreprises de ces nouvelles ressources financières ?

Beaucoup d’entre elles ont annoncé récemment de nouveaux programmes d’investissement pour moderniser, numériser et digitaliser leurs outils de production, aussi bien dans les secteurs de l’industrie que de la finance.
Les entreprises ont aussi les moyens de verser des dividendes élevés. Ainsi, le rendement des actions européennes s’élève à 3,6% pour 2018, bien au-dessus du niveau du rendement des obligations qui reste très bas à 0,76% pour l’emprunt d’Etat français OAT 10 ans et proche de 1% pour les obligations d’entreprises bien notées de la zone euro.

Zone Euro – Rendement actions vs obligations

La volatilité des marchés en 2018

L’année 2018 est marquée par un regain de la volatilité pour les raisons suivantes :

  • les taux d’intérêt pourraient se tendre davantage en raison d’un niveau d’inflation plus élevé (hausse des prix de l’énergie et des salaires dans certaines régions et secteurs) et des politiques monétaires moins accommodantes, avec la poursuite de la hausse des taux par la banque fédérale américaine et la diminution des achats d’obligations par la banque centrale européenne.
  • les valorisations commencent à être relativement élevées dans certains secteurs comme la technologie ou certaines régions comme aux Etats-Unis, où les actions se sont davantage appréciées en 2017 avec la réforme fiscale, la baisse de 14% du dollar et la très bonne santé du secteur technologique qui représente plus de 22% du poids des actions américaines dans l’indice S&P 500.
  • La nouvelle politique protectionniste de l’administration des Etats-Unis pourrait créer de nouvelles tensions commerciales entre les grandes régions du monde et entraîner une escalade sur les tarifs douaniers néfaste au développement du commerce mondial.
  • Il existe des risques géopolitiques liés aux conflits au Moyen Orient ou à la situation en Corée du Nord

Indice de volatilité actions Zone Euro vs US

Comment investir en 2018 ?

Nous avons une opinion plus favorable aux actions qu’aux obligations en raison de la croissance économique plus solide dans le monde, de la forte progression des résultats des entreprises et des taux d’intérêt qui restent à des niveaux historiquement bas.

Nos allocation de Comptes Gérés reflètent cette opinion avec toujours une logique de diversification que ce soit en terme géographique ou en terme d’instruments.

Ainsi, dans la poche des actions, notre exposition est partagée entre les marchés développés et les marchés émergents qui profitent d’une forte croissance de l’économie à + 4,8% et des résultats des entreprises.
La poche obligataire, se diversifie en arbitrant les actifs monétaires et obligataires bien notés dont la rémunération est actuellement très faible en zone euro vers des obligations à haut rendement et des obligations convertibles, plus sensibles aux marchés actions.

Assurance – Guide et devis en ligne

Le retour de la confiance en France

En 2017 les actions françaises de l’indice CAC40 affichent pour la deuxième année consécutive des performances en hausse, de 9.3% après 4.9% en 2016 alors que dans le même temps l’indice de la zone euro (Eurostoxx50) progressait de 5.6% en 2017 et 0.7% en 2016. Ces performances témoignent du regain d’attractivité que connaît la France sur le plan économique et financier.

Reprise de la croissance économique en France en 2017

L’économie française a connu une forte croissance du PIB qui passe de 1.1% en 2016 à 2.0% en 2017. Le taux de chômage a entamé une décrue sensible passant de 10% en 2016 à 8.9% en 2017. Cette reprise est principalement due à la progression de l’investissement des entreprises et de la consommation des ménages. C’est dans ce contexte que le Fonds Monétaire International (FMI) a relevé sa prévision de croissance pour la France à 1.9% en 2018.

Evolution du PIB en France

Retour de la confiance des entreprises et des ménages

L’année 2017 a été marquée par une amélioration constante du niveau de confiance aussi bien du côté des entreprises que des ménages.

Ainsi, l’indicateur de confiance des chefs d’entreprises mesuré par l’indice PMI (Purchasing Managers Index) a progressé tout au long de l’année 2017 pour atteindre un niveau avoisinant 60 points (indice composite) au plus haut depuis 2000. Ce chiffre se situe bien au-dessus du niveau des 50 points, seuil caractéristique d’un cycle d’expansion économique. Ce regain de confiance du côté des entreprises se matérialise par un rebond du taux d’utilisation des capacités de production proche de 86% pour le quatrième trimestre 2017, son plus haut niveau depuis 2008.

Du côté des ménages, l’indice de confiance du consommateur publié par l’Insee progresse sensiblement grâce aux perspectives d’amélioration graduelle de l’emploi et du pouvoir d’achat. Ainsi, les dépenses des ménages ont progressé de 1.2% en 2017 et devraient poursuivre leur accélération en 2018. A ce titre on note une augmentation des ventes de véhicules et une reprise du tourisme en 2017.

Confiance du consommateur français

Une attractivité économique retrouvée

Les mesures fiscales de ces dernières années telles que le CICE (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi) et le CIR (Crédit d’Impôt Recherche) ont contribué à améliorer la compétitivité des entreprises françaises. Pour accroître l’attractivité de la France et créer davantage d’emplois, le gouvernement envisage en 2018 des réformes sociales (assurance-chômage, formation professionnelle, apprentissage) et économiques avec le PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) destiné à faciliter la création, le financement et la modernisation des entreprises.
Ainsi, le premier sommet de l’attractivité « Choose France » a réuni près de 140 dirigeants d’entreprises représentants les plus grands groupes mondiaux.

La préférence aux actions

Nous avons une opinion favorable sur les actions françaises qui devraient profiter de ces bonnes tendances économiques. Ainsi, la croissance attendue des résultats des sociétés de l’indice CAC40 s’approcherait des 7.3% en 2018 après déjà une bonne année 2017. Ces prévisions pourraient être revues à la baisse en cas d’appréciation forte de l’euro.
Les actions françaises ont des valorisations attractives avec un ratio cours/bénéfices à 13.1x les résultats 2018. Le rendement des actions françaises s’élève à 3.8% bien au-dessus du rendement des obligations souveraines à 0.90% pour l’Emprunt d’Etat français OAT 10 ans (chiffres au 05/03/2018).
Enfin, l’intensification du mouvement de fusions-acquisitions que connaissent les entreprises françaises devrait être un soutien au marché financier en 2018.

France – Rendement actions vs obligations

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