Fin de la vignette verte d’assurance automobile

Le bout de papier vert qui certifiait l’assurance automobile tirera bientôt sa révérence.

L’intelligence artificielle booste la détection des fraudes chez Generali Assurances

Dans une avancée remarquable, Generali Assurances renforce son dispositif de détection de fraudes grâce à l’Intelligence Artificielle (IA).

Conduite sans assurance : les risques à connaître

Saviez-vous qu’environ 800 000 conducteurs en France circulent sans assurance, selon le Ministère de l’Intérieur ?

Comment optimiser votre contrat d’assurance vie ?

L’épargne mensuelle est une préoccupation majeure pour bon nombre d’individus. Le choix d’un contrat d’assurance vie peut être une option intéressante pour épargner efficacement.

Réforme de l’assurance récolte : les détails enfin dévoilés

La réforme de l’assurance récolte entrera bientôt en vigueur.

Cercle LAB : Retour sur le 1er club épargne/retraite [2019-2020]

Jeudi 17 octobre s’est tenue la première réunion du club épargne/retraite en présence de son parrain, Jean-François Lequoy, directeur général de Natixis Assurances et de son expert, Serge Moreno, directeur marketing épargne et clientèle patrimoniale chez AG2R La Mondiale. Il fut largement question des taux négatifs.

Le monde de l’assurance et plus particulièrement le monde de l’épargne est entré dans une nouvelle ère : celle des taux négatifs. « D’aussi loin que je me souvienne, j’ai beaucoup entendu parler des taux bas, mais jamais des taux négatifs », a fait savoir un assureur présent le 17 octobre dernier. « Il ne faut surtout pas être dans le déni de ce nouveau monde », poursuit-il.

Et c’est bien parce que la situation est inédite que les travaux du club épargne/retraite su Cercle LAB vont s’attacher à analyser l’épargne/retraite à l’aune de ce nouveau contexte, tout au long de l’année. Car après des années de commercialisation de fonds euros, il devient impératif d’acculturer les clients à une certaine forme de prise de risque dans l’épargne. « Il faut sortir de cette image qui consiste à dire que les unités de compte sont forcément des placements en action », lance une participante.

Le besoin de liquidité et de sécurité du capital des épargnants devient incompatibles avec celui de solvabilité des assureurs. « Il faut faire évoluer les offres, voire le code des assurances qui n’est pas adapté à un monde de taux bas, voire négatif », pointe un bancassureur. « Le fonds euros va devenir plus rare, il faut donc le rendre plus cher », avance un ancien assureur. Cela peut passer par la hausse des frais de gestion, ou le conditionnement à une quote-part réservée à des UC. Certains préconisent également de desserrer l’étau sur les placements illiquides comme c’est le cas au Luxembourg. Pour d’autres, il faut mettre en avant le sens de l’épargne en insistant sur les classes d’actifs vertes.

Il va de toute façon falloir trouver des solutions pour éviter un scénario à la japonaise. 7 acteurs de l’assurance vie avait fait faillite.

A l’occasion de la prochaine réunion, le 17 décembre prochain, nous évoquerons l’épineuse question du devoir de conseil dans le cadre de la commercialisation de produit d’épargne

Lire la suite ici : Cercle LAB : Retour sur le 1er club épargne/retraite [2019-2020] (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Résultats 2019 T3 : Forte hausse du bénéfice pour Munich Re

Le géant allemand de la réassurance Munich Re a annoncé vendredi un bénéfice net en hausse de 75% au troisième trimestre en dépit des catastrophes naturelles, prévenant qu’il allait “dépasser” ses objectifs pour l’année 2019.

Sur la période de juillet à septembre, le groupe, dont le coeur de métier est d’épauler les assureurs contre les risques qu’ils encourent, a dégagé un bénéfice net de 850 millions d’euros contre 483 millions en 2018. Le bénéfice net part du groupe, qui avait été de 505 millions d’euros au troisième trimestre de l’année passée, n’a pas été détaillé vendredi.

“Malgré d’importants paiements pour de grands dommages”, par exemple les catastrophes naturelles, Munich Re a vu son résultat enfler en raison d’une “bonne évolution opérationnelle” mais également d’effets de change très avantageux et de gains provenant ses placements financiers. “Même si l’incertitude sur l’évolution des grands dommages et des marchés financiers reste naturellement très grande, Munich Re s’attend à dépasser l’objectif” de bénéfice net annuel, qui est de 2,5 milliards d’euros, ajoute l’entreprise dans un bref communiqué.

Ces chiffres sont préliminaires et seront détaillés le 7 novembre, précise Munich Re. Pour 2018 déjà, Munich Re avait annoncé un bénéfice net sextuplé sur un an, à 2,31 milliards d’euros, contre 375 millions d’euros en 2017, année marquée par de grands sinistres.

Lire la suite ici : Résultats 2019 T3 : Forte hausse du bénéfice pour Munich Re (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Nomination : Gérald Harlin prend les rênes d’Axa IM

Afin de préparer la nouvelle phase de développement d’Axa Invest Managers, l’assureur vient de nommer Gérald Harlin comme executive chairman de sa filiale. Ce dernier prendra ses fonctions le 1er décembre prochain.

Axa vient de nommer Gérald Harlin comme executive chairman de sa filiale Axa IM. Dès le 1 décembre, il remplacera Andrea Rossi qui a quitté son poste de CEO et devenir son conseiller stratégique. Gerald Harlin, actuel directeur général adjoint et directeur financier du groupe Axa aura notamment pour mission de mettre en œuvre « la prochaine phase de la stratégie d’Axa IM visant à accélérer le développement de la société. Il continuera à rapporter à Thomas Buberl, directeur général d’Axa, dans ses nouvelles fonctions », indique l’assureur dans un communiqué.

Le groupe précise également que tous les membres du comité de direction d’Axa IM seront rattachés à Gérald Harlin, qui remplace par la même occasion Christof Kutscher, président du conseil d’administration de la filiale depuis 2014 et qui a lui aussi quitté ses fonctions. La compagnie indique par ailleurs que Gérald Harlin restera directeur général adjoint d’Axa après le transfert de ses responsabilités de directeur financier à Étienne Bouas-Laurent à la fin de l’année 2019.

« Axa IM est un atout stratégique pour Axa. Je suis reconnaissant à Gérald d’avoir accepté cette mission pour le groupe et de reporter son départ à la retraite. Dans la continuité de la transformation menée par Andrea et les équipes d’Axa IM au cours des dernières années, l’expérience et le leadership de Gérald seront déterminants pour mettre à profit l’énergie des collaborateurs et entamer cette nouvelle phase stratégique avant de passer le relais à son successeur », a commenté Thomas Buberl.

Lire la suite ici : Nomination : Gérald Harlin prend les rênes d’Axa IM (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Cercle Lab : Retour sur la 1e réunion du club santé

Le club santé du Cercle LAB a repris le 1er octobre avec Pierre François, directeur général de Swiss Life prévoyance et Santé, en qualité de parrain.

Cliquer pour visualiser le diaporama.

Dans la continuité des travaux de la saison dernière, le club santé va se pencher cette année sur la création de valeur dans le secteur de la complémentaire santé. En préambule, Pierre François, président de la commission d’assurance de personnes de la Fédération française de l’assurance, a partagé sa vision sur différents sujets d’actualité : PLFSS 2020, frais de gestion, assurance dépendance, loi Pacte et réforme sur le 100% santé.

Les rapprochements entre acteurs de l’assurance n’ont pas conduit à une baisse des coûts, selon Pierre François. En revanche, la stratégie de diversification des différents acteurs provoque à une ouverture du marché de l’assurance santé. En plus des acteurs historiques, banques, start-up, mutuelles d’assurance… commercialisent des couvertures santé, ce qui a pour effet de renforcer la concurrence.

« Créer de la valeur c’est mettre des moyens à un endroit pour être meilleur que les autres », selon le parrain du club santé. A l’heure où beaucoup d’acteurs investissent sur leur offre de services, Pierre François pointe du doigt le manque de retour sur investissement. Les assureurs doivent avoir des services sur leur catalogue pour remporter des appels d’offres, mais ensuite ces services ne sont pas utilisés par les adhérents. « Pour qu’il y ait de la valeur il faut qu’il y ait de l’utilité », insiste-t-il.

D’un point de vue pragmatique, Pierre François signale qu’« il n’est pas possible de déposer un brevet sur un service. C’est pourquoi le jour où un acteur développera un service révolutionnaire, il sera immédiatement copié par tout le marché », avance Pierre François.

Quand un service marche, il faut le faire savoir. Par exemple, « les réseaux de soins jouent un rôle déterminant dans la réduction du reste à charge des assurés, et pourtant, ils ne sont pas valorisés ». Les assureurs devraient faire des efforts pour mieux communiquer les économies effectuées grâce à l’intervention des réseaux de soins. Par exemple, à la sortie du magasin d’optique, l’assureur doit être capable de dire à l’assuré quel a été le reste à charge évité sur les verres grâce au pouvoir de négociation des réseaux de soins.

Les assureurs ne sont pas prêts à investir sur des services de prévention qui porteront des fruits dans 4-5 ans, selon le parrain du club santé. « Qui est capable de suivre sa clientèle sur 4-5 ans et de conserver le détail de toutes les prestations versées pendant la période ? », s’interroge Pierre François, sceptique.

En revanche, il croit que des services qui apportent un bénéfice partagé comme la télémédecine ont de l’avenir. Il a évoqué par exemple les plateformes de prise de rendez-vous en ligne comme Doctolib comme des sociétés dans lesquelles les assureurs auraient pu investir.

Interrogé sur les pistes de différenciation dans un marché de plus en plus encadré, Pierre François a évoqué les produits modulaires sur-mesure qui permettent de panacher des garanties et des niveaux de couverture différents : par exemple, optique et hospitalisation, en jouant avec la segmentation et la mutualisation. « Le risque d’anti-sélection est présent pendant les premières années mais ensuite, ces offres peuvent offrir une bonne rentabilité », explique-t-il.

Un des terrains où les assureurs peuvent créer de la valeur demain est « le parcours de soins », selon Pierre François. Par exemple, Le déploiement de la norme ROC dès janvier 2020 permettra à l’organisme complémentaire de savoir en temps réel si ses assurés sont hospitalisés. Et de proposer des services d’accompagnement au bon moment, en soins de suite, coordination…

Il existe également des marges de manœuvre sur la gestion du risque, en agissant sur la fréquence du sinistre et en dialoguant avec les professionnels de santé, même si les discussions sont souvent difficiles.

Marie-Sophie Houis, experte du club santé, a également évoqué la simplification des contrats comme un axe d’amélioration. « Pour faire simple, il faut aller vers le contrat non responsable », répond Pierre François, qui évoque les contrats au premier euro.

D’autres types de contrat mixtes qui associent santé et prévoyance, retraite et prévoyance ou dépendance et santé… pourraient également enrichir la proposition de valeur de la complémentaire santé. Le problème des assurances dépendance individuelles est la forte fréquence de sinistre en fin de vie. Le risque dépendance coûte cher en Solva 2 car est un risque mal connu. Pour améliorer le résultat technique des contrats dépendance, Pierre François évoque la possibilité de limiter la prise en charge en rente dépendance à un nombre d’année maximum, ce qui permettrait de baisser le prix de la cotisation.

Le club santé continuera à explorer les pistes de différenciation des acteurs de la santé le 11 décembre et ensuite le 6 février.

Lire la suite ici : Cercle Lab : Retour sur la 1e réunion du club santé (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Conventions de courtage : Planète CSCA s’entend avec Aviva France

Planète CSCA annonce avoir finalisé les négociations portant sur les conventions de distribution IARD entre Aviva France et ses courtiers pratenaires. Le syndicat poursuit ses discussions engagées depuis plus d’un an maintenant avec d’autres compagnies du marché.

Les semaines se suivent et se ressemblent pour Planète CSCA qui annonce être parvenus à un accord concernant les évolutions de la nouvelle convention de distribution entre Aviva France et ses intermédiaires. « Cette nouvelle version, répertoriée sous le libellé « convention de courtage Aviva Assurances », portant sur la seule distribution des produits d’assurance IARD, constitue un socle a minima tenant compte à la fois des impératifs RGPD et DDA tout en présentant un contenu contractuel réaliste et équilibré », note le syndicat du courtage dans un communiqué.

« Nous sommes très heureux de l’aboutissement de ces négociations entamées fin 2018 avec Planète CSCA. Cette mise en conformité de notre convention IARD s’inscrit dans la démarche d’Aviva de simplifier la collaboration avec les courtiers et de mettre en place un flux d’activité permettant aux parties de bien se connaître. Nous souhaitons instaurer avec nos courtiers une relation de partenariat et qu’elle s’inscrive dans la durée », explique pour l’occasion Louis Roussille, Directeur commercial courtage IARD chez Aviva France, et que nous recevions sur notre plateau il y a quelques jours.

Quelques jours après avoir finalisé ses négociations avec la Mutuelle Mieux-Être, Planète CSCA indique poursuivre ses négociations avec d’autres assureurs du marché.

Lire la suite ici : Conventions de courtage : Planète CSCA s’entend avec Aviva France (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro