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Diaporama : Seroni fête ses presque 10 ans en grande pompe

DIAPORAMA – Lundi 4 décembre, Seroni soufflait ses presque 10 bougies. Retour en photo sur cette soirée d’anniversaire.

Lire la suite ici : Diaporama : Seroni fête ses presque 10 ans en grande pompe (source : NA PRO – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

NA PRO

Diaporama : Henri Martinez, directeur général d’Adéis


LUC PERENOM

Si l’environnement concurrentiel évolue suite à la censure des clauses de désignation en 2013, le rôle des branches professionnelles reste déterminant, affirme le responsable de la structure paritaire Adéis.

Découvrez notre diaporama issu de l’interview de Henri Martinez à retrouver dans l’Argus du 13 février.

«Nous allons fêter notre 3e anniversaire et nous sommes au-delà de nos objectifs avec 67 branches en santé et/ou en prévoyance. Contrairement à toutes les attentes, depuis la fin des clauses de désignation en juin 2013, notre développement s’est poursuivi et nous avons remporté une dizaine d’appels d’offres à fin 2014.» – © LUC PERENOM

«C’est tout de même un grand tournant. Nous sommes passés d’une phase où l’organisme assureur avait du temps pour obtenir l’ensem­ble des adhésions et la sécurité de la mutualisation, à une page blanche qu’il faut écrire. Mais le rôle des branches professionnelles devrait rester important, compte tenu notamment de la portabilité des droits améliorée avec l’ANI du 11 janvier 2013.» – © LUC PERENOM

«Le décret sur le degré élevé de solidarité est très important. Il justifie la discussion des partenaires sociaux dans les branches, car au-delà des garanties santé ou prévoyance, ils vont avoir à négocier des éléments de solidarité propre à leur secteur professionnel. Cela rejoint la notion d’intérêt général lié à la couverture santé et demain à la prévoyance.» – © LUC PERENOM

«Les offres santé sont prises dans un effet tunnel : entre le panier de soins ANI et celui du contrat responsable, la marge de manœuvre n’est pas extraordinaire ! Outre les garanties, nous pensons qu’il faut travailler avec un actuaire conseil pour avoir le prix le plus juste. Avec les désignations, même s’il y avait une sous-tarification de 10 ou 15%, l’organisme assureur pouvait revenir au tarif d’équilibre.» – © LUC PERENOM

«Je pense que ne nous verrons pas forcément une augmentation du nombre de concurrents, mais un paysage un peu plus divers, avec aussi des cabinets de courtage qui essaient de se positionner sur les branches professionnelles.» – © LUC PERENOM


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Diaporama : Ludovic Subran, chef économiste d’Euler Hermes


© Raphael Dautigny

Ludovic Subran, chef économiste d’Euler Hermes, dresse un bilan économique de l’année 2014 rapide et accessible, non sans pointer les indicateurs à suivre pour mieux guider les orientations stratégiques.

Découvrez notre diaporama issu de l‘interview de Ludovic Subran, à retrouver dans l’Argus du 16 janvier.

Au sujet de l’économie mondiale en 2014 : «Du côté économique, la bonne nouvelle vient de la maîtrise des risques systémiques des banques. Enfin, les marges vont mieux, le financement des ménages aussi, tandis que le désendettement s’opère petit à petit. Tout cela va dans le bon sens.» – © © Raphael Dautigny

«L’Europe a été très occupée à se stabiliser, au risque d’oublier que le monde tourne pendant ce temps-là. Cet isolationnisme conduit le reste du monde à se déshabituer de l’Europe qui, petit à petit, ne les intéresse plus. Cet égocentrisme nous entraîne vers une harmonisation assez dogmatique plutôt que de mettre en avant les différences positives et d’en tirer parti.» – © © Raphael Dautigny

«Il y a une forte dimension d’économie politique qui énonce parfois de bonnes idées, comme le pacte de responsabilité. Mais la mise en oeuvre nous ramène parfois à de vieux débats qui laissent supposer qu’en France, entre la maintenance et le projet, nous sommes plus sur la maintenance et moins sur le projet.» – © © Raphael Dautigny

«Selon moi, les conditions de financement de la France sont loin d’être catastrophiques. Mais la reprise ne va pas aligner les étoiles, en particulier parce que Solvabilité 2 et Bâle 3, donc la régulation mondiale, créent un attentisme qui freine la reprise.» – © © Raphael Dautigny

Au sujet des indicateurs à suivre dans l’assurance : «Les ventes de détail et les enquêtes sur les investissements. Elles permettent de savoir si les coûts d’acquisition peuvent être rentabilisés. Il faut regarder les défaillances d’entreprises, qui devraient se stabiliser, tout en restant à un niveau record.» – © © Raphael Dautigny


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Diaporama : Alain Bazot, président de l’UFC-Que Choisir


Pierre Vassal

Médiatique président de l’UFC-Que Choisir, la plus importante association de consommateurs en France, Alain Bazot expose sa position sur l’action de groupe et revient sur des grands sujets assurantiels dans le collimateur de l’association : la résiliation infra-annuelle, l’assurance emprunteur, l’optique ou la «GUL».

Découvrez notre diaporama, issu de l’interview d’Alain Bazot, à retrouver dans l’Argus du 19 décembre.

«L’action de groupe doit intervenir comme une épée de Damoclès pour inciter les entreprises mises en cause à privilégier la voie de la médiation. À la condition expresse que la médiation soit réellement indépendante des entreprises. Et ça, ce n’est pas gagné.» – © Pierre Vassal

«Une des vertus de la résiliation [infra-annuelle, NDLR] sera sans doute d’inciter les assureurs à chouchouter leurs clients. Jusqu’à présent, un assuré n’était pas «fidèle» mais «captif». Ce qui est antinomique de toute notion de concurrence.» – © Pierre Vassal

«Il a fallu s’y prendre à plusieurs reprises pour enfin dynamiser le secteur [de l’assurance emprunteur, NDLR]. Il ne faut pas oublier la relation très inégalitaire qui existe entre une banque et un emprunteur. Désormais, on peut presque signer les yeux fermés le contrat d’assurance puisqu’on a un an pour faire le tour de la place et en changer…» – © Pierre Vassal

«La seule façon pour les complémentaires de réguler le marché [de l’optique, NDLR] consiste en la création de réseaux de soins. Ils doivent être le plus transparent possible sur les appels d’offres, la liste des opticiens affiliés, etc.» – © Pierre Vassal

«Nous défendons une garantie obligatoire des bailleurs contre les loyers impayés. Nous sommes, en revanche, plus réservés sur une suppression de la garantie des risques locatifs (GRL).» – © Pierre Vassal


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Jour J : les premiers résultats de l’Observatoire présentés aux Journées du Courtage (Diaporama)

Dans le cadre de la 13ème édition des Journées du Courtage, L’Argus de l’assurance présente les premiers résulats de son Observatoire du courtage 2014. Cette première étude porte sur les effets que peuvent avoir les dispositions réglementaires sur l’activité des courtiers de proximité.

Dans le courant des mois de juillet et août 2014, L’Argus de l’assurance (groupe Infopro Digital) a mené une enquête auprès de près de 6800 entreprises de courtage basées dans toute la France. Ils sont 326 intermédiaires à avoir répondu à l’intégralité de cette première enquête de l’Observatoire du courtage concernant l’impact des évolutions réglementaires. Parmi elles, 253 sociétés exercent exclusivement une activité de courtiers et 73 ont la double casquette d’agent général d’assurance et de courtier.

Découvrez au travers de ce diaporama les résultats de cette première enquête.

Observatoire du courtage 1 – Business model

L’adaptation aux nouvelles réalités réglementaires demeure un véritable casse-tête pour les cabinets de courtage, quelle que soit leur taille.

Observatoire du courtage 1 – Les changements avec l’ANI

La généralisation de la complémentaire santé forcerait même plus de la moitié des courtiers interrogés à changer de cap. Un chiffre qui atteint même 65,5% pour les entreprises ayant un chiffre d’affaires compris entre 200K€ et 800K€.

Observatoire du courtage 1 – Loi Hamon

Ils sont près de 73% des courtiers à estimer que la loi Hamon devrait changer leur approche du métier au quotidien. Pour 37,1%, elle engendrerait même des changements fondamentaux en termes de gestion des contrats.

Observatoire du courtage 1 – Accompagnement courtiers de proximité

Parmi les sociétés de courtage de moins de 800 K€ référencées dans ce panel (64,1 %), une grande majorité attend de leurs assureurs, mutuelles et autres courtiers grossistes une assistance quotidienne afin de les aider à appréhender au mieux ces mouvements de marché.

Obervatoire du courtage 1 – Type d’accompagnement attendu

Les 222 courtiers en attente d’accompagnement veulent que leurs fournisseurs les soutiennent par le biais de solutions de gestion (54,5%) et au niveau de leur veille réglementaire (41%).


L’Argus de l’Assurance – Acteurs