d’Allianz

Nominations : Trois arrivées à la tête des écosystèmes d’Allianz France

Allianz France annonce les nominations de Catherine Mathon Brillaud, Marion Dewagenaere et Claire Riollier à la tête de trois écosystèmes de la compagnie.

Allianz France vient de nommer Catherine Mathon Brillaud à la tête de l’écosystème « Ma mobilité ». En parallèle, Marion Dewagenaere, prend la tête de l’écosystème « Mon avenir », quand Claire Riollier est nommée à la tête de l’écosystème « Ma vie quotidienne ».

« Chaque écosystème s’appuie sur l’intelligence collective d’équipes pluridisciplinaires -actuaires, spécialistes du marketing, commerciaux, informaticiens, souscripteurs, ou spécialistes de la relation client. Ces équipes, appelées ‘squads’, sont constituées d’une dizaine de personnes travaillant sur des projets émanant directement de besoins clients identifiés. Elles sont ‘colocalisées’, c’est-à-dire réunies dans un même espace de travail », précise Allianz France dans un communiqué. La compagnie a lancé ces derniers mois 6 écosystèmes (Ma mobilité, Ma santé, Mon avenir, Mon activité, Ma construction, Ma vie quotidienne).

Directrice des systèmes d’information d’Allianz France depuis 2019, Catherine Mathon Brillaud est diplômée de l’EPF Ecole d’Ingénieurs. Elle a débuté sa carrière comme consultante chez PWC avant d’intégrer BearingPoint comme directrice associée. Elle avait rejoint Allianz France en 2013 en tant que directrice de projet.

De son côté, Marion Dewagenaere était directrice d’Allianz Patrimoine depuis son arrivée au sein de la compagnie en 2019. Diplômée de l’Ecole polytechnique et Ingénieur des Ponts, elle a débuté sa carrière en 2006 à la direction du budget au Ministère de l’Economie et des Finances. Nommée responsable de la gestion des fonds propres et de la communication financière de la Banque Postale en 2012, elle a rejoint l’année suivante la Caisse d’Épargne Île-de-France comme secrétaire générale, membre du Comité Exécutif jusqu’en 2019.

Enfin, Claire Riollier était directrice de la transformation business d’Allianz France depuis 2019.Diplômée de l’ESSEC et de l’IUT de Paris, elle a débuté sa carrière dans le secteur pharmaceutique puis la grande distribution, avant de rejoindre les AGF en 1997 comme responsable marketing. Nommée directrice de la relation client puis directrice multicanal et outils marketing entre 2006 et 2012, elle a ensuite été directrice générale de Protexia France avant d’être nommée directrice de la voix du client de la compagnie en 2016.

Lire la suite ici : Nominations : Trois arrivées à la tête des écosystèmes d’Allianz France (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Ristourne moyenne de 15% pour les adeptes de la Conduite connectée d’Allianz

9.000. C’est le nombre d’assurés qui ont succombé à la « Conduite connectée » proposée par le groupe Allianz. Au programme, un petit boîtier qui mesure le style de conduite et l’usage du véhicule, avec à la clef une ristourne sur sa prime. Mais pas que.

La Conduite connectée d'Allianz a déjà séduit 9.000 assurés pour une ristourne moyenne de 15% sur leurs primes.

 

Un petit boîtier dans sa voiture pour voir sa prime d’assurance auto diminuer. Et bien sûr, une conduite vertueuse. C’est le principe du « Pay how you drive », ou « Payer selon votre conduite » en Français. Ce système, qui consiste à installer un boîtier dans le véhicule afin de mesurer la façon de conduire de son propriétaire, a séduit plus de 9.000 assurés auto du groupe Allianz depuis juillet 2014, date de commercialisation de l’offre.

Celle-ci, nommée « Conduite connectée », a déjà permis de faire des heureux. « Les premières échéances montrent que nos assurés reçoivent en moyenne une réduction de l’ordre de 15% », indique le groupe Allianz contacté par Toutsurmesfinances.com. « Ces résultats sont très encourageants et nous confortent dans notre souhait de développer des offres de télématique automobile », poursuit ce dernier.

Il faut dire que la « Conduite connectée » a de quoi séduire les automobilistes. Premièrement, Allianz n’enregistre pas tout. Ainsi, la vitesse et les déplacements ne sont pas « surveillés » par le boîtier, celui-ci ne possédant d’ailleurs pas de puce GPS. Pour estimer une éventuelle réduction tarifaire, la compagnie se base sur trois indicateurs : le style de conduite (intensité et fréquence des accélérations, virages, freinages), l’usage du véhicule (jour, nuit et conditions de circulation) et à quelle fréquence (nombre de jours d’utilisation par mois). Autre point : aucune pénalité n’est appliquée. Autrement dit, soit vous réduisez votre prime jusqu’à 30% à échéance du contrat, soit aucune ristourne ne vous est appliquée. Enfin, l’offre s’adresse à tous les conducteurs, sans exception (en option, un euro/mois).

Baisse de la prime, mais pas seulement

De l’aveu d’Allianz, « l’argument le plus décisif est celui d’obtenir une réduction de sa prime en fonction de sa conduite. Nous l’avons constaté avec l’accélération des ventes depuis le lancement du volet tarification comportementale en octobre 2015 ». Mais ce n’est pas tout. L’assureur note également qu’un « certain nombre de conducteurs adopte notre offre de conduite connectée afin d’évaluer de manière objective leur conduite et de l’améliorer ». En effet, le boîtier fonctionne avec une application, à télécharger sur son smartphone. Or, chaque jour, vous recevez directement sur votre téléphone un rapport sur votre style de conduite et sur l’usage que vous faites de votre voiture, ainsi qu’un conseil routier.

« D’autres sont particulièrement sensibles à la notion de sécurité et souscrivent l’offre pour bénéficier de nos services d’assistance », ajoute Allianz. A la base, l’assistance est même l’objectif premier qui justifiait l’installation d’un boîtier, avant la notion tarifaire. En cas d’urgence, grâce à la puce présente dans le smartphone, vous bénéficiez d’un appel automatique d’assistance. Le boitier détecte en effet un choc violent sur le véhicule et alerte Mondial Assistance qui vous contacte. Au bout de deux appels laissés sans réponse, une équipe de secours est dépêchée sur place. Idem, en cas de panne, vous serez contacté via l’application de votre smartphone.

Enfin, un dernier service va de pair avec l’offre « Conduite connectée ». Vous ne retrouvez jamais votre voiture une fois garée ? Pas de problème, une fonctionnalité « Retrouver mon véhicule » est insérée dans l’application. Et en plus, elle vous indique le meilleur chemin !

Pour l’assureur, une mine de données

A première vue, l’on pourrait penser que l’assuré a tout à y gagner, puisqu’aucune hausse de prime n’est appliquée en cas de mauvaise conduite. Dans les faits, l’assureur n’est pas en reste. Pour lui, c’est une incroyable mine d’informations qui lui arrive directement depuis les boîtiers. Par ailleurs, « le retour d’expérience est positif : l’offre séduit en premier lieu les conducteurs qui pensent avoir une bonne conduite et responsabilise les autres », indique Allianz. Autrement dit, non seulement la compagnie d’assurance se dote d’assurés de plus en plus vertueux, qu’elle fidélise avec la ristourne annuelle sur les primes, et en plus, elle minimise les mauvais automobilistes dans son portefeuille de clients. Du gagnant-gagnant ?


Tout Sur L Assurance

125 ans d’Allianz : les salariés veulent leur part du gâteau

Allianz drapeaux125 ans d’Allianz : les salariés veulent leur part du gâteau

Les collaborateurs d’Allianz protestent contre l’absence de prime à l’occasion des 125 ans d’Allianz.

Allianz soufflera l’an prochain ses 125 bougies. Mais les salariés n’ont pas le cœur à la fête. L’objet de leur grogne : le fait que la direction d’Allianz n’a pas prévu de distribuer de primes à cette occasion. Aucun traitement particulier n’a été réservé, ni aux collaborateurs dits “excellents”, ni aux actionnaires, qui ne toucheront pas non plus de dividende spécial à ce moment-là.

Cette croix sur les bonus a déclenché une pluie de commentaires furibonds et cyniques sur l’intranet de la compagnie (plus de 300 salariés ont réagi), comme le révèle le Süddeutsche Zeitung. Parmi les perles : “les collaborateurs excellents ne sont plus indispensables à Allianz, seule l’est la baisse des coûts.” Un autre salarié écrit par exemple que “la direction vient de découvrir la valeur des collaborateurs. Valeur découverte : 0.

Le “buzz” a tellement pris en interne que le patron d’Allianz Deutschland, Markus Riess, a dû se fendre d’une longue explication sur le même intranet vendredi dernier. Pour justifier l’absence de prime exceptionnelle, il avance que le succès d’Allianz ne s’est pas appuyé uniquement sur l’Allemagne mais bien sur toutes les filiales, outre-Rhin et à l’étranger, ce qui représenterait par conséquent une somme bien trop importante à distribuer, car il ne doit pas y avoir de traitement de faveur pour les collaborateurs allemands. Markus Riess répond aussi aux attaques sur la valeur des salariés et laisse la porte ouverte : “Il est réducteur de mesurer la reconnaissance de la valeur d’un salarié à l’aune d’un bonus pour le jubilé de l’entreprise. Même si cela peut s’exprimer aussi par le salaire distribué. Nous avons beaucoup amélioré la valeur d’Allianz Deutschland et la sécurité de l’emploi. C’est pourquoi nous réfléchissons avec le comité d’entreprise à associer les collaborateurs allemands à ce succès par une participation financière en 2015″.

D’autres multinationales allemandes avaient fait preuve de générosité à l’occasion de tels jubilés par le passé, comme le rappelle le Handelsblatt : pour son 911ème modèle, Porsche a ainsi versé 9111 euros à chaque employé. Et lorsque Daimler a fêté ses 125 ans, il a attribué 125M d’euros à ses collaborateurs (soit environ 3.150 euros par personne).


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Dossier Best-of 2013-2014 : #2 – La stratégie digitale d’Allianz

Allianz Numerique digital

Le dossier des “best-of” de News Assurances Pro touche quasiment au but avec aujourd’hui le deuxième article le plus lus depuis le 1er septembre 2013. Il parle de digital, de numérique et de stratégie.

L’assurance en ligne et le digital sont de nature à intéresser le secteur de l’assurance. En cause ? Peut-être le retard pris par le secteur, ou le manque de bonnes idées, voire le tâtonnement des services dédiés. Alors, quand un assureur de premier plan semble avoir trouvé un axe stratégique, forcément, il est épié, surveillé, surtout quand cet assureur a investi massivement sur le numérique ces dernières années…

Marché : Allianz France renforce encore sa stratégie digitale

Dans le cadre de sa stratégie digitale, Allianz France lance deux nouvelles applications mobiles et de nouveaux services connectés pour faciliter la relation client. L’assureur souhaite atteindre 20 à 30% de souscriptions en ligne d’ici 2016.

Une fois n’est pas coutume, c’est dans un cadre inhabituel qu’Allianz France a présenté sa stratégie de transformation de la relation client pour 2014. Digital oblige, l’assureur a convié la presse dans son nouveau showroom entièrement connecté : ambiance “numéricool” et décoration qui fleure bon la Silicon Valley.

C’est en partie ici qu’Allianz France peaufine sa stratégie digitale depuis quelques mois, afin de s’adapter aux nouveaux usages de ses clients. “Les Français sont très adeptes des objets connectés”, lance Virginie Fauvel, directrice Digital & Market Management et membre du Comité Executif d’Allianz France, que nous avions interrogé il y a peu sur la Loi Hamon. Après le lancement de sa nouvelle campagne publicitaire ou celui de la tarification en 1 minute pour souscrire une assurance auto, l’assureur poursuit sa digitalisation en proposant deux nouvelles applications mobiles. “Aujourd’hui nous avons comme stratégie de penser systématiquement une offre “Mobile First”, c’est à dire disponible sur mobile en premier. Nos offres sont systématiquement connectées”, ajoute Virginie Fauvel.

Deux nouvelles applications

Allianz France propose d’une part “Mon Allianz mobile” qui permet à chaque assuré de disposer de l’ensemble des référence de ses contrats et de pouvoir directement sur son mobile souscrire les offres en ligne de l’assureur (voir la vidéo ci-dessous).

Autre application, “Allianz Conduite connectée”, qui permet via un petit boitier à brancher sur son véhicule (sur le port OBD) d’évaluer sa conduite grâce à des données fournies sur son smartphone. Cette application permet aussi de faire appel à un service d’assistance. Le boitier (developpé par TomTom Telematics) est proposé en option sur les offres automobiles d’Allianz pour un coût de 50 euros par an. “Clairement, au fur et à mesure des données récoltées par cette nouvelle offre télématique, si on se rend compte que vous avez une conduite correcte, on pourra décider de revoir à la baisse votre prime d’assurance, mais uniquement à la baisse”, explique Delphine Asseraf, directrice Digital d’Allianz France

Partenariat avec amazon.fr

Si Allianz France revendique aujourd’hui 5% de souscriptions effectuées en ligne, l’assureur ambitionne d’atteindre les 20 à 30% d’ici 2016. Cela passe aussi par le concours de ses 3.800 commerciaux salariés et l’inspection commerciale, tous équipés d’iPhone 5C depuis peu.

L’assureur mise également sur l’aide à l’indemnisation, grâce à un service de remplacement noué avec le site amazon.fr. Ainsi, en cas de vol, de dégradation ou de sinistre dans une habitation, Allianz propose en un appel téléphonique d’estimer le montant des dégâts et d’indemniser le client en lui créditant instantanément tout ou partie de son indemnité sur son compte Amazon. Le montant limite d’indemnisation est de 2.000 euros concernant les sinistres sur le contenu de l’habitation et de 2.000 euros pour les sinistres immobiliers. Pour l’heure l’enseigne déclare que cette solution est acceptée dans 40% des cas par les assurés.


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