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L’offre du mois chez AMV

En cette période trouble, où les difficultés financières peuvent parfois accabler certains ménages, voici une bonne nouvelle aux assurés AMV. Celui-ci vient d’annoncer qu’il offrait un mois de cotisation. Il est clair qu’en plein confinement, nous sollicitons moins nos véhicules, et de ce fait bien moins d’accidents sont enregistrés, et avec cette baisse d’activité générale, c’est plutôt une aubaine pour les assurances. Voici la lettre en question:

Bonjour,

Par solidarité durant cette période de confinement, AMV a pris l’engagement fort d’offrir 1 mois de cotisation* à ses assurés, applicable à la prochaine échéance.
Le renouvellement de votre contrat étant au mois de mai, vous recevrez dans les jours à venir votre avis d’échéance annuel qui tient compte de cette remise.
Pour faciliter le renouvellement de votre contrat et l’envoi de votre carte verte, nous vous invitons à privilégier le règlement de votre prime par carte bancaire sur amv.fr, rubrique Mon Espace AMV dès réception de votre avis d’échéance.

AMV a adapté son organisation pour préserver ses collaborateurs tout en vous assurant une continuité de services.

Soyez ainsi assurés de notre mobilisation pour être à vos côtés et vous servir.

AMV
* Réduction à valoir sur les contrats Moto / Scooter / Quad / Auto (hors AMV Légende) et Camping-car , hors options, protection juridique, garanties attentats et risques technologiques et ayant une échéance principale entre le 1er mai 2020 et le 30 avril 2021.

Source: https://www.amv.fr/blog/amv-assurance-assurement-passionne/


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Quelles perspectives sur les marchés financiers en 2018 ?

Les premières tendances de marché 2018

L’année 2017 s’est bien terminée pour les portefeuilles gérés par la Banque dans le cadre de notre service « Comptes Gérés ». Ils ont profité d’un environnement plus favorable aux actions qu’aux obligations. En effet, les actions mondiales de l’indice MSCI World ont progressé de 20,11% (5,26% en euros) en 2017 et les actions françaises de l’indice CAC40 ont progressé de 9,3% alors que l’indice des obligations d’Etat de la zone euro (Indice FTSE MTS Euro zone des obligations d’Etat) a progressé de 0,44%.

Les premières tendances du début d’année 2018 montrent une poursuite de la hausse des marchés d’actions en janvier puis une consolidation au début du mois de février à cause d’une statistique de hausse du salaire horaire de 2.9% sur un an aux Etats-Unis qui fait craindre aux investisseurs une inflation et une hausse des taux d’intérêt plus fortes qu’attendu. Ainsi à la clôture du 8 février, l’indice CAC 40 est en baisse de 2.8% depuis le début de l’année et l’indice MSCI World des actions mondiales baisse légèrement de 0.2% et de 3.3% en euro.

Les marchés d’actions entrent ainsi dans une période de plus forte volatilité. Les bonnes statistiques économiques et la croissance des bénéfices des entreprises nous font toujours adopter un scénario de croissance économique mondiale généralisée et préférer les actions aux obligations.

Une croissance économique généralisée à toutes les régions

En 2017, les actions ont profité du retour de la croissance dans toutes les régions du monde, d’abord au travers de la consommation des ménages tirée par l’élévation du niveau de vie dans beaucoup de pays émergents, et par les nouveaux moyens de consommation par internet et par mobile, de paiement sécurisé, d’entreposage, de transport de colis…
La croissance mondiale a été aussi tirée par la reprise de l’investissement dans de nouveaux outils de production plus intégrés et numérisés pour pouvoir répondre plus rapidement à la demande des consommateurs.
C’est dans ce contexte que le FMI a remonté en janvier ses prévisions de croissance pour le PIB mondial de 0.2% à 3.9% pour les années 2018 et 2019 grâce à l’amélioration de la confiance des acteurs économiques aux Etats-Unis (+0.4% à 2.7% en 2018 et +0.6% à 2.5% en 2019) et en zone euro (+0.3% à 2.2% en 2018 et 2% en 2019).

Les actions les mieux positionnées pour en profiter

De nombreuses sociétés profitent de ces nouvelles tendances économiques et tout particulièrement les acteurs américains, comme Google, Apple, Facebook ou Amazon, et asiatiques, comme Samsung, Alibaba ou Tencent. C’est ainsi que le secteur de la technologie a le plus progressé en bourse l’année dernière, à tel point qu’il pèse maintenant près de 25% des indices d’actions américaines et asiatiques.

La performance des entreprises à l’honneur en 2018

Les perspectives économiques pour 2018 restent favorables aux entreprises qui devraient engranger les bénéfices des mesures prises ces dernières années pour réduire leurs coûts de production, augmenter leurs marges et leur cash-flow.
C’est ainsi que la croissance attendue des résultats des sociétés américaines, européennes et émergentes s’approcherait de 10% en 2018 après déjà une bonne année en 2017.

Que font les entreprises de ces nouvelles ressources financières ?

Beaucoup d’entre elles ont annoncé récemment de nouveaux programmes d’investissement pour moderniser, numériser et digitaliser leurs outils de production, aussi bien dans les secteurs de l’industrie que de la finance.
Les entreprises ont aussi les moyens de verser des dividendes élevés. Ainsi, le rendement des actions européennes s’élève à 3,6% pour 2018, bien au-dessus du niveau du rendement des obligations qui reste très bas à 0,76% pour l’emprunt d’Etat français OAT 10 ans et proche de 1% pour les obligations d’entreprises bien notées de la zone euro.

Zone Euro – Rendement actions vs obligations

La volatilité des marchés en 2018

L’année 2018 est marquée par un regain de la volatilité pour les raisons suivantes :

  • les taux d’intérêt pourraient se tendre davantage en raison d’un niveau d’inflation plus élevé (hausse des prix de l’énergie et des salaires dans certaines régions et secteurs) et des politiques monétaires moins accommodantes, avec la poursuite de la hausse des taux par la banque fédérale américaine et la diminution des achats d’obligations par la banque centrale européenne.
  • les valorisations commencent à être relativement élevées dans certains secteurs comme la technologie ou certaines régions comme aux Etats-Unis, où les actions se sont davantage appréciées en 2017 avec la réforme fiscale, la baisse de 14% du dollar et la très bonne santé du secteur technologique qui représente plus de 22% du poids des actions américaines dans l’indice S&P 500.
  • La nouvelle politique protectionniste de l’administration des Etats-Unis pourrait créer de nouvelles tensions commerciales entre les grandes régions du monde et entraîner une escalade sur les tarifs douaniers néfaste au développement du commerce mondial.
  • Il existe des risques géopolitiques liés aux conflits au Moyen Orient ou à la situation en Corée du Nord

Indice de volatilité actions Zone Euro vs US

Comment investir en 2018 ?

Nous avons une opinion plus favorable aux actions qu’aux obligations en raison de la croissance économique plus solide dans le monde, de la forte progression des résultats des entreprises et des taux d’intérêt qui restent à des niveaux historiquement bas.

Nos allocation de Comptes Gérés reflètent cette opinion avec toujours une logique de diversification que ce soit en terme géographique ou en terme d’instruments.

Ainsi, dans la poche des actions, notre exposition est partagée entre les marchés développés et les marchés émergents qui profitent d’une forte croissance de l’économie à + 4,8% et des résultats des entreprises.
La poche obligataire, se diversifie en arbitrant les actifs monétaires et obligataires bien notés dont la rémunération est actuellement très faible en zone euro vers des obligations à haut rendement et des obligations convertibles, plus sensibles aux marchés actions.

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Le retour de la confiance en France

En 2017 les actions françaises de l’indice CAC40 affichent pour la deuxième année consécutive des performances en hausse, de 9.3% après 4.9% en 2016 alors que dans le même temps l’indice de la zone euro (Eurostoxx50) progressait de 5.6% en 2017 et 0.7% en 2016. Ces performances témoignent du regain d’attractivité que connaît la France sur le plan économique et financier.

Reprise de la croissance économique en France en 2017

L’économie française a connu une forte croissance du PIB qui passe de 1.1% en 2016 à 2.0% en 2017. Le taux de chômage a entamé une décrue sensible passant de 10% en 2016 à 8.9% en 2017. Cette reprise est principalement due à la progression de l’investissement des entreprises et de la consommation des ménages. C’est dans ce contexte que le Fonds Monétaire International (FMI) a relevé sa prévision de croissance pour la France à 1.9% en 2018.

Evolution du PIB en France

Retour de la confiance des entreprises et des ménages

L’année 2017 a été marquée par une amélioration constante du niveau de confiance aussi bien du côté des entreprises que des ménages.

Ainsi, l’indicateur de confiance des chefs d’entreprises mesuré par l’indice PMI (Purchasing Managers Index) a progressé tout au long de l’année 2017 pour atteindre un niveau avoisinant 60 points (indice composite) au plus haut depuis 2000. Ce chiffre se situe bien au-dessus du niveau des 50 points, seuil caractéristique d’un cycle d’expansion économique. Ce regain de confiance du côté des entreprises se matérialise par un rebond du taux d’utilisation des capacités de production proche de 86% pour le quatrième trimestre 2017, son plus haut niveau depuis 2008.

Du côté des ménages, l’indice de confiance du consommateur publié par l’Insee progresse sensiblement grâce aux perspectives d’amélioration graduelle de l’emploi et du pouvoir d’achat. Ainsi, les dépenses des ménages ont progressé de 1.2% en 2017 et devraient poursuivre leur accélération en 2018. A ce titre on note une augmentation des ventes de véhicules et une reprise du tourisme en 2017.

Confiance du consommateur français

Une attractivité économique retrouvée

Les mesures fiscales de ces dernières années telles que le CICE (Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi) et le CIR (Crédit d’Impôt Recherche) ont contribué à améliorer la compétitivité des entreprises françaises. Pour accroître l’attractivité de la France et créer davantage d’emplois, le gouvernement envisage en 2018 des réformes sociales (assurance-chômage, formation professionnelle, apprentissage) et économiques avec le PACTE (Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises) destiné à faciliter la création, le financement et la modernisation des entreprises.
Ainsi, le premier sommet de l’attractivité « Choose France » a réuni près de 140 dirigeants d’entreprises représentants les plus grands groupes mondiaux.

La préférence aux actions

Nous avons une opinion favorable sur les actions françaises qui devraient profiter de ces bonnes tendances économiques. Ainsi, la croissance attendue des résultats des sociétés de l’indice CAC40 s’approcherait des 7.3% en 2018 après déjà une bonne année 2017. Ces prévisions pourraient être revues à la baisse en cas d’appréciation forte de l’euro.
Les actions françaises ont des valorisations attractives avec un ratio cours/bénéfices à 13.1x les résultats 2018. Le rendement des actions françaises s’élève à 3.8% bien au-dessus du rendement des obligations souveraines à 0.90% pour l’Emprunt d’Etat français OAT 10 ans (chiffres au 05/03/2018).
Enfin, l’intensification du mouvement de fusions-acquisitions que connaissent les entreprises françaises devrait être un soutien au marché financier en 2018.

France – Rendement actions vs obligations

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Le prélèvement à la source, explications

Cette grande réforme fiscale va s’appliquer au |er janvier 2019. Les travailleurs indépendants sont impactés à deux niveaux: en tant qu’employeur dans la collecte de l’impôt de leur salarié et aussi comme contribuable pour leur imposition personnelle.

Les catégories de revenu imposable sont nombreuses: salaires. pensions de retraite. bénéñces des artisans ou commerçants. revenus fonciers… Aussi, le prélèvement à la source ne pouvait pas fonctionner selon un mécanisme unique. Deux méthodes différentes vont voir le jour s la retenue à la source et l’acompte.

La retenue à la source ne peut se concevoir que si le revenu est versé par un tiers facilement identifiable, c‘est ce que l’Administration fiscale appelle le collecteur. Cette retenue à la source va donc s’appliquer principalement aux salaires, pensions de retraite et allocations chômage. Ainsi, l’Administration fiscale demande au collecteur/entreprise de prélever sur chaque salaire l’impôt dû par son collaborateur Le décalage d’un an, entre l’acquisition du revenu et le paiement de l’impôt qui existait dans notre système fiscal français, disparaît.

Ainsi. l’Administration fiscale demande au collecteur/entreprise de prélever sur chaque salaire l’impôt dû par son collaborateur à compter du ler janvier 2019.

Cette retenue à la source étant impraticable pour les bénéfices des professions indépendantes, l’Administration fiscale va calculer pour tous les revenus professionnels (commerçants, artisans, professions libérales, ou agriculteurs) et pour les revenus fonciers, un acompte d’impôt, directement prélevé sur le compte bancaire du contribuable, avec un prélèvement mensuel ou trimestriel.
L’acompte sera calculé en fonction du dernier revenu connu. Pour des prélèvements effectués de janvier à août 2019, seront pris en référence les revenus de 2017.


Agenda pour les indépendants

  • Au Printemps 2018, vous remplirez votre déclaration des revenus de l’année 20| 7 permettant de calculer le montant des acomptes.
  • En janvier 2019, les acomptes seront prélevés sur votre compte bancaire.
  • En septembre 2019, le montant de l’acompte sera actualisé pour tenir compte des éventuels changements liés au dépôt de la déclaration dès revenus 2018 déposée au printemps 2019.

Calcul du taux de prélèvement à la source appliqué par le collecteur

Il s’agit d’un taux moyen obtenu en divisant le montant de l’impôt sur le revenu par la somme des différents revenus nets imposables du foyer fiscal.
Le taux de prélèvement à la source est calculé en fonction des derniers éléments connus. En effet si la perception des revenus et le paiement de l’impôt coïncident. en revanche, le taux de prélèvement est calculé sur les revenus de l’année N-2 déclarés en N- l. Ce taux de prélèvement sera la seule information transmise par l’Administration à l’employeur via la déclaration nominative des salaires (DSN).
Attention : le calcul de l’impôt étant basé sur la notion de foyer fiscal. chaque membre du couple sera imposé avec le même taux. Toutefois, le salarié aura la possibilité d’opter pour un taux personnalisé correspondant à ses revenus individuels (à faire dès la déclaration de revenus).

Le système du taux neutre, lui, permet d’assurer la confidentialité des données. Si votre salarié refuse que l’Administration fiscale vous transmette son taux de prélèvement, celle-ci appliquera un taux de prélèvement correspondant au seul montant du salaire versé. Votre salarié devra payer directement à l’Administration fiscale la part d’impôt correspondant à ses autres revenus (fonciers par exemple).
Ce taux neutre sera également appliqué quand l’Administration fiscale ne peut calculer le taux de prélèvement par exemple pour un salarié en début d’activité.
Pour que la transition s’effectue dans de bonnes conditions, il faut sensibiliser vos salariés.

Vous trouverez sur www.prelevementalasource.gouv.fr l’ensemble des documentations nécessaires. Votre Expert-Comptable peut aussi répondre à toutes vos questions.

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Comment optimiser la transmission de votre patrimoine

Vous souhaitez que votre conjoint bénéficie d’une part plus importante ? Que vos enfants ne soient pas servis à égalité ? Qu’un tiers puisse également profiter d’un capital à votre décès ? Certaines dispositions vous offrent de nombreuses possibilités

Dans un article précédent, nous vous avons expliqué comment gérer, de votre vivant, la transmission de votre patrimoine au moyen des donations. Nous allons ici évoquer les mesures que vous pouvez prendre afin d’organiser cette transmission dans l’éventualité de votre décès.

Attention: en France, il n’est pas possible de tout faire. Il est par exemple impossible de déshériter vos enfants ou conjoint (appelés héritiers réservataires), que ce soit par testament ou par donation. Mais la réserve ne correspond jamais à la totalité des biens, et il subsiste donc toujours un excédent dont vous pouvez librement disposer (appelé quotité disponible).

Quelle part constitue la réserve dans le patrimoine du défunt ?

  • En présence d’un enfant: la moitié,
  • En présence de deux enfants: les deux tiers,
  • En présence de trois enfants et plus: les trois quarts,
  • En l’absence d’enfant, réserve du conjoint: le quart.

Comment protéger son conjoint ?

Certains mécanismes permettent de favoriser son conjoint:

  • La donation au dernier vivant : c’est un acte que les époux, en général, se consentent mutuellement. Portant sur des biens à venir, elle permet au conjoint de bénéficier, au choix:
    – De toute la succession en usufruit,
    – De la quotité disponible en pleine propriété,
    – D’un quart de la succession en pleine propriété et de trois quarts en usufruit.
  • Les aménagements au contrat de mariage: il est possible d’insérer des clauses définissant les droits du survivant, telles que la stipulation de parts inégales, la clause d’attribution intégrale ou des clauses permettant de limiter ou d’élargir ses droits.

Comment anticiper le partage des biens entre les héritiers ?

La rédaction d’un testament permet d’exprimer les dernières volontés du défunt et de disposer de tout ou partie de son patrimoine au moment de son décès. La validité du testament ne dépend pas de l’acceptation des bénéficiaires et ne prend effet qu’au moment du décès. Il contient les volontés du défunt concernant le sort de ses biens, mais peut également contenir des dispositions n’ayant pas de lien avec ses biens.

Quelle solution financière permet de préparer de son vivant la transmission ?

L’une des solutions possibles est l’assurance-vie, qui permet de transmettre des capitaux dans un cadre fiscal avantageux (distinct du régime successoral classique). Au décès de l’assuré, la compagnie d’assurance recherche et contacte les bénéficiaires que le défunt aura désignés au préalable pour leur verserle capital décès.

Comment procéder à la désignation des bénéficiaires d’un contrat d’assurance-vie ?

Le choix de la clause bénéficiaire est l’une des parties essentielles d’un contrat d’assurance-vie: une clause inadaptée pourrait se révéler inefficiente en matière de transmission. Pensez à la mettre à jour lorsque votre situation personnelle évolue. Vous avez la possibilité de désigner un ou plusieurs bénéficiaires. Pour un contrat souscrit et des primes versées avant vos 70 ans, chaque bénéficiaire profitera d’un abattement de 152 500€ (tous contrats confondus). Parlez-en à votre Conseiller !

Fiscalité applicable au contrat d’assurance-vie en cas de décès

Date de souscription du contrat Primes versées
Avant le 13 octobre 1998 A partir du 13 octobre 1998
Avant le 20 novembre 1991 Pas de taxation 3) Exonération des capitaux transmis jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire ;
Au-delà : taxe de 20% jusqu’à 700 000 € et 31,25% au-delà, sauf pour le conjoint et le partenaire du Pacs (1) (2) (3) /td>
A compter du 20 novembre 1991
– primes versées avant 70 ans
Pas de taxation (3) Exonération des capitaux transmis jusqu’à 152 500 € par bénéficiaire (tous contrats confondus); Au-delà : taxe de 20% jusqu’à 700 000 € et 31,25% au-delà, sauf pour le conjoint et le partenaire du Pacs (1) (2) (3)
A compter du 20 novembre 1991
– primes versées après 70 ans

Droits de succession sur la fraction des primes qui excède 30 500 €,tous contrats et tous bénéficiaires confondus,sauf pour le conjoint ou le partenaire pacsé (2) (3)

Droits de succession sur la fraction des primes qui excède 30 500 €,tous contrats et tous bénéficiaires confondus, sauf pour le conjoint ou le partenaire pacsé (2) (3)

MENTIONS LÉGALES ET CONDITIONS

  • (1) Les taux de 20% et 31,25% s’appliquent quel que soit le lien de parenté avec l’assuré et le montant des sommes qui y sont soumises.
  • (2) Lorsque le bénéficiaire est le conjoint ou le partenaire pacsé (ou encore, sous certaines conditions le frère ou la sœur) de l’assuré décédé, les sommes versées par l’assureur ne sont soumises, quel que soit leur montant, ni aux droits de succession exigibles à raison des primes versées après 70 ans pour la fraction qui excède 30 500 €, ni aux prélèvements de 20% (31,25%) applicables au-delà de 152 500 € par bénéficiaire.
  • (3) Les produits des contrats d’assurance-vie dénoués par le décès de l’assuré sont soumis aux prélèvements sociaux, lorsqu’ils n’ont pas déjà été soumis à ces prélèvements du vivant de l’assuré.


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