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Et si on parlait de la RSE ?

D’après une récente étude Ipsos x OPENMIND KFE, 49% des salariés français ignorent ce qu’est la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). Chez SPVIE Assurances c’est un sujet qui nous tient à cœur et c’est pourquoi nous avons décidé d’en parler avec vous.

Qu’est-ce que la RSE ?

Si les Français ont tellement de mal à comprendre ce que représente la RSE, c’est qu’il faut reconnaître que sa définition peut paraître assez rébarbative. Selon la Commission Européenne, la RSE est : « la responsabilité des entreprises vis-à-vis des effets qu’elles exercent sur la société ». Ainsi, les entreprises doivent respecter la législation en vigueur et les conventions collectives établies entre partenaires sociaux. De plus, elles doivent s’impliquer sur des sujets sociaux, environnementaux, éthiques, des droits de l’Homme et ceux des consommateurs.

La norme ISO 26000, qui est à l’heure actuelle le standard international, indique que la RSE doit aborder 7 thématiques :

  • La gouvernance de l’organisation
  • Les droits de l’Homme
  • Les relations et conditions de travail
  • L’environnement
  • La loyauté des pratiques
  • Les questions relatives aux consommateurs
  • Les communautés et le développement local

Comment les Français la perçoivent-ils ?

Seuls 37% des Français considèrent la RSE comme une notion qui a un impact positif et motivant dans leur quotidien. En effet, pour 55% des Français, l’entreprise serait avant tout motivée à encourager la RSE dans le but d’améliorer son image (source : étude Ipsos x OPENMIND KFE).

On peut comprendre que le salarié ne voit pas le bénéfice sur le long terme pour lui de la RSE, si ce n’est pour des questions d’image de marque. En effet, comme évoqué plus haut, la RSE est un terme qui englobe de nombreuses notions et cela la rend difficile à expliquer concrètement. C’est pourquoi, beaucoup se désintéressent de ce sujet et considèrent que c’est quelque chose qui doit intéresser seulement les entreprises mais pas eux-mêmes en tant qu’employés lambdas.

La question se pose alors pour les entreprises : comment impliquer le personnel en interne sur les sujets de RSE ?

Pourquoi faut-il faire évoluer cette vision ?

Il est vital pour une société d’impliquer ses collaborateurs dans le processus de réflexion sur les sujets de RSE. Cela permet à la société et aux collaborateurs d’avancer ensemble et que la RSE bénéficie à tous et pas seulement à l’image de la marque. Car oui, soulignons-le, la RSE impacte chaque membre de l’entreprise. Changer la perception des collaborateurs à ce sujet rendra l’entreprise plus attractive et captera de nouveaux talents tout en permettant de garder les talents déjà acquis au sein de l’entreprise.

En outre, l’efficacité globale sera nettement améliorée ayant ainsi un impact positif sur les rendements de l’entreprise. La RSE permet de créer un environnement positif où les collaborateurs se sentent impliqués et c’est donc un excellent moyen d’encourager l’innovation.

La RSE au sein de SPVIE Assurances ?

Les questions de RSE au sein de SPVIE Assurances sont des sujets qui passionnent collaborateurs et dirigeants. L’entreprise soutient depuis 3 ans le club de handball de Puteaux et participe régulièrement à des matchs amicaux où les équipes de SPVIE Assurances et les membres de l’association sportive s’affrontent (on ne dévoilera pas qui remporte généralement la partie…).

En outre, le groupe a décidé qu’il devait investir dans des locaux à l’image de ses équipes et est actuellement en train de rénover un nouveau bâtiment spécialement pensé pour les collaborateurs : flex office, salle de sport, espace pour s’isoler au calme, nouveau matériel, etc. Les dirigeants ont voulu le meilleur pour améliorer les conditions de travail des équipes, car travailler chez SPVIE Assurances, c’est faire partie d’une grande famille (l’équipe accueillera bientôt son 85ème collaborateur).

Le choix du lieu où installer le siège social a été décidé pour favoriser l’activité dans cette localisation, à laquelle est tant attaché le co-dirigeant de SPVIE Assurances, Jérémy Sebag.

Pour chaque nouvel arrivant, le groupe a mis en place un système de parrainage qui assure un accompagnement du nouveau, l’intégrant ainsi plus facilement aux équipes. On lui remet également un pack de bienvenue pour l’aider à trouver ses marques parmi les différents services, offres et produits.

De plus, cette année le groupe a soutenu le projet de l’Ecole l’île aux enfants, une association née d’une initiative de Français et de Malgaches. Cette association a pour vocation d’œuvrer pour la scolarisation des enfants d’un quartier pauvre de la ville de Tananarive (Antananarivo). Si SPVIE Assurances a fait un don pour aider les enfants au quotidien, plusieurs des collaborateurs ont, eux, fait le choix en complément de parrainer directement des enfants.

En effet, l’engagement est une valeur importante chez SPVIE Assurances. Jérémy Sebag et Cédric Pironneau, ont fondé en juin 2017 l’association Assure Moi Un Projet (AMUP). Les deux fondateurs de SPVIE Assurances avaient pris conscience que le secteur du courtage devait évoluer et repenser son modèle. C’est la raison pour laquelle cette association ; qui a pour vocation de donner accès aux métiers du courtage aux demandeurs d’emplois, aux jeunes, aux femmes, aux seniors, etc. à toute personne éloignée de l’emploi ; a été créée.

Il serait trop long de citer dans cet article toutes les actions mises en place en termes d’engagement social chez SPVIE Assurances. On retiendra que le groupe est impliqué pour ses équipes, pour le développement local, et ponctuellement international, soucieux des relations et des conditions de travail et très concerné par les questions d’éthique des pratiques.

SPVIE Assurances est un groupe qui a pour volonté de casser les codes en apportant plus de vie dans l’assurance. La RSE restera pour le groupe un sujet qui continuera d’évoluer avec l’aide et la volonté de chacun, car faire le choix de SPVIE Assurances, c’est faire le choix d’un groupe qui cultive un esprit entrepreneurial fort, qui favorise l’échange et la créativité.

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Nomination : David Dorn rejoint Accenture

David Dorn, ancien directeur au sein du groupe Axa, devient managing director strategy insurance au sein du cabinet de conseil Accenture.

David Dorn rejoint Accenture Strategy pour développer le secteur de l’assurance au sein du cabinet de conseil. Avant de rejoindre Accenture, David Dorm a travaillé pendant un an et demi chez Astorya.vc, fonds d’investissement dédié aux insurtechs, en qualité de senior advisor. Il a également travaillé pendant une dizaine d’années au sein du groupe Axa, en qualité de directeur de la stratégie, puis directeur des offres individuelles en santé, prévoyance et dépendance et enfin en tant que directeur global de l’activité santé prévoyance.

David Dorn connaît parfaitement le métier de consultant puisqu’il a exercé chez McKinsey de 2001 à 2008 pour le compte de sociétés des secteurs de l’assurance et de la banque d’investissement en France et en Europe. Auparavant, David a travaillé au sein des startups et entreprise technologiques en France et dans la Silicon Valley.

David Dorn est diplômé de l’école Centrale de Lyon et de l’école de management de Lyon. Il est également titulaire du MBA de l’Insead.

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Cercle LAB : Retour sur la 4ème réunion du club RH

« Comment attirer et retenir les talents ? » a été le sujet de la 4ème réunion du club RH du Cercle LAB qui eu lieu le 11 juin.

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Le club RH s’est réuni le 11 juin dernier autour du thème de l’attractivité des entreprises et de la marque employeur. Cette réunion fait suite à celle du 26 septembre sur l’entreprise libérée et le management par la confiance, celle du 13 décembre sur la transformation des métiers et celle du 20 mars sur le réaménagement des espaces de travail.

En préambule, les participants ont commenté les dernières actualités dans le domaine des ressources humaines dans l’assurance. La volonté du groupe Maif de devenir une entreprise à mission dans le cadre de la Loi Pacte a été largement commentée. Les participants sont également revenus sur l’index d’égalité homme-femme des acteurs de l’assurance. Si la majorité des assureurs affichent des scores au-dessus de 75/100, les acteurs en dessous devront corriger leur politique d’égalité salariale pour rester attractifs vis-à-vis de leurs salariés et éventuels candidats.

Les participants au club RH ont partagé leurs difficultés pour attirer des profils techniques, dans un contexte de pénurie de main d’œuvre qualifiée. « L’image déplorable du secteur de l’assurance » constitue pour certains le principal handicap des entreprises du secteur.

Pour combattre la méconnaissance du secteur et sa mauvaise image, les entreprises ont mis en place des actions concrètes visant à renforcer leur notoriété. Alexandre Gérard et François Pinsac du service client solutions de Pathmotion, ont présenté leur outil de mise en relation entre les candidats et des salariés ambassadeurs. Ils ont présenté les résultats d’une étude menée par Immersion Neuroscience sur l’impact du storytelling et des témoignages de salariés sur des candidats potentiels. Les résultats sont sans appel : les candidats accordent plus de crédit et adhèrent plus facilement aux histoires personnelles qu’aux informations factuelles détaillées dans le site corporate de l’entreprise. Pathmotion propose également un outil de tchat pour permettre aux candidats de poser des questions à des ambassadeurs.

95% des candidats recherchent de l’information sur une entreprise au cours de leur recherche d’emploi, selon Linkedin. Caroline Mielvaque responsable du développement commercial de “Welcome to the jungle”, a présenté son activité de média sur le secteur de l’emploi et son positionnement trendy et innovant. “Welcome to the jungle” propose aux entreprises de créer une page de présentation avec un design très attractif pour mettre en valeur les profils des salariés et les informations clés des entreprises.

Selon Caroline Mielvaque, pour attirer des talents il faut communiquer de façon transparente et mettre en avant ses atouts. Le rapport de forces entre le candidat et l’entreprise s’est inversé et c’est à cette dernière de prouver qu’elle a des qualités à faire valoir. 60% des candidats affirment avoir vécu une mauvaise expérience de recrutement.

Caroline Mielvaque a également souligné l’importance de l’onboarding sur l’humain, c’est à dire, de l’intégration du nouveau collaborateur. 4% des nouveaux salariés quittent leur poste après une première journée désastreuse. Les premiers jours sont primordiaux car une bonne intégration augmente à 69% le taux de nouvelles recrues qui restent au moins trois ans au sein de l’entreprise, selon WTTJ.

La qualité de vie au travail des salariés en poste participe également à l’attractivité de l’entreprise. En effet, 35% des salariés éprouvent des difficultés à concilier vie personnelle et professionnelle. Un cadre de travail sain, la formation des managers autour des valeurs partagés, l’écoute des collaborateurs, la souplesse dans l’organisation du travail (flex office, flextime, télétravail, semaine à 4 jours…), le congé de parentalité, les espaces de travail… Tout participe à la qualité de vie au travail.

Stéphane Avril, responsable de recrutement et marque employeur d’Aviva France, a présenté la stratégie mise en place depuis 2-3 ans pour améliorer la notoriété de l’entreprise. Aviva France mise sur les réseaux sociaux pour se faire connaître des candidats et investit dans la production de vidéos pour expliquer les métiers de l’assurance, souvent méconnus des étudiants. Aviva France met en avant son congé de parentalité de 16 semaines, son mode de fonctionnement agile et sa politique d’investissement socialement responsable. Aviva France recrute 300 personnes par an et cherche particulièrement des profils dans le digital, la tech et le data.

En conclusion, les services de communication et de ressources humaines doivent donc travailler ensemble pour approcher de façon globale la problématique de la marque employeur. La cohérence entre ce qui est proposé au candidat et ce qui est réellement vécu en tant que collaborateur est primordiale.

Les travaux du club santé seront synthétisés dans une publication annuelle qui sera présentée lors du MASTERCLUB du Cercle LAB du 11 au 13 septembre à Barcelone. La prochaine réunion du club RH aura lieu le 5 novembre 2019, en présence d’Olivier Ruthardt, directeur général adjoint ressources humaines et relations sociales de Matmut et président de la commission des affaires sociales de la FFA.

 

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Cercle LAB : Retour sur la 3ème réunion du club santé

Vendredi 7 juin s’est tenue la 3e réunion du Club Santé pour réfléchir la question suivante : « Comment remettre la gestion du risque au cœur des stratégies santé suite à la réforme du 100% santé ? »

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Le club santé c’est réuni pour sa troisième réunion le 7 juin pour aborder la maîtrise du risque, après les réunions du 9 octobre sur les services innovants et celle du 14 février sur les réformes règlementaires.

Avant d’aborder la thématique du jour, les participants ont commenté l’actualité sur l’assurance santé des dernières semaines. Les ocam devront permettre aux assurés qui le souhaitent de résilier leur contrats de complémentaire santé à tout moment, après une année de détention de contrat. La résiliation à tout moment fera grimper les coûts de gestion à court terme et obligera les acteurs à améliorer leur qualité de service.

La future CMU-C contributive a également été abordée par les participants et notamment les faibles remises de gestion que la Direction de la Sécurité sociale compte verser aux organismes souhaitant distribuer l’offre.

Linda Lamouchi, directrice grands comptes, département santé & prévoyance de Mercer France, a fait une présentation sur l’impact du 100% santé sur les contrats collectifs. Elle a présenté l’impact sur le niveau de cotisations, en fonction du type de contrat. Si pour les contrats d’entrée de gamme, la hausse oscillerait entre 4 et 10%, pour les régimes haut de gamme, la cotisation évoluerait entre -1% et 2%. Les assureurs, confrontés à l’injonction du gouvernement de ne pas impacter les cotisations au titre du 100% santé, devront faire des arbitrages : réduire les garanties des contrats haut de gamme, mutualiser la hausse entre les différents régimes… Les participants ont pointé un risque de substitution si les bénéficiaires des régimes très haut de gamme n’obtiennent pas des garanties sufisamment différenciées. Les assurés risquent de souscrire des régimes moins chers et d’avoir recours à l’auto-assurance se payer des soins onéreux.

Linda Lamouchi a également présenté les services de prévention santé à destination des 70% des salariés qui ne sont pas malades. Elle a souligné l’appétence croissante des entreprises pour les services santé et le rôle central du courtier pour conseiller, analyser, quantifier l’impact, assembler des services opérés par l’assureur ou le courtier.

Linda Lamouchi a chiffré la standardisation des couvertures santé en présentant le resserrement du taux de redistribution des contrats d’entrée de gamme et haut de gamme. Face à une standardisation des couvertures, les assureurs santé peuvent personnaliser les garanties, offrir des services d’orientation dans l’offre de soins, de télémédecine ou de prévention.

Catherine Pigeon, actuaire conseil du cabinet Essentielles, a cité les multiples réformes qui ont un impact sur le métier des complémentaires santé : 100% santé, Solvabilité 2, DDA, RGPD, autant de nouvelles réglementations qui peuvent être parfois difficiles à concilier.

Comment se diversifier dans un environnement de plus en plus contraint ? Pour l’actuaire, se battre sur le tarif est une stratégie délétère à terme. Pour améliorer le résultat technique, Catherine Pigeon suggère de réduire les frais de gestion, de jouer sur la réassurance, ou encore de combattre la fraude. La fraude qui un impact d’entre 5 et 10% sur les tarifs d’assurance avec de fortes disparités par type de risque.

Catherine Pigeon a également pointé des leviers marketing très stratégiques, afin de répondre aux besoins des assurés en matière de mobilité (couverture d’assurance en France et à l’international), d’immédiateté et de simplicité.

Le défi pour les complémentaires est donc d’intégrer le 100% santé sans hausse de cotisation, avec des services, et en limitant les frais de gestion et de distribution. Pour se distinguer et offrir des offres adaptées aux besoins des assurés, les participants au club santé ont conclu que le 100% santé était une formidable impulsion pour développer des offres non responsables et/ou sur-complémentaires.

Les travaux du club santé seront synthétisés dans une publication annuelle qui sera présentée lors du MASTERCLUB du Cercle LAB du 11 au 13 septembre à Barcelone. La prochaine réunion du club santé aura lieu le 1er octobre 2019, en présence de Pierre François, directeur général de SwissLife Prévoyance et Santé et président de la commission assurance de personnes de la FFA.

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Taux d’actualisation et taux d’inflation IAS 19 au 31 Mai 2019

Évolution des taux d’actualisation et d’inflation IAS 19 sur les douze derniers mois

Willis Towers Watson présente chaque mois dans ce blog l’évolution des taux d’actualisation dans trois grandes zones géographiques, celles où les engagements sociaux sont traditionnellement significatifs :

  • la zone euro,
  • le Royaume-Uni,
  • les États-Unis.

De nombreux indices permettent de fixer les taux d’actualisation utilisés dans les états financiers IAS 19. Les taux que nous présentons ici sont ceux de notre outil RATE:Link, instrument exclusivement dédié aux engagements sociaux long terme (notamment retraite), ainsi qu’un indice de référence, non spécifiquement retraite mais public et gratuit.

Par ailleurs, Willis Towers Watson présente également des indicateurs sur l’inflation en Zone Euro et au Royaume-Uni.

AVERTISSEMENT : nous attirons votre attention sur le fait que les valeurs ci-dessous ont été déterminées sur la base de plans standard. Ceux-ci ne peuvent pas être transposés sans précaution aux régimes de telle ou telle entreprise. La détermination exacte des taux d’actualisation nécessite la prise en compte des flux futurs des régimes.

1) Zone euro

a) Taux d’actualisation

Zone euro: Taux d'actualisation

*Prend en compte le raffinement de la méthodologie RATE :Link à compter du 31 octobre 2018

Zone euro: Taux d'actualisation

b) Taux d’inflation

Zone euro: Taux d'inflation

Zone euro: Taux d'inflation

 

2) Royaume-Uni – Taux d’actualisation

a) Taux d’actualisation

Royaume-Uni: Taux d'actualisation

*Prend en compte le raffinement de la méthodologie RATE :Link à compter du 31 octobre 2018

Royaume-Uni: Taux-d'actualisation

 b) Taux d’inflation

Royaume-Uni: Taux d'inflation

Royaume-Uni: Taux d'inflation

3) États-Unis – Taux d’actualisation

Etats-Unis: Taux d'actualisation

*Prend en compte le raffinement de la méthodologie RATE :Link à compter du 31 octobre 2018

Etats-Unis: Taux d'actualisation

 N’hésitez pas à contacter nos consultants pour tout renseignement complémentaire à ce sujet.

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