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Courtage : Changement à la présidence d’Ecclesia

Tilman Kay, le président du directoire d’Ecclesia, passera la main fin 2021. Jochen Körner, actuel directeur général du courtier, lui succèdera à la tête du géant allemand du courtage.

Le groupe Ecclesia va tourner une page de son histoire fin 2021. A l’issue de l’exercice en cours, Tilman Kay quittera ses fonctions de président du conseil d’administration du numéro un des courtiers allemands « et prendra sa retraite le 28 février 2022 après avoir atteint l’âge de 63 ans », indique le groupe dans un communiqué.

C’est Jochen Körner, directeur général d’Ecclesia Holding depuis 2018, qui lui succèdera à la tête de l’entreprise. « Le conseil de surveillance et l’assemblée des actionnaires décideront en temps voulu d’une nouvelle structure et composition des services de gestion d’Ecclesia », précise ensuite le groupe, qui prévoit cette année une croissance à plus de 300M d’euros de chiffre d’affaires.

Diplômé des Universités de Würzburg et de Frankfurt am Main, Jochen Körner a fait presque l’ensemble de sa carrière au sein du groupe Marsh. Entre 1997 et 2004, il occupe plusieurs postes chez Marsh Allemagne, dont celui de directeur de la stratégie, avant de devenir en 2011 managing director de l’entité autrichienne du groupe. En 2005, il rejoint de nouveau l’Allemagne comme directeur de la région avant d’intégrer son board quatre ans plus tard. Nommé managing director des activités du courtier pour l’Europe continentale, les pays du Commonwealth et la Turquie en 2013, il intègre trois ans plus tard Marsh France, comme directeur général adjoint. Entré au sein du groupe Ecclesia en 2017 comme représentant général, Jochen Körner est le directeur général du courtier depuis 2018.

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Maladies graves : Malakoff Humanis lance une offre pour les entreprises

Malakoff Humanis annonce le lancement d’une offre dédiée aux maladies graves à destination des entreprises.

La nouvelle offre sur les “maladies redoutées” de Malakoff Humanis contient des garanties financières et des services d’accompagnement. Le salarié est suivi dès l’annonce du diagnostic et jusqu’au retour en entreprise.

Le groupe de protection sociale a créé une équipe de conseillers spécialisés qui proposent au téléphone, tout au long de la vie du contrat, « des informations sur les facteurs de risque et la manière de mieux les maîtriser ; une orientation vers des dépistages ou des établissements de santé ; une aide à la réalisation des démarches administratives et sociales ; une orientation vers des associations référencées ou des prestataires spécialisés ; un service d’assistance psychologique destiné au patient ou à ses proches et un accompagnement à la reprise de son activité professionnelle », selon un communiqué.

En plus de cet accompagnement au téléphone, le salarié perçoit un capital au moment où la maladie est déclarée. L’offre prévoit trois niveaux de couverture : 4.000€, 8.000€ ou 12.000€. Le salarié peut également avoir accès à un accompagnement psychologique personnalisée et dans la durée ainsi qu’à des prestations d’assistance pour une valeur de 1.000 euros sur deux ans. Ces prestations peuvent se traduire par de l’aide à domicile, garde d’enfants, l’aide à l’aménagement du domicile, l’accompagnement nutritionnel, transport adapté, le portage des médicaments, des prestations de bien-être ou de coiffure. Malakoff Humanis propose, en plus, la prise en charge d’une activité sportive dans le cadre du sport sur ordonnance, pour un montant de 500 euros.

Cette offre couvre 8 pathologies : l’accident vasculaire cérébral (AVC), la maladie d’Alzheimer, le cancer, l’infarctus du myocarde, l’insuffisance rénale terminale, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaque invalidante, et le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA).

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Grands risques : RSA réorganise sa gouvernance en vue de sa cession

Quelques mois après avoir accepté l’offre de rachat du canadien Intact et du danois Tryg, le groupe RSA annonce d’importantes nominations en vue de sa cession, avec l’arrivée d’un nouveau président et d’une nouvelle directrice financière pour diriger ses activités au Royaume-Uni et à l’international.

Approuvée en janvier 2021, l’opération de cession de RSA Insurance Group au consortium formé par les groupes Intact Financial Corporation et Tryg devrait modifier en profondeur la structuration de l’assureur britannique. « Intact conservera les activités canadiennes, britanniques et internationales de RSA, tandis que Tryg conservera les activités suédoises et norvégiennes de RSA. Les activités de RSA au Danemark seront détenues conjointement par les deux parties sur une base économique à parts égales », explique RSA dans un communiqué.

Une fois la transaction achevée, les activités britanniques et internationales de RSA (RSA UK&I*) s’appuieront sur une nouvelle gouvernance avec un président indépendant et des administrateurs non exécutifs au sein de son conseil.

C’est Mark Hodges qui assumera ce poste de président. Ex-CEO d’Aviva UK, de Towergate Partnership et de British Gas, il était depuis 2019 le directeur général de ReAssure. Sa nomination s’accompagne de l’arrivée de Charlotte Jones, actuelle directrice financière du groupe, « et qui restera au sein de l’entreprise pendant une période initiale pouvant aller jusqu’à 12 mois pour soutenir les activités de clôture et d’intégration de l’accord. Elle assumera le rôle de CFO pour RSA UK&I, en tant que membre exécutif du UK&I Board », peut-on lire ensuite dans un communiqué.

Si l’assureur britannique confirme que Scott Egan conserve son poste de directeur général des activités UK&I, le groupe RSA annonce que d’autres nominations non exécutives seront annoncées une fois l’opération de cession achevée, aux alentours du deuxième trimestre 2021. Enfin, Martin Scicluna, actuel président de RSA Insurance Group, quittera le conseil d’administration à la clôture de l’opération de cession.

*L’activité UK&I comprend des activités au Royaume-Uni, en Irlande, en Europe (Espagne, France, Pays-Bas et Belgique) et au Moyen-Orient (Emirats Arabes Unis, Oman, Bahreïn et Royaume d’Arabie Saoudite).

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Portrait : Ulrike Decoene, tour de contrôle de Thomas Buberl

À l’occasion de l’entrée d’Ulrike Decoene au comité de direction du groupe Axa, News Assurances Pro republie le portrait de la directrice de la communication, de la marque et du développement durable du groupe Axa, paru en 2019. 

PORTRAIT – Du haut de son 1,80 mètre, Ulrike Decoene, directrice de cabinet de Thomas Buberl veille à ce que la machine du groupe Axa tourne rond. Son profil international, son franc-parler et son combat pour la parité ont certainement séduit le patron du groupe français.

Ulrike Decoene offre un regard confiant et un sourire franc. Elle détaille avec éloquence son parcours, ses relations avec Thomas Buberl, son combat pour la parité. Quand on l’écoute, on se laisse distraire par ses boucles d’oreille en forme de fleur, rouge vif, mais on est vite rattrapé par ses yeux d’un vert profond, déterminés jusqu’au bout.

Née de père Belge et de mère Allemande, Ulrike Decoene a grandi en Espagne et suivi ses études au lycée français de Barcelone. Cette polyglotte est arrivée à Paris pour suivre une école préparatoire hypokhâgne qui l’a amenée sur les bancs de l’École Normale. Son sujet de thèse, « la figure du père dans l’Espagne post-franquiste à travers la littérature », avait déjà des accents féministes. « A la différence de beaucoup d’hommes, je n’ai pas été poussée par mes parents pour être la meilleure et faire des grandes écoles. Je me suis forgée une ambition toute seule, et cela m’a donné une forme de liberté. Je n’aimerais pas que les femmes se calent sur une version virile de leadership mais qu’on puisse apporter une forme d’acceptation de la vulnérabilité. Mon rêve serait que les hommes adoptent certains traits du leadership féminin, plus émotionnel, plus vulnérable », partage-t-elle.

La plume de Villepin

Diplôme en poche, elle débute en tant qu’enseignante mais elle bifurque vite vers d’horizons plus palpitants. Un camarade de l’ENA, Antonin Baudry, plus connu comme le scénariste de la BD Quai d’Orsay, lui propose d’écrire des notes de synthèse pour Dominique de Villepin. Quand un poste se libère au sein du cabinet, elle se met en disponibilité pour se lancer dans l’aventure politique. Pendant 5 ans, au ministère de l’Intérieur, puis à Matignon, elle écrit et réécrit ses discours. « En politique, le discours c’est le moment de cristallisation. La valeur que Villepin accordait à cela était parfois un peu démesurée. Le moindre discours, il fallait le réécrire. J’avais l’impression qu’avant la version 16, il ne regardait pas, honnêtement », confie-t-elle.

Ce sont cinq années d’adrénaline permanente et de formation intense, « à résister au stress, à capter les signaux faibles ». « Ce qui m’a plu c’est d’être au cœur du réacteur, d’observer tout cet écosystème, de participer aux réunions de relecture tard le soir, avec les membres du cabinet », explique-t-elle. Elle était la clé de voute de cette organisation où sa valeur ajoutée était « le sens de la mise en cohérence », apprise au cours de ses études de Lettres.

L’arrivée dans l’assurance

Après cinq ans trépidants et l’affaire Clearstream, Ulrike se cherche une sortie. Elle écrit à des chasseurs de tête pour trouver un poste dans le secteur privé. Elle a 32 ans quand elle rejoint Axa IM comme directrice de la communication interne et des relations presse, quelques mois avant la crise des subprimes. Elle fait ses armes dans le privé et le secteur financier, à la tête d’une d’une équipe de 15 personnes. Trois ans plus tard, elle a envie de se rapprocher du cœur de métier du groupe et de sauter le pas vers l’international. Elle s’installe à Madrid pour prendre la direction de la communication et des affaires publiques d’une vaste région (Espagne, Portugal, Italie, Amérique Latine, Afrique et Turquie). « Je venais d’avoir ma fille. J’ai donc pu l’amener en Espagne, et on a passé 5 ans à Madrid »

Ensuite, le moment est venu de faire la synthèse entre les différentes vies : académique, institutionnelle et d’entreprise. Elle est nommée directrice de la Fondation Axa pour la Recherche, une expérience qui a été écourtée à un an et demi, suite à l’arrivée de Thomas Buberl à la tête du groupe.

Devenir la directrice de cabinet de Thomas Buberl n’a pas été automatique pour elle. « Je reste plutôt longtemps dans les postes. J’avais engagé une transformation profonde avec les équipes de la Fondation Axa pour la Recherche… », dit-elle. Ulrike n’est pas prête à abandonner son poste, mais on lui dit « t’es faite pour ce job, il y a un nouveau CEO, il a 40 ans, il n’est pas Français, on est au moment du climax de la transformation du monde de l’assurance », rapporte-t-elle. « Je cochais pas mal de cases, mon expérience en politique, le côté comm’ pour le faire connaître, je connais beaucoup de gens… Car c’est un poste où il faut être bien câblée. Il faut savoir qui prévenir, qui mettre en relation avec qui », justifie-t-elle.

Relation fluide avec Thomas Buberl

Avec Thomas Buberl, le courant est tout de suite passé. De la même génération, ils partagent en plus le fait de ne pas être « de vrais Allemands ». Ces dernières années, le patron d’Axa a travaillé plus en dehors de l’Allemagne que dans son propre pays. Elle aime avoir une liberté de ton et travailler pour quelqu’un qui ne se soucie pas des rapports hiérarchiques, ni des conventions. « Je n’ai pas besoin de travestir ma pensée ni la façon de dire les choses pour être entendue par lui. Je suis assez spontanée, brute de décoffrage, je dis les choses avec les tripes, j’ai un sentiment de la justice… Je trouve bien qu’il y ait de plus en plus de managers qui apprécient les personnalités comme ça », considère-t-elle.

Elle accepte volontiers le rôle de chef d’orchestre, mais à condition de pouvoir tenir la baguette. « Je facilite, je suis derrière. Je vois tous les sujets, j’ai la vision globale, j’organise les discussions qui sont abordées au comex, les réunions du top 40… J’essaie que tout cela soit cohérent et que personne ne soit surpris de rien. J’essaie de faire en sorte qu’entre ce que lui veut faire, son quotidien, sa parole et les décisions stratégiques qu’il doit prendre, tout soit cohérent “, résume-t-elle.

Thomas Buberl consacre un tiers de son temps à la gestion des talents. Il a contrarié Ulrike un jour quand il a décidé de bousculer complètement son agenda pour traverser la planète afin d’aller à la rencontre de Gordon Watson, qui deviendra par la suite directeur général Asie du groupe Axa. Pour justifier ce voyage, Thomas lui a dit qu’aujourd’hui, un CEO devrait être un « talent magnet », tant la guerre des talents est dure. « Pour lui, ce qui compte c’est ce que tu apportes, quelle est ton ouverture d’esprit ? Quelle est ton énergie et ta force de conviction ? Es-tu assez humble et capable d’apprendre ? », affirme-t-elle.

Dans les premiers mois de collaboration, « Thomas m’a demandé d’arrêter de m’excuser. Il m’a montré que c’était une façon de me protéger. Je viens de la communication, et j’avais peur d’intervenir sur les sujets techniques, sur les relations avec les investisseurs, etc. ». Débarrassée de cette habitude très féminine, Ulrike a appris à s’affirmer face une audience très masculine.

Ouvert sur le monde

Depuis son arrivée en 2016, la famille Axa a dû s’habituer aux manières décomplexées de Thomas Buberl. Le nouveau patron aime échanger 5 minutes avec les équipes pour analyser un sujet plutôt que de se farcir une analyse de 100 pages. C’est un fan d’innovation et attribue une forte valeur ajoutée à la disruption. Son obsession est : « Comment peut-on faire autrement ? » Ulrike explique qu’il a besoin de se nourrir à l’extérieur pour sentir le pouls de la société, comprendre les tendances : « Il passe un tiers de son temps avec des personnes externes. Il a par exemple rencontré récemment Idriss Aberkan, expert en neurosciences, ou Minouche Shafik, directrice de la London School of Economics. Il a également embarqué tout son comex pour aller à Seattle, à la rencontre d’Amazon“, explique sa directrice de cabinet.

Ulrike Decoene est chargée de développer l’initiative « Women in insurance » qui vise à développer le taux d’équipement des femmes dans l’assurance. « Sur ce sujet, il y a l’opportunité de connecter une opportunité business à notre rôle social parce qu’équiper mieux les femmes c’est leur permettre de prospérer et d’avoir des rôles plus importants », assure-t-elle.

Combattante pour la promotion des femmes aux postes de direction, elle se dit « pas satisfaite » du nombre de femmes au comex du groupe. « Cependant, quand on voit tout le travail qui est fait pour la promotion des talents féminins, cela me rend plutôt optimiste pour l’avenir », tempère-t-elle. Elle explique que la réorganisation du groupe de 2017 a réduit les échelons hiérarchiques et donc le nombre d’opportunités. Ulrike assure que pour Thomas Buberl, la promotion des femmes est une urgence absolue. « Thomas est un de ces hommes qui entre dans une salle et dit : ‘mais où sont les femmes !?’ », rapporte-t-elle

Après un heure et demie de discussion franche, ponctuée d’anecdotes, Ulrike regarde sa montre : « Je suis désolée, j’ai tendance à m’étaler, on a un peu débordé… ». Il ne faut pas s’excuser.

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Prima Solutions et Naelan signent un partenariat pour renforcer l’offre éditique proposée aux assureurs

Paris, le 25 mars 2021 – Prima Solutions, éditeur de logiciels cloud pour les professionnels de l’assurance et de la réassurance, et Naelan, éditeur de logiciels d’éditique et de gestion de la communication clients, s’associent pour proposer une offre intégrée d’édition des contrats et des documents, physiques ou dématérialisés, nécessaires à la gestion des sinistres. Ce partenariat prévoit l’intégration native de la solution KSL Suite de Naelan à la suite logicielle cloud de Prima Solutions.

Avec la solution KSL Suite, les gestionnaires génèrent, à partir de leur interface métier et en toute autonomie, des documents contractuels ou emails alimentés automatiquement par les données de Prima P&C, la plateforme cloud de distribution et de gestion des produits d’assurance IARD de Prima Solutions, qu’ils pourront ensuite personnaliser. Ils bénéficient pour cela d’un moteur de composition de documents et d’outils permettant  la conception et la maintenance des modèles, l’archivage et la gestion de contenu.

Prima Solutions continue d’étendre son écosystème avec la signature de ce nouveau partenariat et a retenu la solution KSL pour ses performances, sa richesse fonctionnelle permettant de composer des documents complexes de gestion et sa capacité à  proposer ses solutions en mode SaaS.

À propos de Naelan – www.naelan.com

Naelan est une société spécialisée dans les solutions de communication, d’éditique et de proposal management, pour les grandes organisations publiques et privées. Elle opère sur les périmètres de la communication client digitale et de la gestion des documents sortants – édition et diffusion de documents papier et électroniques. Créée en 1993, elle compte à ce jour plus de 1700 clients, répartis dans plus de 25 pays, dans tous les secteurs d’activité.

A propos du groupe Prima Solutions – www.prima-solutions.com

Premier groupe de l’AssurTech française et acteur incontournable de l’assurance en Europe, Amérique du Nord et Asie-Pacifique, Prima Solutions édite des logiciels cloud pour les professionnels de l’assurance et de la réassurance, couvrant l’ensemble des processus métier du secteur : assurances vie et santé (collective ou individuelle), non vie, réassurance, conformité règlementaire, analyses (simulations prédictives et calculs actuariels).

Le groupe accompagne plus de 300 clients et dispose d’un réseau mondial de partenaires ; il permet aux sociétés d’assurance d’accélérer leur digitalisation grâce à sa plateforme logicielle cloud hautement configurable et modulable.

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