Fin de la vignette verte d’assurance automobile

Le bout de papier vert qui certifiait l’assurance automobile tirera bientôt sa révérence.

L’intelligence artificielle booste la détection des fraudes chez Generali Assurances

Dans une avancée remarquable, Generali Assurances renforce son dispositif de détection de fraudes grâce à l’Intelligence Artificielle (IA).

Conduite sans assurance : les risques à connaître

Saviez-vous qu’environ 800 000 conducteurs en France circulent sans assurance, selon le Ministère de l’Intérieur ?

Comment optimiser votre contrat d’assurance vie ?

L’épargne mensuelle est une préoccupation majeure pour bon nombre d’individus. Le choix d’un contrat d’assurance vie peut être une option intéressante pour épargner efficacement.

Réforme de l’assurance récolte : les détails enfin dévoilés

La réforme de l’assurance récolte entrera bientôt en vigueur.

Plan séquence – Assurance emprunteur : la substitution en quête de crédit

Malgré les tentatives législatives pour favoriser la concurrence, le marché de l’assurance emprunteur reste dominé par les banques. Changer d’assurance demeure un parcours du combattant complexe et bureaucratique, semé d’embûches et de voies sans issue.

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PROJECTION SUR L’ACTUALITÉ

Rétrospectives, interviews et graphiques de l’actualité brûlante du secteur, ce format et sa diversité de contenus se veut dynamique. La navigation se veut, elle, immersive et propose une expérience de lecture innovante et interactive.

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Changer d’assurance est donc un parcours du combattant complexe, semé d’embûches et souvent sans issue, comme la situation dans laquelle se retrouvent les deux astronautes dans le film “Gravity”.
Dans ce plan séquence, Georges Clooney et Sandra Bullock incarnent deux astronautes en mission dans l’espace. Alors qu’ils s’occupaient de paramétrer leur engin, un débri d’avion vient perturber leur mission. Leur plateforme est percutée, les deux se retrouvent dans un tourbillon dangereux. Le docteur Ryan Stone (jouée par Sandra Bullock), accrochée à une branche du vaisseau en train de dériver, prend la décision de s’en détacher et se fait projeter dans le vide intergalactique de l’espace, sans issue visible de pouvoir rejoindre sa plateforme spatiale.

 

Gravity – 2016

Lire la suite ici : Plan séquence – Assurance emprunteur : la substitution en quête de crédit (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Pascal Chapelon : “Nous aurons des positions à prendre autour des rémunérations”

INTERVIEW – Tout juste élu à la présidence d’agéa, Pascal Chapelon dévoile quelle sera sa feuille de route à la tête de la fédération des syndicats d’agents généraux d’assurance. Fort d’une nouvelle organisation, il fait également le point sur les chantiers en cours et revient sur le dossier brûlant du régime de retraites des agents. 

Vous venez d’être élu à la Présidence d’agéa. Quelles seront les grandes lignes directrices de votre programme ?

Tout d’abord, je suis conscient de prendre la suite d’une grande présidence, avec une fédération qui n’a plus rien de commun avec celui que j’ai connu lorsque j’étais président d’un syndicat vertical.
De par sa structure, son organisation et l’arrivée d’un directeur général, agéa est aujourd’hui un outil qui fonctionne à 100% et qui va nous permettre de nous concentrer immédiatement sur des sujets très opérationnels.

Nous sortons d’une année atypique qui va induire de nombreux changements au sein de la profession, que ce soit dans les agences ou dans les compagnies, notamment dans les modes de travail ou d’organisation. Alors que certaines expériences comme le travail à distance vont perdurer, les impacts économiques et psychologiques de cette crise vont venir bouleverser l’avenir des agents généraux et nous devons prendre en compte l’ensemble de ces aspects.

Comment cela va-t-il se concrétiser dans votre future organisation ?

De tout temps, la fédération s’est intéressée de près aux questions juridiques, sociales et fiscales des agences. La situation sanitaire nous pousse désormais à avoir une réflexion autour des aspects économiques de notre métier.

Nous allons donc créer un pôle entièrement dédié au modèle économique de l’agence pour avoir une analyse beaucoup plus fine de l’évolution des comptes d’exploitation, des produits commercialisés, des profils de collaborateurs recrutés, etc…

Même si ce n’est pas un chantier facile, ce pôle économique doit nous permettre d’avoir des certitudes sur les modalités d’exercices des agents. Cela implique de collecter beaucoup d’informations directement auprès des agents afin de constituer une banque de données fiables et précises sur les effectifs moyens des agences, les taux de commissionnement, etc…

Le projet « Trajectoire » qu’agéa a lancé en début d’année est le premier maillon de ce travail d’analyse économique de l’agence. Devant le succès de cette initiative, nous pouvons imaginer lancer bientôt une version plus élaborée qui nous permettrait d’entrer alors d’entrer davantage dans le détail.

Quel sera votre deuxième axe de travail ?

Nous souhaitons ensuite lancer des opérations dédiées aux nouveaux arrivants dans la profession : les agents ayant entre jusqu’à ¾ ans d’exercice. Avec l’esprit des grandes écoles, nous voulons installer au sein d’agéa une structure dédiée à l’accompagnement de ces nouveaux agents dans laquelle nous serons partie prenante durant une période donnée.

Nous allons bien évidement nous appuyer sur les programmes de formation lancés, notamment notre MBA, et que nous voulons faire grandir. Grace à ce suivi, nous souhaitons pouvoir faire monter en compétence ces nouveaux entrants et les accompagner pour qu’ils puissent être construire leur vie en agence dans les meilleures conditions et ainsi séduire les compagnies.

Sur quel autre sujet d’importance souhaitez-vous axer votre programme ?

Nous souhaitons surtout nous organiser autour des sujets de distribution, qui sont beaucoup plus politiques que ceux évoqués précédemment. Sur ce point, nous avons aujourd’hui différentes structures au sein d’agéa que nous souhaitons fusionner pour créer une commission spécifique rassemblant les questions de modèles de distribution, les questions réglementaires et les sujets européens.

Nous avons déjà identifié certains sujets post-crise sur lesquels nous avons des positions parfois dogmatiques, parfois non. Nous devons par exemple être attentifs quand certaines compagnies créent des réseaux avec des typologies particulières, des agents sans agence, des réseaux vie avec des tailles de plus en plus imposantes…
Au sujet des commissions, je pense que les agents généraux ne sont pas assez rémunérés pour l’ensemble des taches et des actes qui sont transférés en agence, de plus en plus souvent pour faire face aux carences des compagnies. Nous devons être encore plus présent sur le plan de la gestion même au travers des nouveaux outils qui soi-disant devraient nous faire économiser du temps ! Ce point n’a pas bougé et, de manière plus globale, nous aurons des positions à prendre autour des rémunérations.

Nous avons aussi la volonté d’être plus proches des affaires européennes et de ce qui peut se passer en dehors de nos frontières. Nous aurons ainsi au sein du comité directeur une personne totalement dédiée à ces problématiques car il y a un important sujet de lobbying à conduire pour être capable de parler de notre profession ailleurs. Alors que DDA 2 se prépare déjà, sans doute devrons nous également essayer de fédérer d’autres associations nationales ou européennes fédérant les agents d’assurance…

Quels sera votre dernier grand thème de travail ?

Nous allons continuer de nous mobiliser sur les questions d’affaires sociales et de la gestion sociale des agents. Il s’agit notamment de discuter avec les organisations syndicales, de mieux nous structurer autour de l’Opco Atlas, notamment dans l’affectation des fonds et d’aider nos confrères dans leur mission d’employeur.

Nous allons faire grandir et adapter agéa RH sur les sujets de recrutement. Au moment où 2.000 postes sont à pourvoir au sein de la profession, avec beaucoup de concurrence, nous pouvons encore aller plus loin. Ce pôle permettra par exemple d’imaginer comment améliorer la formation des collaborateurs d’agence, avec pourquoi pas le lancement d’un BTS ou d’un diplôme dédié.
Nous devons continuer à travailler à l’attractivité de notre métier, montrer et expliquer ce que l’on fait, quelles sont les évolutions de carrière…

Quel regard portez-vous sur les évolutions récentes de l’assurance ?

Je m’inquiète du devenir des agents dans un contexte de fébrilité et de fragilisation des compagnies. Au plan organisationnel, ces dernières sont par exemple en train de pérenniser le travail à distance ce qui est catastrophique pour la qualité de service que les mandantes nous doivent. Au plan assurantiel, le dogme du pilotage par le ratio technique à court terme, qui tend à se généraliser, est en passe de créer de réelles difficultés dans la gestion commerciale, particulièrement pour les risques de professionnels et d’entreprises ainsi que pour les risques MRH dans les zones climatiquement sensibles. Je ne souhaite pas que des français et des entreprises basculent dans des situations de non-assurance par défaut d’offre.

Toutefois, je voie de belles opportunités de développement pour les agents sur des risques plus visibles depuis la pandémie. En assurance de personnes, le besoin de protection va agir comme un booster sur les garanties de prévoyance et les produits de retraite. En assurance de biens et de responsabilités, les chefs d’entreprises s’éveillent réellement aux risques cyber ; c’est une opportunité et un défi pour les agents. Avec des produits adaptés et un bon niveau de formation, les agents peuvent performer dans ce domaine. agéa est des beaux projets dans ces cartons sur ce thème.

Au jour de votre prise de fonction, où en est le dossier concernant le régime de retraite des agents ?

Sur ce dossier et de nombreux autres, je vais m’inscrire dans la continuité des positions prises par la fédération. Les compagnies doivent continuer, comme depuis 70 ans, de co-financer le régime de retrait de leurs agents.
Nous avons mis sur la table un projet d’accord novateur et cohérent : nous avons proposé à la FFA de participer au pilotage du régime et d’être associé à part entière aux économies (comme aux besoins de financement) inhérentes au pilotage d’un régime à l’horizon de dizaines d’années. Avec calme et détermination, j’attends une réponse raisonnable de la FFA. Notre détermination est totale et nous bénéficions d’une vision unanime des syndicats de société sur ce dossier.

Lire la suite ici : Pascal Chapelon : “Nous aurons des positions à prendre autour des rémunérations” (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

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Courtage : Burrus et Siaci Saint Honoré officialisent leur rapprochement

Le groupe Burrus et le courtier Siaci Saint Honoré viennent d’officialiser leur rapprochement. L’opération voit le fonds de pension canadien OTPP entrer au capital du futur ensemble.

Initiée depuis plus d’un an, l’opération de rapprochement entre le goupe Burrus (Diot / LSN / Afi Esca…) et Siaci Saint Honoré a été sans surprise officialisée ce vendredi 2 juillet.
« Avec cette opération, le groupe Burrus, dirigé par Christian Burrus, ainsi que le management du futur ensemble, détiendront la majorité du capital et des droits de vote du groupe nouvellement créé, garantissant ainsi son indépendance et sa pérennité. Il sera présidé par Pierre Donnersberg et Christian Burrus en sera le directeur général », peut-on lire dans un communiqué.

Début juin, les deux groupes étaient entrés en négociation exclusive avec le fonds de pension canadien OTPP, afin que ce dernier puisse accompagner la montée du groupe Burrus au capital de S2H, comme nous l’écrivions dans nos colonnes. Le communiqué explique ensuite que « la finalisation de cette opération devrait avoir lieu au second semestre 2021 », pour une valorisation du nouvel ensemble près de 2,5Md d’euros.

« Nous partageons des valeurs communes et de nombreuses opportunités. Cette fusion générerait de nouveaux challenges et la mise en œuvre de plans de croissance ambitieux bâtis sur des synergies commerciales incroyables et complémentaires au service de nos clients », explique Pierre Donnersberg. De son côté, Christian Burrus indique que « les valeurs de l’actionnariat familial qui m’animent restent au cœur de ce projet : elles préservent notre indépendance et la garantissent à long terme dans l’intérêt de nos équipes, de nos clients et de nos investisseurs ».

Lire la suite ici : Courtage : Burrus et Siaci Saint Honoré officialisent leur rapprochement (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

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Une exonération de la TSCA pour les véhicules 100 % électriques

La Taxe Spéciale sur les Conventions d’Assurances (TSCA) est un impôt qui s’applique sur les contrats d’assurance, les actes préparatoires à ces contrats, les avenants et les actes de résiliation amiable de la police.

L’exonération de la TSCA prend directement sa source dans une proposition de la Convention citoyenne pour le climat dont les travaux ont débuté en octobre 2019. Menée par un panel de 150 citoyens français tirés au sort, cette convention a pour but de définir une série de mesures permettant d’atteindre une baisse d’au moins 40% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. 149 propositions ont donc été remises au Président de la République le 21 juin 2020, avec de multiples leviers de mise en œuvre autour de six grands thèmes. Au total, 146 d’entre elles ont été retenues par le Chef de l’Etat.

Parmi ces propositions qui concernent les leviers des lois climat et finance, l’article 153 de la loi des finances met en place, à compter du 1er janvier 2021, une exonération de la TSCA. Cette préconisation incarne la volonté de l’Etat de moduler les taxes sur les contrats d’assurance des véhicules selon leur taux d’émission de CO2 et le poids du véhicule, afin d’encourager les citoyens à utiliser des véhicules propres en les récompensant par une diminution de leur prime d’assurance. En effet, les automobilistes qui décident d’acheter un véhicule à « zéro émission de CO2 » réduisent leur prime d’assurance d’en moyenne 25%, ce qui devrait représenter une baisse d’une centaine d’euros par an.

Une offre à durée limitée

Les dispositions s’appliquent aux primes, cotisations et accessoires dont l’échéance intervient à compter du 1er janvier 2021 et jusqu’au 1er janvier 2024.

Les véhicules concernés

Cette mesure s’applique à tous les véhicules légers, neufs ou d’occasion, disposant d’un certificat d’immatriculation émis à compter du 1er janvier 2021 mentionnant comme source d’énergie « électricité » (EL) à l’exclusion de toute autre source d’énergie ou de type de carburant.

A noter également que ces véhicules peuvent être des deux roues ou des véhicules professionnels.

Une suppression de la TSCA pour les véhicules propres loin d’être anodine

L’exonération de la taxe porte sur les garanties Responsabilité Civile avec une réduction de leur coût à hauteur de 33 % mais également sur les garanties « Dommages » soumises à la même taxe au taux de 18 %, hors FGAO (Fonds de garantie des assurances obligatoires) et hors contribution FGTI (Fonds de Garantie des Victimes des actes de Terrorisme et d’autres Infractions).

En mettant en place cette mesure qui s’argumente principalement par un avantage fiscal, le souhait d’accélérer le mouvement de transition énergétique est réaffirmé au sein du secteur automobile français. Ainsi, les pouvoirs publics s’appuient sur le levier de l’exonération de la TSCA pour continuer la route vers la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la dépendance énergétique et l’amélioration de la qualité de l’air en milieu urbain qui constituent à eux trois les principaux enjeux du développement des véhicules 100% électriques.

Pour plus d’informations contactez

Damien Menu
Directeur du Département Automobile et Transport – Gras Savoye Nord
e-mail


Emilie Delforge
Chargée de compte Flotte Automobile – Gras Savoye Nord
e-mail

Source link

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Risques cyber : Un stress test à succès pour la Banque de France

Le groupe de place robustesse (GPR) a réalisé un exercice de gestion de crise cyber mobilisant les 24 entités de la Place financière le 15 juin dernier. Le stress test a rencontré un « succès ».

Sous le pilotage de la Banque de France, la Place financière de Paris a réalisé, le 15 juin dernier, un exercice de gestion de crise de « grande ampleur ». Le stress test a mis en œuvre un exercice simulant une attaque cyber à l’encontre des grands groupes bancaires. « Il avait pour objectif d’éprouver la réactivité et l’organisation des membres ainsi que la coordination de la Place et de ses 4 cellules de crise », indique la Banque de France dans un communiqué.

« Haut degré de préparation »

À vocation préventive, la simulation a mobilisé les 24 entités du groupe de Place. Le bilan tiré par la Banque de France confirme « un haut degré de préparation de la Place de Paris », notamment grâce à la « qualité des interactions » des 800 participants impliqués dans l’exercice. Le groupe de place robustesse qui réunis les principaux groupes bancaires français, la Fédération bancaire française, les infrastructures de marché, les gestionnaires de systèmes de paiement, le SHFDS Bercy, la Direction générale du Trésor, l’ACPR, l’AMF, l’ANSSI et présidé par la Banque de France se félicite de « la forte implication de tous ses membres ».

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