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Assurance vie : Collecte toujours négative en novembre

Depuis septembre dernier, la collecte nette en assurance vie poursuit sa lente remontée vers l’équilibre, mais reste encore négative au mois de novembre.

Après s’être redressée en octobre dernier, la collecte nette en assurance vie poursuit sa lente remontée vers l’équilibre. Toutefois, elle reste négative pour le mois de novembre à -30 millions d’euros.

Dans le détail, les cotisations s’élèvent à 10,4Mds d’euros, contre 10,5Mds d’euros de prestations versées. Côté unités de comptes (34% des cotisations), la collecte brute est en léger déclin puisqu’elle atteint 3,4Mds d’euros, contre 3,7Mds d’euros le mois dernier (voir infographie).

« La collecte nette reste négative et s’établit à -7,3Mds d’euros (par comparaison, la collecte nette était positive de +23,3Mds d’euros sur les 11 premiers mois de l’année 2019) », explique la FFA dans un communiqué. « Le montant total des prestations versées s’élève à 110,8Mds d’euros (109,5Mds d’euros sur la même période en 2019) et reste donc supérieur aux cotisations perçues par les assureurs », poursuit la fédération. A fin novembre 2020, l’encours des contrats d’assurance-vie s’élevait à 1.785Mds d’euros (contre 1.753Mds d’euros le mois dernier).

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Cat Nat : Une météo toujours plus coûteuse en 2020

Les dix catastrophes météo les plus coûteuses de 2020 ont presque atteint les 150 milliards de dollars de dommages assurés, un chiffre plus important qu’en 2019 qui reflète l’impact grandissant du réchauffement climatique, selon une ONG britannique.

Ces dix catastrophes ont fait également 3.500 morts et ont déplacé plus de 13,5 millions de personnes, selon le rapport annuel de Christian Aid. Des méga-feux qui ont ravagé l’Australie aux ouragans en série dans les Caraïbes, le véritable coût des événements climatiques extrêmes de 2020, renforcés par le réchauffement, est en réalité bien plus élevé, la plupart des dommages n’étant pas assurés, insiste l’ONG.

Et sans surprise, les pays pauvres ont payé le prix le plus lourd, avec seulement 4% des pertes économiques causées par les événements météo extrêmes assurées, contre 60% dans les pays riches, selon le rapport qui cite une récente étude publiée dans The Lancet. Les catastrophes météo ravageaient bien sûr la planète avant l’entrée en scène des dérèglements climatiques provoqués par l’Homme, mais la hausse de la température d’au moins 1,1°C depuis le début de l’ère industrielle augmente leur fréquence et leurs impacts.

“Que ce soit les inondations en Asie, les sauterelles en Afrique ou les tempêtes en Europe et en Amérique, le changement climatique a continué à faire rage en 2020”, a commenté Kat Kramer, responsable climat de Christian Aid. Cinq des plus coûteuses catastrophes de 2020 étaient liées à une mousson particulièrement importante en Asie.

“Les inondations de 2020 ont été parmi les pires de l’Histoire au Bangladesh, avec plus d’un quart du pays sous l’eau”, a commenté Shahjahan Mondal, climatologue à l’université d’ingénierie et de technologie du Bangladesh.

D’autre part, un grand nombre de ces catastrophes ont causé des dégâts d’au moins 5 milliards de dollars, comme le cyclone Amphan dans le golfe du Bengale en mai, les incendies de l’ouest des Etats-Unis pendant l’été et l’automne, ou ceux qui ont ravagé l’Australie en janvier.

La saison record pour les ouragans de l’Atlantique, avec une série sans précédent de 30 tempêtes suffisamment puissantes pour être nommées, a elle provoqué au moins 400 morts et 41 milliards de dollars de dégâts aux Etats-Unis, en Amérique centrale et dans les Caraïbes, selon Christian Aid.

Parmi les dommages les plus importants de cette année 2020, l’ONG note aussi deux tempêtes qui ont balayé l’Europe causant un total de 5,9 milliards de dollars de dommages: Ciara au Royaume-Uni et en Irlande en février, et Alex en France et en Italie en octobre. L’augmentation des catastrophes climatiques correspond aux prévisions des scientifiques. Et les progrès ces dernières années de la science dite “d’attribution” permet désormais d’évaluer combien de fois est plus probable un événement particulier en raison du réchauffement.

L’accord de Paris sur le climat prévoit de limiter le réchauffement bien en dessous de 2°C, si possible 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, mais les engagements de réduction de gaz à effet de serre des Etats sont toujours insuffisants pour atteindre ces objectifs.

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Sylvie Peretti (DRH de Generali France) : « Notre objectif a toujours été de revenir à la situation de 2015 »

Un mois et demi après l’annulation de l’accord sur le temps de travail chez Generali France, trois nouveaux accords sociaux ont été signés au sein de l’assureur. Alors que les syndicats FO et CGT contestent la qualification de ces accords et ont décidé de porter plainte contre la compagnie d’assurance et sa DRH, Sylvie Peretti fait le point sur la situation.  Lire l’article
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Blablacar et Axa roulent (toujours) ensemble

Le spécialiste du covoiturage, BlaBlacar, propose à ses membres une offre d’assurance automobile conçue avec Axa.  Lire l’article
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Résultats 2017 : l’assurance toujours moteur pour le groupe BPCE

Le groupe BPCE affiche des bénéfices stables pour 2017. Les activités assurances restent dynamiques.  Lire l’article
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