Quelques mois après la nomination de Julien Guénot au poste de directeur général, Axa XL France lève le voile sur son nouvel organigramme avec une vingtaine de nominations.
Alors qu’Axa XL poursuit son processus d’accompagnement des mouvements internes et des départs volontaires prévus lors de l’annonce de sa nouvelle organisation en février dernier, l’assureur commence à y voir plus claire quand à son organigramme, notamment en France et pour ses activités d’assurance uniquement. L’assureur vient en effet d’annoncer une vingtaine de nouvelles nominations :
Souscription:
– Brigitte Sartorius est nommée responsable dommages
– Stéphane Tinturier est nommé responsable RC
– Bertrand Piquiaud est nommé responsable automobile
– Xavier Luscan est nommé responsable construction
– Ludovic Ruiller est nommé responsable environnement
– James Amos est nommé responsable corps de navire (marine)
– Tania Bensoussan-Arthur est nommée responsable transport de marchandises (marine)
– Frédéric Becard est nommé responsable traités internes (marine)
– Patricia Naudan est nommée responsable, fine art & specie (en parallèle de ses fonctions actuelles chez Axa Art)
– Corinne Debain est nommée responsable aviation (France / Italie / Afrique francophone)
– Eric Zandvliet est nommé souscripteur senior risque politique & risque de crédit
– Mathieu Denarnaud est nommé responsable gestion de crise
Client & country management :
– Samantha Hazlewood est nommée responsable, stratégie de distribution & projets transverses
– Stéphane Gobet est nommé responsable relations avec le courtage
– Frédérique Voreux est nommée responsable relations avec les clients
– Caroline de Combarieu est nommée responsable du développement One Axa (en parallèle de ses fonctions actuelles chez Axa Art)
Opérations & sinistres :
– Eric Lelyon est nommé senior operations lead
– Anne Joris est nommée responsable gestion de sinistres
Des français à l’international
Par ailleurs, plusieurs autres français issus d’Axa CS ou d’XL Group héritent de postes au sein d’Axa XL en Europe ou à l’international.
Outre la nomination de Matthieu Caillat comme COO groupe et membre du comex de l’assureur, Marine Charbonnier est nommée responsable régionale, programmes internationaux & captives pour l’Europe, Mathieu Daubin devient responsable transport pour l’Europe et Philippe Goureau occupe le poste de global head of strategic distribution.
De son côté, Corinne Vitrac, jusqu’alors CEO d’Axa Matrix, devient responsable des activités risk-consulting pour le groupe. Thierry Daucourt prend la direction des activités P&C à l’international (hors US) et Laurent Richème est nommé directeur du dommage à l’international (hors US). Enfin, Dzung Nguyen Tu occupe le poste de global CUO aviation et espace quand Adias Gerbeaut est en charge de l’environnement à l’international (hors US).
Lire la suite ici : Grands risques : Vague de nomination chez Axa XL France (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)
L’augmentation des risques politiques en 2018 : comment les atténuer et les contourner ?
Dans notre rapport annuel Willis Towers Watson réalisé avec Oxford Analytica, sur le risque politique, nous avons interrogé les dirigeants de 40 grandes entreprises mondiales, actives sur différents secteurs, afin d’étudier leur réaction à la volatilité politique mondiale actuelle.
L’étude met en exergue les préoccupations géopolitiques grandissantes provoquant une augmentation des risques politiques et la fréquence et la croissance des pertes associées à ces risques. Ainsi 55% des entreprises internationales générant un chiffre d’affaires supérieur à un milliard de dollars ont vécu au moins une perte liée au risque politique supérieure à 100 millions de dollars.
L’étude souligne par ailleurs le phénomène selon lequel les crises économiques vécues par les marchés émergents ont de plus en plus d’incidences sur le plan politique, reflétant la réaction du monde face à une flambée des marchés en question, et ce notamment en Turquie et en Argentine.
55% des entreprises internationales générant un chiffre d’affaires supérieur à un milliard de dollars ont vécu au moins une perte liée au risque politique supérieure à 100 millions de dollars
Parmi les autres résultats clés de l’enquête :
Prédominant et désormais incontournable dans la conduite du business à l’international, le risque politique prend de l’ampleur. Les actionnaires exigent par ailleurs une vraie transparence quant aux montant des pertes subies ce qui impose aux organisations une plus grande maîtrise de la veille et de l’évaluation de ces risques d’une part, mais aussi la mise en place de stratégies plus fines et pertinentes. La multiplication des causes systématise la gestion du risque politique ; celle-ci ne peut plus être exclue de la prise de décision de l’exécutif.
D’ailleurs les entreprises peuvent désormais s’appuyer sur le développement de nouveaux outils technologiques pour mesurer ces risques, en quantifier le coût et piloter la bonne stratégie pour les atténuer ou les contourner. Ces modèles mathématiques permettent une estimation précise des risques sur le business, par industrie, par pays, ou dans un horizon de temps donné, et d’étudier différents scénarios d’exposition.
Dans ce contexte de montée du risque politique, de nouvelles routes commerciales sont en train de se créer ; il faut envisager de nouvelles façons de gérer les capitaux et saisir les opportunités qui se dessinent dans de nouvelles régions du monde.
Bien identifier ses risques, être sélectif, malin pour bénéficier de ces phénomènes de régionalisation. Ces outils innovants peuvent vous y aider.
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