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Lutte contre la non-assurance : un projet à l’étude

Afin de lutter contre les automobilistes qui roulent sans assurance, l’Inspection générale de l’administration (IGA) préconise de croiser les fichiers des cartes grises avec celui des assureurs. Un projet jugé très positivement par la compagnie Aviva..  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Mutuelles : feu vert des délégués d’Intériale au projet LMDE

Les délégués de la mutuelle Intériale, réunis en assemblée générale les 18 et 19 juin, ont donné leur feu vert au projet de substitution de La Mutuelle des étudiants. Mais plusieurs zones d’ombre et points de tensions demeurent.  Lire l’article
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Modernisation du système de santé : un projet de loi contesté (E-dossier)

Marisol Touraine, le 9 mars 2015, présente le projet de loi de santé, au ministère de la Santé. Marisol Touraine, le 9 mars 2015, présente le projet de loi de santé, au ministère de la Santé.
thomas padilla E-DOSSIER   OPEN DATA  

Le projet de loi santé porté par Marisol Touraine, rebaptisé «modernisation de notre système de santé», doit décliner par de nombreuses mesures structurantes la stratégie nationale de santé annoncée en février 2013, par Jean-Marc Ayrault, Premier ministre d’alors. La généralisation du tiers payant, un des engagements de campagne du candidat François Hollande, est la mesure phare du texte.

Censée pallier les problèmes d’accès aux soins, elle a provoqué le mécontentement des syndicats de médecins libéraux, qui craignent des lourdeurs administratives, puis des organismes complémentaires santé, en raison des choix techniques faits par les pouvoirs publics. Si les polémiques ont occupé le devant de la scène, le projet de loi contient bien d’autres mesures, concernant en particulier l’open data, le droit à l’oubli pour les anciens malades du cancer ou encore l’action de groupe en santé.


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Axa s’engage dans un vaste projet immobilier à Londres

Axa Real Estate, la société de gestion d’actifs immobiliers du groupe Axa, confirme avoir fait l’acquisition d’un terrain situé au cœur de la City à Londres, pour y faire construire un immeuble de bureaux de grande hauteur.

Cette opération menée pour le compte d’un consortium d’investisseurs concerne le 22 Bishopsgate, un emplacement où devait être érigée une tour de 64 étages, projet qui ne verra pas le jour faute de financement. Le montant de l’acquisition n’a pas été dévoilé, mais le Financial Time évoquait il y a quelques jours, la somme de 300 M£ (environ 408 M€) sans compter le coût de la construction de l’immeuble.

93 000 m² de bureaux

Dans le cadre de cette opération « à fort potentiel », Axa Real Estate s’est associé au promoteur immobilier Lipton Rogers Developments et au cabinet d’architectes PLP. La tour dont la construction devrait débuter à la fin de l’année 2015 comptera 93 000 m² de bureaux mais aussi des boutiques et restaurants, ainsi qu’une galerie accessible au public, située au sommet. Les travaux devraient durer jusqu’en 2018.


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CSCA : le Sycarif joue la montre car le projet “manque d’ambition”

Sycarif-LogoCSCA : le Sycarif joue la montre car le projet

Le syndicat des courtiers d’assurance et de réassurance d’Île de France (Sycarif) trouve que le projet d’union de la CSCA manque d’ambition. Le calendrier joue en sa faveur alors que des négociations sont en cours.

Le Sycarif, principal syndicat manquant à l’appel dans la future union de la CSCA, a annoncé par communiqué le 4 décembre son intention de ne pas s’engager sur un calendrier. Une façon à peine masquer de mettre la pression sur les autres syndicats signataires pour faire avancer l’idée que le projet actuel “manque d’ambition”, selon son président.

Aucun calendrier ne doit s’imposer lorsqu’il s’agit de créer les conditions pour aborder dans les conditions les plus favorables les combats professionnels d’aujourd’hui et de demain”, exprime ainsi le Sycarif dans ledit communiqué. Il s’agit de sa conclusion, quand tout le développement porte sur “sa volonté d’être partie prenante”, de son côté “pleinement participatif” tout en glissant que “les courtiers n’ont rien à attendre d’un projet qui demain, comme aujourd’hui, ne transfèrera à la CSCA que des ressources financières insuffisantes et n’adaptera pas sa gouvernance aux enjeux vitaux imposés par un environnement exigent”.

Les règles de majorité et de financement poussent au statu quo et ne permettent pas d’aller plus loin et plus vite”, détaille Damien Veillard Baron, président du Sycarif. “Le Sycarif ne veut pas apporter ses moyens sans garantie sur un environnement juridique simplifié, consolidé et sécurisé”.

Fondamental pour lever les deux dernières conditions suspensives au projet, l’accord du Sycarif n’est donc pas, au 5 décembre, acquis. “Ce n’est pas une situation nouvelle. Depuis des mois nous proposons des évolutions sur un projet vieux de quatre ans et qui, selon nous, ne correspond pas aux évolutions actuelles”, ajoute le président du syndicat parisien qui se place “dans une ambition” plus grande pour l’union. En clair, le Sycarif attend de la future CSCA qu’elle Des propositions qui, selon le Sycarif, n’ont pas reçu de contre-propositions.

La CSCA s’abstient de tout commentaire officiel, mais certaines sources proches du dossier, le Sycarif est plus dans “le chantage” que dans la discussion. “Nous sommes clairs dans nos souhaits“, soutient Damien Vieillard Baron. Nouvelle gouvernance, répartition des cotisations, imbroglio autour du poste de délégué général et des permanents de la structure sont autant de points qui cristallisent les tensions.

Le calendrier est maintenant serré. Des discussions sont en cours sur les différentes propositions du Sycarif et pourraient aboutir en début de semaine, lundi 8 ou mardi 9 décembre. L’union reste possible avant la date fatidique du 31 décembre 2014. Est-ce que le Sycarif y croit ? “Nous somme encore en capacité de la faire“, explique Damien Vieillard Baron, s’incluant pleinement dans le projet, même s’il reconnaît que “le calendrier fait que les positions se tendent” et en tentant de déminer la situation : “ce ne sera pas un psychodrame si ça ne se fait pas”. Une question de point de vue, à n’en pas douter.


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