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CRISE COVID-19 : GENERALI MET EN PLACE DES OFFRES SPECIFIQUES

Couvre-feu, relations sociales limitées, gestes barrières… les restrictions liées à la crise sanitaire peuvent favoriser l’apparition d’une détresse psychologique. Des troubles anxieux, dépressifs, du comportement alimentaire ou addictifs peuvent ainsi apparaitre ou se renforcer dans ce contexte particulièrement tendu. Pour accompagner leurs clients dans cette épreuve, Generali et l’ensemble des assureurs prennent des mesures concrètes.

Des mesures inédites pour prendre soin de sa santé mentale.

Depuis 2020, il est déjà possible pour les clients particuliers et leur famille proche d’avoir accès à un dispositif d’aide psychologique. En partenariat avec Europ Assistance, un numéro vert [1] a ainsi été mis en place proposant un service d’écoute et d’aide psychologique, ainsi qu’un service d’informations juridiques et pratiques.

le remboursement des consultations de psychologues de ses clients couverts par un contrat de complémentaire santé et ce dès le 1er euro. Les frais seront pris en charge jusqu’à 4 consultations, sur orientation médicale, dans la limite de 60 euros par séance. À ce jour, ces consultations ne sont pas prises en charge par l’Assurance Maladie.

Un accompagnement renforcé par des offres et services spécifiques pour les professionnels des secteurs les plus fragilisés par la crise.

Depuis le début de la crise sanitaire, Generali France fait preuve de solidarité nationale et accompagne les entrepreneurs les plus touchés par la crise notamment grâce à des offres qui leur sont spécialement dédiées :

  • Generali Protection Covid Salariés est une offre permettant de bénéficier d’indemnisations journalières en cas d’hospitalisation et de convalescence, d’une prise en charge du transport de retour d’hospitalisation ou encore la livraison à domicile des médicaments et de repas à la famille pendant l’hospitalisation du salarié. Un soutien psychologique et une assistance sociale pour le Travailleur Non-Salariés et sa famille sont également proposés.
  • Cette solution est déployée gratuitement en 2021 pour les clients TNS et entreprises. Elle est également offerte aux détenteurs de contrats Generali multirisques professionnels. Pour les autres cas, l’offre est proposée à but non lucratif sous la forme de « Generali Covid Protection Salariés & TNS ».
  • « Mon Rebond Pro » a pour objectif d’aider les entrepreneurs à surmonter leurs difficultés financières et/ou psychologiques ou encore à rebâtir un projet d’avenir grâce à un accompagnement personnalisé réalisé par trois associations partenaires de Generali. Ces associations sont reconnues d’intérêt général (SOS Entrepreneur, 60 000 Rebonds, APESA).
  • HCR multirisque est une offre dédiée pour le secteur des hôtels, cafés et restaurants. Face à l’urgence, les représentants de la profession, le GNC, l’UMIH, le GNI et le SNRTC étaient en quête d’une nouvelle solution adaptée aux besoins spécifiques du secteur, avec un partenaire de confiance. Après analyse des offres du marché, les représentants de la profession ont sélectionné l’offre HCR Multirisques. Cette offre comporte un large éventail de solutions Generali reconnues sur le marché en comprenant notamment les deux offres précédentes « Generali Covid Protection Salariés & TNS » et « Mon rebond pro ».

Ces offres sont distribuées par les agents généraux et les conseillers commerciaux de Generali. Ces derniers restent disponibles sur l’ensemble du territoire à distance ou en présentiel pour accompagner les 7,4 millions de clients particuliers et 750 000 professionnels et entreprises clientes.

[1] Vous êtes client particulier et vous souhaitez bénéficier de ces services gratuits ? Contactez votre agent ou conseiller d’assurances qui vous fournira le numéro vert.

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CNP/La Poste : Bruno Le Maire souhaite une mise en place opérationnelle en janvier 2020

Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a souhaité mardi que le futur grand pôle financier public chapeauté par la Caisse des dépôts (CDC), bras financier de l’Etat, soit opérationnel dès janvier 2020.

La création du grand pôle public de banque et d’assurance, articulé autour de La Poste et CNP Assurances, avait été annoncée fin août 2018 et justifiée en particulier par la nécessité de permettre à La Poste de trouver de nouvelles sources de revenus. “Je souhaite que cet outil financier public avec 1.000 milliards d’euros d’actifs puisse être opérationnel en janvier 2020”, a lancé le locataire de Bercy lors d’une conférence de presse. “Tenez le calendrier car l’attente est forte”.

Saluant la prochaine naissance “d’un outil financier public au service de l’intérêt général”, “l’un des plus importants au monde”, le ministre de l’Economie a rappelé que l’un des objectifs du projet était de “gagner en efficacité”. “Assez de dispersion, assez de chapelles, plus d’unité, c’est l’objectif de cet outil financier”, a-t-il martelé. “L’ensemble des financeurs publics, pour la première fois dans l’histoire de la nation française, seront réunis au sein d’un seul et même pôle”, a argué M. Le Maire.

Selon le schéma capitalistique retenu, la Caisse des dépôts (CDC) doit céder ses 40,87% dans CNP Assurances à La Poste, qui elle-même apportera sa participation à La Banque Postale. Au final, La Banque Postale doit détenir 62,13% de l’assureur, selon l’accord passé avec l’Etat le 11 juin. En contrepartie, la CDC doit devenir l’actionnaire principal de La Poste. Une telle opération, annoncée pour début 2020, aurait dû entraîner le lancement d’une OPA sur la totalité de CNP Assurances, mais la CDC, La Poste et la Banque Postale ont demandé d’en être dispensé auprès de l’Autorité des marchés financiers (AMF).

Cette dérogation a été obtenue le 25 juin, donnant le coup d’envoi à la réalisation de cette opération, toutefois encore soumise à diverses conditions suspensives. Ce projet, dénommé Mandarine, “nous permet de diversifier notre modèle stratégique”, a déclaré pour sa part Philippe Wahl, patron de La Poste, dont l’ambition est de faire du groupe “le leader des services de proximité humains”. Le groupe confiera l’exclusivité de ses produits d’assurances à CNP Assurances, dont le modèle commercial repose sur la confection de produits d’assurances sur mesure pour les groupes bancaires et financiers.

“Nous apporterons une base solide à CNP en France pour fortifier son développement à l’international”, a ajouté Philippe Wahl auprès de l’AFP. Se voulant rassurant, le ministre de l’Economie a répété: “La Poste restera 100% publique”. Les principaux actionnaires du groupe postal et de services demeureront publics même s’ils modifieront leurs participations. Dans le détail, la Caisse des dépôts, entité financière de l’Etat, doit racheter la part de l’Etat dans La Poste pour détenir à l’issue de l’opération 66% de La Poste tandis que l’Etat conservera 34% de participation.

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Comment mettre en place une délégation de gestion efficace ?

La gestion déléguée dans le secteur de l’assurance santé devient une pratique de plus en plus courante, car très avantageuse pour les assureurs, les mutuelles, ou bien même les instituts de prévoyance, tant d’un point de vue économique que d’un point de vue opérationnel. Pour autant, il faut ne pas négliger la mise en place de cette stratégie, car il est primordial de faire perdurer la satisfaction clients, et de favoriser leur rétention. Afin d’obtenir une gestion déléguée performante, vous aurez tout intérêt à respecter un cahier des charges précis, respectant certaines bonnes pratiques…

  1. Délimiter un périmètre entre le délégataire et l’assureur santé

Vous devrez bien définir avec le délégataire les rôles et les responsabilités de chacun. Ne pas le faire, pourrait occasionner une perte de temps lors de la phase de démarrage, ou encore provoquer la réalisation de tâches en doublon.

Par ailleurs, le périmètre est aussi un élément à définir, lors de la contractualisation et aussi au démarrage du projet.

Définir le mode de management et le cadre organisationnel entre l’assureur santé et le délégataire

Le projet peut être amené à évoluer au fil du temps. Il faudra mettre en place des procédures permettant de faire un point sur le projet (partage des activités, implémentation du plan d’action), sur son fonctionnement ou son dysfonctionnement. Vous devrez définir les différents besoins. Faut-il différents comités ? Comités de pilotage ? Comités de projet ?

Vous devrez aussi décider de la fréquence des réunions qui pourra amplifier ou diminuer en fonction de l’évolution du projet.

  1. S’assurer d’une communication limpide entre l’assureur santé et le délégataire

Il y a deux points clés pour faciliter la communication entre le délégataire et vous, en tant qu’assureur :

  • Mettre en place deux référents, un chez vous et un chez le délégataire. Ces deux référents seront les interlocuteurs principaux, et toutes les informations passeront par eux. Ceux-ci seront en charge de communiquer les informations au reste de leurs équipes respectives. En effet, mieux vaut éviter d’avoir de trop nombreux points de contacts, afin de ne pas perdre ou oublier des informations clés.
  • En cas de problèmes ou de dysfonctionnements, mieux vaut ne pas attendre les comités de pilotage pour en discuter. Etablissez entre vous une communication fluide et transparente. Ce sera un gain de temps et d’efficacité. De plus, elle favorisera la mise en place d’une relation de confiance, et contribuera à la réussite de votre projet.
  1. Demander des livrables au délégataire, requis par l’assureur santé

Lors d’une délégation de gestion, il faut s’assurer que le délégataire vous fournisse de façon régulière des reportings. Il existe deux types de reporting :

  • Le reporting opérationnel : il devra contenir les informations sur les délais de traitement, le respect de la qualité exigée, le respect des engagements définis lors de la signature du contrat. Il doit être le plus régulier possible et devra être évoqué lors des comités.
  • Le reporting technique : il concerne toutes les données qui vous sont indispensables pour le pilotage technique de vos portefeuilles.

De plus, nous vous conseillons de demander un livrable sur différentes veilles, telles que les nouvelles réglementations, le développement de nouvelles technologies, et le lancement de nouvelles prestations. Grâce à cette veille, vous pourrez anticiper les changements importants et/ou légaux, vous adapter aux nouveaux besoins de vos clients. Cela vous permettra de toujours être à la pointe de l’innovation.

  1. Le contrat

Il doit contenir les dispositions classiques de tout contrat mais vous devez faire très attention à deux clauses spécifiques :

  • Les clauses d’audit : audit client, audit de l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et Résolution) et CAC (Commissaires Aux Comptes), respect des lois CNIL (Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés) / RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) …
  • Les clauses de réversibilité en cas de rupture du contrat par vous ou par le délégataire, avant l’échéance décidée ensemble. Vous devez aussi définir les modalités de récupération de vos données, et les opérations de fin contrat : flux de demandes de remboursement, gestion des prestations etc.

Pour avoir plus d’informations sur ce sujet, les équipes de Cegedim Insurance Solutions et d’iGestion, la filiale dédiée à la délégation de gestion, sont à votre disposition pour répondre à vos questions.

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NA PRO

Maif : la nouvelle organisation du travail mise en place

La mutuelle d’assurances fait évoluer son organisation interne afin de mieux répondre aux attentes de ses sociétaires. La répartition du volume de travail des collaborateurs de la Maif sera notamment désormais adaptée en fonction des pics d’activité dans l’année.  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Question de la semaine : Les mesures prises pour renforcer de la place de Paris vont-elles attirer des assureurs ?

Le gouvernement a annoncé des mesures fiscales et de réduction du coût du travail censées attirer des entreprises internationales en provenance du Royaume-Uni. Les réponses sont totalement anonymes.

 

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