mars

Atelier “Devenez agile par SMS” organisé par PLANETE CSCA pour ses adhérents, le 12 mars à 9h !

WEB’SESSION VENDREDI 12 MARS : DEVENEZ AGILE PAR SMS GRÂCE AU NOUVEAU PARTENARIAT PLANETE CSCA/J2S TÉLÉCOM !

PLANETE CSCA a noué un partenariat pour ses adhérents avec la société J2S Télécom, pour donner accès au logiciel de communication client par SMS Frizbi.

Grâce à ce logiciel pensé « utilisateur », les cabinets de courtage peuvent préparer une SMSthèque avec leurs envois récurrents et intégrer leurs clients. Dès lors, en 3 clics, il est facile d’envoyer un SMS à votre client avec un lien interactif pour gérer sa réponse texte et/ou photo.

A cette occasion, une web’session de démonstration est organisée avec J2S Télécom vendredi 12 mars à partir de 9h, l’occasion de découvrir et d’expérimenter l’outil, mais également de poser toutes vos questions (réservé aux adhérents de PLANETE CSCA) !

Inscrivez-vous !

 

Lire la suite ici : Atelier “Devenez agile par SMS” organisé par PLANETE CSCA pour ses adhérents, le 12 mars à 9h ! (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Parole d’experts – Reste à charge zéro en optique : Mars 2018

Hausse des cotisations de 2,6% ou baisse des prix de 15%, est-ce raisonnable ?

Où en est-on ? Quid des réseaux optique ? Qui va financer cette mesure ?

Le “reste à charge zéro” sur les prothèses auditives, le dentaire et l’optique est une promesse très ambitieuse du président de la République Emmanuel Macron.

Annoncée durant la campagne présidentielle de 2017, elle doit être définie par la Ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, en juin 2018 pour une mise en place d’ici 2022.

Le constat est simple : aujourd’hui en France, ces actes sont insuffisamment pris en charge par la Sécurité sociale et représentent un coût non négligeable pour ceux devant y avoir recours.

La Sécurité sociale connaissant un déficit net de 4,4 milliards d’euros en 2017, elle ne peut à elle seule supporter financièrement la mise en place de cette mesure.

Sur notre portefeuille, 49% des achats de verres ont un reste à charge (116€ en moyenne pour 2 verres)

Dans ce 1er numéro de “Parole d’experts”, nous analyserons le reste à charge sur les équipements optiques et plus particulièrement sur les verres (le prix des montures relevant principalement de l’esthétique).

“Reste à charge zéro” en optique, où en est-on ?

Sur notre portefeuille, le “reste à charge zéro” est déjà effectif pour 51% des achats de verres. Cependant, l’enjeu d’atteindre le « reste à charge zéro » n’implique pas le même effort sur tout le territoire et en fonction de la complexité du verre.

Tableau : part des achats de verres sans reste à charge

Tous verres Verres simples Verres complexes
Paris et petit couronne 44% 47% 38%
Villes de – 600 000 habitants 51% 56% 41%
Villes de – 600 000 habitants 54% 63% 45%

Les assurés n’étant pas couverts à 100% doivent en moyenne financer eux-mêmes 116 € pour 2 verres (64€ pour les verres simples et 164€ pour les verres complexes).

La mesure qui entrera en vigueur va devoir prendre en compte toutes ces disparités de prix afin d’apporter une réponse pertinente à cette problématique.

Le projet de loi :

Le “reste à charge zéro” s’appliquera à un “panier de prestations nécessaires et de qualité”. Le but est de répondre de façon médicalement pertinente aux besoins de santé, et dans des conditions correspondant à une attente sociale légitime (par exemple, en termes d’amincissement des verres pour les personnes très myopes).

Ce panier sera nécessairement évolutif, pour s’adapter à l’évolution des techniques.

Tous les coûts n’ont pas vocation à être couverts : les assurés prendront eux-mêmes en charge la part relevant de considérations personnelles, principalement esthétiques.

Source : http://www.gouvernement.fr

Le réseau optique, un allié de taille ?

Aujourd’hui, la mise en place d’un réseau optique est la solution la plus courante pour améliorer le taux de couverture.

70% des assurés gérés par Gras Savoye bénéficient déjà de cette solution. En moyenne, on constate que les prix sont inférieurs de 20% dans un réseau optique. Par exemple, sur l’un de nos réseaux partenaires, 84% des achats de verres atteignent l’objectif “reste à charge zéro”. A noter que la gamme de verres sans reste en charge dépend également du niveau de la garantie.

Le “reste à charge zéro”, quel financement ?

Le financement par l’Etat du “reste à charge zéro” ne semble pas envisagé au regard du déficit de la Sécurité sociale.

Une mesure qui impliquerait une augmentation de 2,6% des cotisations

Une solution simple serait d’imposer aux assureurs de garantir un remboursement intégral. Sans modification des pratiques tarifaires des opticiens, cela engendrerait une augmentation de 2,6% des cotisations. Cette piste n’est pas envisagée par le gouvernement car elle provoquerait un alourdissement des charges des entreprises et une baisse du pouvoir d’achat des salariés.

La solution privilégiée par le gouvernement serait donc notamment de recourir à un encadrement de l’offre. Plusieurs solutions seraient envisageables :

  • Imposer à tous les opticiens de proposer ces verres dans des conditions fixées,
  • Permettre l’accès à un réseau d’opticiens à tous les assurés,
  • Mettre en place des services permettant aux assurés de trouver, proche de chez eux, des opticiens qui respectent des prix plafonds.

Si la première solution devait s’appliquer à l’ensemble des verres, il faudrait demander aux opticiens de baisser en moyenne leurs prix de 15%.

Néanmoins, il est déjà tranché que tous les verres ne seront pas compris dans la notion « d’attente sociale légitime » que préconise la réforme. Cela signifie que certaines spécificités jugées de confort ne seront pas remboursées à 100%. Or, il ne faut pas négliger le sujet de la qualité des verres qui peut avoir un impact sur le confort de l’utilisateur.

Concernant la deuxième solution, le réseau optique a l’avantage de s’engager à respecter une charte de qualité et à encadrer les prix de tous les verres, ce qui pourrait éviter certaines dérives tarifaires pour les verres non couverts à 100%.

Toutefois, ils ont un coût compris entre 2,30€ et 3,50€ par an et par bénéficiaire. De plus que la densité des opticiens membres n’est pas identique sur tout le territoire.

Une solution alternative pourrait être de challenger les opticiens et les réseaux de soins en s’appuyant sur l’analyse des données de consommation par verre et par zone géographique ainsi qu’une mise à jour fréquente des prix pratiqués par chaque opticien.

Cette solution qui arrive sur le marché ne peut s’envisager via une plateforme publique pour des raisons de coût pour le ministère de la Santé, mais pourrait se déployer chez les gestionnaires complémentaires ou chez les concentrateurs de tiers payant.

Le mot de la fin

Dans tous les cas, l’encadrement des prix ne sera pas suffisant pour atteindre l’objectif “reste à charge zéro”, car même sur des verres simples à prix déjà compétitifs, en moyenne 8% du prix reste encore à la charge de l’assuré. Cela signifie qu’il faudra parallèlement augmenter les garanties les plus faibles.

Contact

Arnaud Corlouer
Directeur Technique des Assurances de Personnes de Gras Savoye Willis Towers Watson en France
e-mail


Télécharger
Titre Type de fichier Format de fichier
Parole d’experts: “Reste à charge zéro” en optique PDF .7 MB

Source link

Lire la suite ici : Parole d’experts – Reste à charge zéro en optique : Mars 2018 (source : News Assurances Pro – Media Indépendant des assureurs, mutuelles et institutions de prévoyance)

News Assurances Pro

Assurance vie : collecte nette positive à 1,5 Md€ en mars 2018

La Fédération française de l’assurance a publié les chiffres de l’assurance vie pour le mois de mars 2018. La collecte nette reste positive mais en baisse par rapport au mois de février.  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

La carte des intempéries de mars 2015

Le mois de mars figure parmi les plus cléments au plan climatique depuis presque un an. Le mois de mars figure parmi les plus cléments au plan climatique depuis presque un an.

Bien que mortel, l’épisode des grandes marées et les intempéries corses n’a pas occasionné de dégâts matériels de grande ampleur. De quoi faire de mars 2015 l’un des mois les plus cléments au plan climatique depuis presque un an.

Aucun évènement de grande ampleur n’est venu frapper le sol français au cours des trente derniers jours hormis quelques épisodes de faible intensité. En Corse, les deux départements ont subi durant 48 heures de fortes précipitations, provoquant localement quelques inondations, en particulier au sud de Bastia. Deux personnes ont néanmoins trouvé la mort, surpris par la montée des eaux. Au plan matériel, plusieurs routes ont été coupées en raison d’éboulements et de chutes d’arbres mais les dégâts restaient circonscrits.

Vague-submersion sur les littoraux

Autre fait climatique à retenir sur la période, celui des grandes marées qui ont concerné les littoraux des côtes Atlantique et de la Manche le week-end du 20 mars.

De forts coefficients de marée ont été recensés sur le littoral. Lors de la « marée du siècle », point culminant de cet événement astronomique, les coefficients ont atteint 119 sur une échelle de 120, entraînant localement plusieurs submersions. Deux pêcheurs ont également perdu la vie en Gironde et en Bretagne.


L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Tableau de bord de l’assurance (Mars 2011)

FFSA.fr – Tous les contenus