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YouDrive de Direct Assurance primée meilleure asssurance auto connectée

La solution Pay How You Drive de Diirect Assurance, filiale d’Axa, a remporté le prix international de la meilleure assurance auto connectée, le 7 juin 2016, aux TU Automotive Awards.  Lire l’article
L’Argus de l’Assurance – Acteurs

Le coût de l’assurance toujours en hausse dans le budget auto

L’assurance auto pèse encore un peu plus lourd dans le budget annuel d’un automobiliste. Quel que soit le modèle du véhicule, les primes sont à la hausse d’une année sur l’autre.

Le coût de l'assurance auto a encore progressé dans le budget d'un automobiliste.

 

Quelle est la part de l’assurance dans un budget auto ? Bien que la tarification d’un contrat varie selon le conducteur, le véhicule et son usage, l’Automobile Club Association (ACA) en livre une estimation dans son étude annuelle sur le budget des automobilistes français publiée le 18 mai 2016.

L’association a ainsi passé au crible différents postes de dépenses parmi lesquels l’assurance afin d’établir un budget annuel moyen pour cinq modèles de véhicules parmi les plus utilisés. Ensuite, les automobilistes ont été classés en deux catégories : les petits rouleurs parcourant autour de 8.000 kilomètres par an (Renault Clio essence et diesel et Dacia Logan diesel) et ceux qui dépassent les 15.000 km/an (Peugeot 308 diesel et Toyota Prius hybride). L’enquête a ensuite été menée auprès des constructeurs, des réparateurs, des assureurs etc. pour chaque catégorie de véhicule. L’étude ne calcule donc pas les dépenses moyennes par conducteur.

Plus de 1% de hausse en un an

Premier enseignement de l’étude, quel que soit le modèle, les tarifs d’assurance auto* ont cru d’une année sur l’autre. « Les primes d’assurance augmentent généralement au-dessus du niveau de l’inflation. On ne pouvait y échapper en cette année d’inflation zéro, indique Céline Genzwurker-Kastner, directrice juridique de l’ACA. Cela est dû principalement au coût de la sinistralité en progrès associé à l’augmentation du prix des pièces de rechange, de la main d’œuvre et des frais de peinture en atelier. » Toutefois, ce relèvement reste contenu. Dans le détail, les primes pour assurer une Renault Clio essence et une Peugeot 308 diesel ont cru de 1,4% entre 2014 et 2015, de 1,5% pour une Dacia Logan diesel et une Toyota hybride et de 1,3% pour une Renault Clio diesel.

Avec une prime annuelle moyenne de 621 euros, la Dacia Logan arrive en tête du classement des voitures les moins gourmandes, suivie de la Clio Essence (642 euros) et de la Clio diesel (678 euros). La Peugeot 308 et la Toyota Prius hybride ferment la marche avec des primes annuelles respectives de 785 euros et 908 euros.

Attention toutefois à l’effet trompe-l’œil : en effet, il ne faut pas oublier que les conducteurs types de la Peugeot 308 et de la Toyota Prius parcourent plus de 15.000 km/an, ce qui a un impact à la hausse sur l’assurance. Qui plus est, la Toyota Prius dispose d’une technologie plus avancée que les Clio et la Dacia Logan, ce qui joue également sur le montant final de la prime.

L’assurance, environ 10% d’un budget auto

Ainsi, la part de l’assurance dans le budget total annuel du modèle est moins importante pour les gros rouleurs : l’assurance représente 9,9% du budget total (7.954 euros) de la Peugeot 308 et 10,4% de celui (8.723 euros) de la Toyota Prius. A l’inverse, si la Dacia Logan s’assure pour « seulement » 621 euros par an, la part de l’assurance sur le budget total est la plus élevée (13,1%), avant les deux Clio (11,3% de 5.796 euros pour l’essence et 11,1% de 6.011 euros pour la diesel).

Au-delà des primes, l’ACA a également calculé la part des taxes dans les assurances de chaque modèle : pas de jaloux, les taxes ont progressé uniformément de 2 euros, leur évolution étant régie par le code des assurances. Ainsi, un automobiliste s’acquitte de 134 euros de taxes sur sa prime annuelle d’assurance lorsqu’il conduit une Clio essence, de 140 euros pour une Clio diesel, de 162 euros pour une Peugeot 308, de 128 euros pour une Dacia Logan et de 187 euros pour une Toyota Prius. « L’automobiliste est un contribuable généreux », résume le président de l’ACA, Didier Bollecker.

Maigre consolation pour les conducteurs assidus, tous ont profité d’une baisse de l’ordre de 8 à 10% du prix du carburant, diesel comme essence.

*Souscription tous risques avec bonus de 50% à la moyenne des primes annuelles de cinq opérateurs d’assurance

Des écarts considérables en fonction de la région

Si le modèle du véhicule possède un impact sur le prix de l’assurance, le lieu de résidence de son propriétaire également. Pour un véhicule essence, un Limousin s’acquitte en moyenne d’une prime de 550 euros par an, contre 726 euros pour un habitant de la région PACA. La moitié des 22 (anciennes) régions pratiquent des tarifs d’assurance auto supérieurs à 600 euros. C’est notamment le cas de la région Rhône-Alpes (681 euros), de l’Aquitaine (669 euros) du Nord-Pas de Calais (656 euros) et de l’Ile-de-France (643 euros). A l’inverse, il fait bon rouler en Lorraine (560 euros), en Bretagne (556 euros) ou encore dans les Pays de la Loire (564 euros).

 

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L’appli Wecover, l’assurance auto collaborative pour faire baisser les prix

La start-up Wecover a l’ambition de mettre sur pied la première assurance auto collaborative. Dans un groupe restreint, chaque conducteur met au pot et constitue l’assurance de la communauté. A la fin de l’année, la somme est redistribuée aux membres. Explications.

L'application Wecover, coach de conduite personnalisé, a pour but de créer la première assurance auto collaborative.

 

En vacances ou même dans la vie quotidienne, un pot commun pour les achats est une pratique courante. Une jeune start-up, Wecover, souhaite adapter ce principe en créant la première assurance auto collaborative.

Le principe ? Réunir un nombre limité de très bons automobilistes à la conduite irréprochable qui rempliront un pot commun avec leurs cotisations. Celui-ci représentera le montant total de l’assurance pour la communauté. « Faire évoluer les conducteurs dans un groupe restreint accentue leur responsabilisation. Ils ont tout intérêt à être prudents », observe Adrien de Casabianca, chargé de communication à Wecover. L’objectif final étant de faire baisser le coût de son assurance auto. C’est là tout l’intérêt de cette assurance collaborative : en cas de bonne conduite, une partie des cotisations sera automatiquement reversée de manière égale entre les membres du groupe. « 50% des cotisations iront à l’assureur et 50% pourront être redistribués en fin d’année », ajoute Adrien de Casabianca.

Le concept n’est pas sans rappeler le Pay how drive, ou « Payer selon votre conduite ». Mais la start-up s’en défend : « La démarche n’est pas individualisée : si un conducteur du groupe subit un sinistre, la somme sera déduite du pot. Mais à la fin de l’année, la somme restante sera répartie entre la totalité des membres. La responsabilité est diluée dans le groupe. »

Repérer les bons conducteurs

Encore faut-il identifier les bons conducteurs. La jeune entreprise a tout prévu : celle-ci a décidé de mettre au point une application, « Wecover by GECO », qui consiste en un coach de conduite personnel. « Créée il y a deux ans, elle a entièrement été revue et enrichie dans la perspective d’adhérer au futur produit d’assurance », avance Adrien de Casabianca. Téléchargeable sur Android et Iphone, elle analyse la façon de conduire au quotidien grâce aux capteurs du smartphone : variations de vitesse, accélérations, décélérations, freinages et coups de volants. « Après chaque trajet, Wecover by GECO communique un score de conduite et de nombreux conseils personnalisés pour s’améliorer, et ainsi réduire son risque de sinistre », explique la start-up. Autre fonctionnalité : des astuces pour baisser sa consommation de carburant. « Par exemple, réduire sa vitesse pour au final ne perdre que quelques minutes sur son trajet », explique Adrien de Casabianca. Lors de la première utilisation, vous devez paramétrer les caractéristiques de votre véhicule (citadine, 4×4, etc. puis le modèle) et adhérer à un groupe (jeune conducteur, citadin, grand rouleur…). Ne reste plus qu’à l’activer et à prendre le volant.

Pour accélérer les bons comportements sur les routes, l’utilisateur pourra au jour le jour consulter son historique et son classement par rapport aux autres automobilistes de son groupe. A partir des différentes notations des membres d’un même groupe, l’application vous informe sur l’économie d’assurance générée par la conduite vertueuse de tous.

Les contours de l’assurance collaborative

Pour l’instant, Wecover recense ce qu’elle nomme elle-même « les super-conducteurs » pour créer ses « groupes communautaires restreints ». « Entre 20 et 100 personnes », précise la start-up. L’assurance devrait être proposée « d’ici l’été ou juste après ». Si l’assureur partenaire n’a pas encore été arrêté, plusieurs éléments sont déjà actés : « La cotisation annuelle se montera entre 500 et 600 euros par an », indique Adrien de Casabianca.

Plusieurs offres d’assurance devraient être proposées : basique pour les petits conducteurs qui parcourent peu de kilomètres, plus étoffée (tous risques) pour ceux qui avalent plus de 5.000 kilomètres par an, etc. « Les garanties seront équivalentes aux offres existantes. Chaque conducteur pourra opter pour le contrat qu’il préfère et mettre au pot sa cotisation », assure le chargé de communication de l’entreprise. L’affectation à une communauté ne sera pas du ressort du conducteur mais relèvera de plusieurs paramètres : son profil sociologique (ville, âge, profession…), son type de conduite (fréquence, trajets…) et l’offre d’assurance choisie. « Le but est de créer une communauté qui se ressemble. L’expérience à l’étranger a montré qu’il n’est pas bon que des proches soient dans le même groupe », résume Adrien de Casabianca. A terme, l’idée est de faire en sorte que les membres d’un même groupe échangent entre eux, se conseillent.

Pas de panique, le risque zéro n’existant pas, la start-up a d’ores et déjà promis que le niveau de garanties resterait maximal et que les cotisations n’augmenteraient pas en cas d’accident.

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Tarifs d’assurance auto, santé et habitation en hausse : la loi Hamon inefficace ?

Les primes d’assurance ont augmenté de 0,5% en auto, 3,9% en habitation et de 2,5% en santé en avril 2016. Alors même que la concurrence a été exacerbée par la loi Hamon qui permet de résilier plus facilement son contrat.

Les tarifs d'assurance auto, habitation et santé sont en hausse, alors même que le nombre de résiliations permises au bout d'un an par la loi Hamon a augmenté.

 

Les assurés vont faire la grimace. Les tarifs des assurances auto, habitation et santé ont une nouvelle fois progressé en avril 2016, selon l’indice du prix des assurances de particuliers (IPAP) dévoilé par le comparateur Assurland.com le 3 mai 2016. Ainsi, contrairement à ce que beaucoup prédisaient, la loi Hamon qui permet la libre résiliation de son contrat au bout d’un an, n’a pas eu d’effet miracle sur les prix.

La hausse des tarifs amorcée en début d’année se confirme ainsi en avril 2016 : par rapport à la même période en 2015, les primes ont progressé de 0,5% en assurance auto, de 3,9% en multirisques habitation (MRH) et de 2,5% pour les complémentaires santé.

Assurland évoque des raisons similaires à celles données en début d’année, à savoir « des années précédentes médiocres en matière de catastrophes naturelles [particulièrement en 2015, Ndlr], même si le début d’année 2016 est plus favorable » ainsi qu’ « une dérive des petits risques qui persiste (dégâts des eaux, vols…) ». Côté santé, les dépenses, bien qu’en diminution, progressent encore plus rapidement que l’inflation, « du fait du vieillissement de la population et de l’amélioration des technologies médicales ». Par ailleurs, la généralisation des complémentaires santé au sein des entreprises du privé au 1er janvier dernier peut également justifier cette hausse. Il n’est en effet pas impossible de penser que les assureurs compensent la perte d’une partie des assurés individuels vers des contrats collectifs d’entreprise en relevant les primes. La faible hausse constatée sur les contrats auto s’explique par « des marges confortables pour les assureurs et la pression de la loi Hamon », selon le comprateur.

En effet, plusieurs études ont montré que la loi consommation avait un impact non négligeable sur les résiliations en auto, à l’image du comparateur AcommeAssure qui avançait que ce motif représentait plus de la moitié des demandes de rupture de contrat. Attention, prévient cependant Assurland, il se pourrait que cette modération tarifaire en auto ne dure pas « au vu du bilan de la sécurité routière très médiocre (+3,3% au premier trimestre 2016) ».

La libre résiliation contient les prix aujourd’hui…

Mais surtout, ces tendances montrent que la loi Hamon n’a pas tiré les prix des assurances vers le bas. La libre résiliation a essentiellement permis de limiter la casse. « La loi Hamon a eu un impact limité en matière de mobilité des portefeuilles, mais elle contribue à la modération tarifaire des assureurs », analyse Assurland. Plus précisément, la loi Hamon joue son rôle premier, à savoir faire grimper la concurrence entre les offres et permettre aux assurés de changer plus facilement de contrat s’ils le souhaitent. Pour rappel, celle-ci offre la possibilité de résilier au bout d’un an son contrat auto ou habitation, sans avoir à attendre la date d’anniversaire du contrat.

Ce constat a été anticipé dès janvier par l’Association française de l’assurance (AFA), soit un an après l’entrée en vigueur de la loi. « Bien qu’il n’y ait pas de rupture de fonctionnement du marché, on observe tout de même une accélération du turnover », avançait-elle le 28 janvier dernier. S’il n’y a pas de rupture, c’est en premier lieu parce que les Français sont encore frileux à l’idée de se lancer dans des démarches administratives.

…mais pourrait les faire augmenter à l’avenir

Quant à « l’effet baisse des prix », l’association, pressentait déjà que l’augmentation des résiliations ne provoquerait probablement pas une diminution des primes. Bien au contraire : « Attention à l’effet d’optique : en réalité, cette mobilité va peser fortement sur le coût d’acquisition des contrats. Les assurés pourraient subir un effet boomerang qui se traduirait par des impacts tarifaires dans les années à venir. » En effet, de même que pour les mutuelles santé, les assureurs pourraient être tentés de reporter sur les tarifs de leurs contrats le manque à gagner occasionné par la hausse des résiliations.


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3 astuces pour réduire le coût de sa première assurance auto

Les jeunes conducteurs font systématiquement face à des primes d’assurance auto plus élevées du fait de leur manque d’expérience. Mais quelques astuces permettent tout de même de faire baisser la facture.

Il existe des astuces pour faire les surprimes appliquées sur les assurances auto des jeunes conducteurs.

 

Une fois le permis en poche, les jeunes conducteurs doivent souscrire une assurance auto pour pouvoir parcourir les routes. Problème : dans ce cas précis, la jeunesse est loin d’être un atout. Au contraire, c’est même une épine dans un budget déjà serré.

En moyenne, un jeune conducteur ayant moins de trois ans de permis paie 200 euros de plus par an pour assurer une voiture neuve, selon les chiffres regroupés* par le comparateur d’assurances LeLynx.fr et dévoilés le 20 avril 2016. La facture grimpe ainsi à 1.259 euros par an. « Une surprime peut être appliquée la première année sur l’assurance de responsabilité civile obligatoire souscrite par un conducteur novice, avance la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA). Elle ne doit pas dépasser 100% de la cotisation de base. » Ce traitement spécifique aux jeunes s’explique par le taux de mortalité très élevé : près d’un conducteur sur cinq tués possède un permis de conduire de moins de deux ans, selon les données de la Sécurité routière.

Bon à savoir : Sont également considérés comme conducteurs novices, les titulaires de permis de plus de trois ans qui n’ont pas souscrit d’assurance au cours de ces années.

Toutefois, il est possible de réduire cette surprime, voire même de l’annuler grâce à trois astuces.

Acheter d’occasion

Le tarif d’une assurance auto est calibré d’après plusieurs critères en dehors de l’âge, dont le type de véhicule. En effet, suite à des dommages causés lors d’un accident, il sera moins onéreux de faire réparer un véhicule d’occasion que neuf. C’est pourquoi, en moyenne un jeune devra s’acquitter d’une prime annuelle de 1.052 euros par an pour un véhicule ancien, selon LeLynx.fr. « Il est bien plus avantageux pour un jeune conducteur d’acheter une voiture d’occasion, car sa prime d’assurance sera en moyenne 1,2 fois moins chère que pour un véhicule neuf », résume le comparateur.

Par ailleurs, si l’ancienneté de la voiture a un impact sur la prime d’assurance auto, le modèle également. Ainsi, pour un jeune conducteur avec un permis de conduire de 2 ans, il en coûtera 1.229 euros par an pour assurer au tiers une Renault Clio d’occasion, 1.239 euros pour une Peugeot 206 et 1.327 euros pour une Renault Clio III. Ces trois modèles sont les plus plébiscités par les jeunes conducteurs. D’une manière générale, mieux vaut préférer une petite citadine qu’une berline haut-de-gamme. « On constate que la décote intervient plus rapidement pour les marques généralistes européennes ou asiatiques, à l’inverse des marques plus haut-de-gamme », observe Diane Larramendy, directrice générale de LeLynx.fr.

Demander un coup de main aux parents

Apparaître sur le contrat d’assurance auto de ses parents en tant que second conducteur est un bon point lorsque l’on n’a pas beaucoup d’années de permis de conduire. Aux yeux des assureurs, cela signifie que vous conduisez régulièrement le véhicule. Si celui-ci n’a subi aucun accident responsable, la compagnie d’assurance en tiendra compte lorsqu’elle établira un tarif pour votre propre assurance auto. Le montant de la surprime peut ainsi être diminué. Pour les parents, tout dépend du contrat souscrit, mais cet ajout de conducteur peut se solder par « seulement » quelques euros supplémentaires par an. Par ailleurs, n’hésitez pas à vous tourner en premier lieu vers l’assureur de vos parents qui sera plus enclin à vous faire une ristourne pour fidéliser sa clientèle.

Anticiper avec la conduite accompagnée

Pour ceux qui n’ont pas encore l’âge d’obtenir le papier rose, la conduite accompagnée reste la meilleure solution pour baisser la facture de sa future assurance auto. « La surprime normalement demandée aux conducteurs novices est réduite de moitié (50% maximum), indique la FFSA. Après la première année d’assurance, la surprime est à nouveau réduite de moitié si l’assuré n’a été responsable d’aucun accident (25%, Ndlr). Elle est supprimée après deux années. » Certains assureurs décident même de n’appliquer aucune surprime dès le départ ou un bonus plus favorable considérant vos deux années de conduite accompagnée comme une expérience à part entière. Bien sûr, il ne faut pas avoir eu d’accident responsable durant cette période pour profiter de ces réductions.

Accompagnée ou non, une conduite responsable vous assure un bonus et donc une baisse plus forte de votre prime tandis qu’une conduite imprudente vous réserve un malus et donc une majoration de tarif.

*sur la base de 900.000 profils ayant effectués un devis sur le site LeLynx.fr en 2015

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